La ville de Dulce n’est-elle qu’une petite
bourgade bien tranquille du Nouveau-Mexique ? Où abrite-t-elle, comme
l’affirme un certain Thomas Castello, une base secrète où l’armée américaine
collaborerait avec des extraterrestres ? Enquête.
Lorsque vers la fin des années quatre-vingt, l’ufologue Paul Bennewitz tomba
sur le compte rendu d’un enlèvement ayant eu lieu au Nouveau-Mexique, il
pensa d’abord avoir affaire au schéma classique. Toutefois, il eut rapidement
la conviction qu’il s’agissait en fait de quelque chose de bien plus
mystérieux.
Enlèvement hors normes
La personne enlevée, Christa Tilton d’Oklahoma,
affirme avoir été kidnappée en juillet 1987 par deux petits
extraterrestres, des Gris. Sous hypnose, elle décrit la scène
suivante : on l’oblige à monter dans un vaisseau spatial en forme de soucoupe,
puis on l’emmène dans un lieu secret à flanc de colline. Puis l'accueille un
homme vêtu d’un survêtement rouge de style militaire. De là, on lui fait
parcourir un tunnel jalonné de points de contrôle informatiques et de caméras
de sécurité. Elle monte à bord d’un véhicule de transit qui la conduit dans un
autre lieu, où on la fait monter sur une sorte de balance flanquée d’un écran
d’ordinateur.
On remet ensuite à Christa Tilton,
terrifiée, une carte d’accès personnalisée et on lui apprend qu’elle vient de
pénétrer dans le niveau 1 d’un complexe souterrain. Elle est finalement
conduite jusqu’au niveau 5, où elle voit d’autres spécimens de Gris,
identiques à ceux qui l’ont enlevée, ainsi qu’un certain nombre de vaisseaux
spatiaux semblables à celui dans lequel on l’a fait pénétrer de force. Dans une
immense salle, elle remarque aussi des jauges informatisées reliées à de
grandes citernes, d’où émane une forte odeur chimique. Christa ne voit pas
le contenu de ces citernes, mais elle sera capable par la suite de dessiner
leur aspect extérieur. Et ce sont justement ces dessins qui éveilleront
l’intérêt de Paul Bennewitz, qui se souvient avoir déjà vu ailleurs
quelques choses d’analogue. Les croquis de Christa sont en effet
presque identiques à une série de dessins qu’il a examinés plusieurs mois
auparavant.
Un immense complexe secret
Ces dessins faisaient partie d’un énorme dossier
intitulé les « Dulce Papers » où documents de Dulce. Dossier
détenu par un certain Thomas Castello, qui dit avoir été officié de
sécurité sur une base militaire secrète, située au nord
du Nouveau-Mexique, près de la réserve indienne Jicarilla et de
la ville de Dulce. Petite bourgade de 900 habitants, juste un
petit point sur la carte de l’Etat. Rien ne distingue cet endroit perdu dans le
désert… si ce n’est peut-être que de nombreux ufologues y situent un complexe
militaro-scientifique clandestin ! Ils affirment que sous les plaines du
désert se trouve une immense base souterraine. Elle hébergerait un laboratoire
de biogénie géré conjointement par le gouvernement des Etats-Unis et les
extraterrestres, dans le but de mener des expériences ensemble sur
les animaux et sur les êtres humains. Selon les Dulce Papers, ce projet a
démarré il y a relativement longtemps. Des documents y afférents apparaissent
en effet pour la première fois au début des années quatre-vingt. On prétend
qu’ils proviennent du complexe souterrain même de Dulce. Ils sont
accompagnés de plus de trente photographies en noir et blanc et d’une bande
vidéo.
