Menhirs à Vril
"Les pierres
énormes dressées de main d'homme, isolées ou groupées, qu'on appelle monuments
celtiques ou druidiques, ont exercé depuis longtemps la sagacité et surtout l'imagination
des archéologues.
Bien des systèmes ont été proposés pour
expliquer leur origine et leur destination, et cependant ces deux points
demeurent encore obscurs. On a fondé des théories plus ou moins
ingénieuses sur quelques faits particuliers ; d'autres faits sont venus les
détruire, et il n'y a pas, je crois, de recherches dont les résultats soient
plus constamment négatifs." Ces mots d'il y a deux siècles sont tout
à fait d'actualité. On ignore toujours comment ces grosses pierres ont été
levées en si grand nombre, et pourquoi.
Du point de vue de l'archéologie officielle, la
civilisation néolithique apparaît vers -7000, avant même la construction
des pyramides d'Egypte. Elle a couvert la planète de
pierres colossales. De Malte à l'Espagne, du Danemark au Caucase, de
l'Angleterre à la Bosnie, de l'Inde à la Turquie, de la
Mandchourie au Japon, de l'Amérique à la Corée, du Pacifique à l'océan Indien,
cette civilisation a laissé d'innombrables vestiges sous la forme de dolmens