Thomas Castello, le mystérieux agent de sécurité prétendant s’être
procuré les documents, aurait travaillé sur la base de Dulce jusqu’en
1977. A l’en croire, il aurait coupé les ponts avec ses employeurs puis fuit la
base, dégoûté par ce qu’il avait vu. Il aurait recueilli ces documents avant de
partir et emporté avec lui la bande vidéo des caméras de sécurité, qui présente
plusieurs vues des installations. Avant de dissimuler les originaux, il a fait
cinq copies des documents, qu’il a diffusées au sein des milieux ufologiques,
par le truchement d’intermédiaires. Après s’être enfui de la base, Castello se
sentit menacé ; lui et sa famille décidèrent alors de vivre dans la
clandestinité. Mais lorsqu’il rejoignit sa femme et ses enfants, il trouva des
agents fédéraux sur place. Il s’enfuit. Depuis, il n’a plus jamais revu sa
famille…
Petits gris et humanoïdes reptiliens
Thomas Castello raconte qu’il reçut vers
ses 25 ans une formation ultra-secrète dans les techniques photographiques, au
sein d’une installation militaire souterraine basée en Virginie. Pendant
sept ans, il travailla pour l’US Air Force, qu’il quitta en 1971 pour rejoindre
la société Rand Corporation à Santa Monica, en Californie. En
1977, il est enfin transféré à la base de Dulce. Il prétend qu’ayant acheté
une maison à Santa Fe, il faisait alors la navette cinq fois par jour par
semaine entre son domicile et la base, via une sorte de métro très profond. La
description que fournit Castello de ses collègues est pour le moins
inhabituelle : il raconte qu’il y avait plus
de 18.000 Gris à la base de Dulce, ainsi que des centaines
d’humanoïdes reptiliens appelés les « Draco ».
Toujours
selon lui, la base souterraine de Dulce comportait plusieurs niveaux. La
plupart des aliens auraient travaillé aux niveaux 6 et 7, les logements étant
installés au niveau 5. Il dit n’y avoir jamais lu qu’un seul panonceau rédigé
en anglais, situé au-dessus de la station de la navette souterraine, portant la
mention « Vers Los Alamos ». Il pensait que la voie ferrée menait à
une autre base souterraine située sous le désert du Nevada, la célèbre
autant que mystérieuse « Zone 51 ». Entre mille autres choses, la
base de Dulce aurait été le centre d’expériences dans le domaine de
la télépathie, de l’hypnose et des rêves. On y aurait également fait des
recherches sur les auras attachées aux êtres humains. Elles auraient permis aux
extraterrestres de séparer le « corps bioplasmique du corps
physique », afin d’introduire une « force de vie
extraterrestre » à l’intérieur d’un corps humain… après en avoir ôté
« l’âme ».
La base sous haute surveillance
D’après les « Dulce Papers », les
mesures de sécurité sur la base sont très poussées. Les visiteurs sont d’abord
pesés nus, puis revêtus d’uniformes ressemblant à des survêtements. Le poids de
chaque visiteur est enregistré et vérifié tous les jours. Si quelqu’un prend
plus de 1,4 kg par jour- et il y a de nombreuses balances un peu partout dans
le complexe-, il doit subir un examen physique comprenant une radiographie. Une
fois pesés, les visiteurs reçoivent une carte d’accès personnelle, nécessaire
pour pénétrer dans les différents niveaux de la base, toujours sous le regard
des gardes de sécurité omniprésents. Il est strictement interdit d’apporter
quoi que ce soit dans les zones sensibles. Toutes les fournitures sont
acheminées par tapis roulant et radiographiées avant usage. Les ascenseurs du
complexe sont surveillés par des systèmes magnétiques logés dans les parois.
L’énergie magnétique semble d’un usage primordial : c’est elle qui fournirait
de la chaleur à l’ensemble de la base. Ce qui aurait
poussé Castillo à fuir la base, c’est le fameux niveau 7, la
Salle des cauchemars, il raconte ceci : « A ce niveau ce trouvaient
des milliers d’humains, des restes d’humains hybrides, et des embryons
d’humanoïdes conservés en chambre froide. Je voyais souvent des humains dans
des cages ; ils se trouvaient dans un état second ou étaient drogués, mais
parfois ils appelaient au secours et suppliaient pour qu’on leur vienne en
aide. On nous disait qu’ils étaient totalement fous et qu’ils participaient à
des tests cliniques très dangereux, menés pour trouver des remèdes aux maladies
mentales. On nous interdisait de leur parler. J’ai découvert des informations
au sujet d’autres bases extraterrestres disséminées aux quatre coins du système
solaire- notamment sur les lunes de Jupiter et de Saturne ».
Expériences génétiques
Toujours selon lui, le niveau 6 était connu sous
le nom de « Salle des cauchemars » : c’était là que se
déroulaient les expériences génétiques portant sur toute une série d’êtres
vivants, poissons, phoques, oiseaux et souris… sans parler bien sûr des
humains. Au niveau 6 on voyait, accrochés le long des murs, des aquariums
abritant des êtres humains monstrueux, dotés de plusieurs bras, de plusieurs
jambes, ainsi que des cages renfermant des êtres longilignes, à mi-chemin entre
l’homme et la chauve-souris. Malgré ces images cauchemardesques que l’on dirait
tirées de L’île du docteur Moreau, les Dulce Papers tendent à
montrer que les extraterrestres de la base secrète ne sont animés d’aucune
hostilité envers l’homme.
Il semblerait que les
extraterrestres Gris et les reptiliens résident sur notre planète
depuis des milliers d’années, se préoccupant davantage d’autres espèces
voyageant dans l’espace que des êtres humains. Selon Castillo, les
extraterrestres ne s’intéressent ni aux minerais, ni à l’eau, ni au pétrole,
mais surtout à la puissance magnétique dégagée par la Terre ; ils
seraient capables d’exploiter cette énergie d’une manière qui nous échappe.
Mais la révélation la plus déroutante des Dulce Papers, c’est que ces
aliens travailleraient main dans la main avec le gouvernement
des Etats-Unis. C’est du moins son opinion. Il cite plusieurs services
gouvernementaux américains représentés en permanence à Dulce- notamment le
ministère de l’Energie, l’Institut national de la santé, la Fondation nationale
des sciences, l’Institut médical Howard Hughes, ainsi que le ministère de
l’Environnement.
Depuis que Thomas Castillo a
rendu public son récit, il a été invité à participer à des conférences lors de
nombreux congrès d’ufologie. Malgré la nature fantastique de ses récits,
d’autres éléments semblent étayer ses affirmations. Ainsi, de 1976 à
1978,Dulce fut le théâtre d’une série de mutilations du
bétail qui laissèrent les éleveurs de la région perplexe. Les mutilations
étaient devenues si fréquentes que des équipes de recherche du monde entier se
rendirent sur place. En juillet 1978, une enquête fut menée par Howard
Burgess, un scientifique à la retraite, qui découvrit que de nombreuses bêtes à
cornes de la région de Dulce portaient d’étranges marques devenant
visibles sous une lumière ultraviolette. Le pelage de ces bêtes est enduit
d’une « substance brillante » sur le côté droit du cou, l’oreille
droite et la jambe droite. L’analyse de cette substance a révélé la présence de
quantités significatives de potassium et de magnésium. En outre, de nombreux
ovnis ont été observés dans la région de Dulce. D’étranges lumières et
d’autres phénomènes aériens inexpliqués ont été signalés
au Nouveau-Mexique, précisément à l’époque où l’on y a retrouvé un grand
nombre de vaches mutilées. Récemment, une équipe de chercheurs s’est rendue sur
place pour sonder les sous-sols. Une première analyse informatique des sondages
semble indiquer la présence d’énormes cavités souterraines… Mais comme on
pouvait s’y attendre, le gouvernement américain refuse de se prononcer sur
l’éventuelle existence d’une installation militaire secrète
à Dulce ou dans les environs. Ce qui n’empêche pas les dizaines
d’ufologues de tenter de percer le secret, prêtant l’oreille à la moindre
rumeur. S’ils étaient dans le vrai, ce qui se trame sous la petite ville de Dulce pourrait
bien changer de fond en comble l’avenir de l’espèce humaine...
source : http://ufoetscience.wordpress.com/2011/10/09/base-souterraine-de-dulce/
source : http://ufoetscience.wordpress.com/2011/10/09/base-souterraine-de-dulce/
Effrayant..je ne sais pas si je gagne quelque chose à savoir ce genre de choses finalement...quel cauchemar cette planète !
RépondreSupprimermerci quand même pour ce article ...et c'est vrai qu'il y a beaucoup de faits troublants qui se recoupent les uns avec les autres...pour celui qui sait observer , analyser...
Cet* article
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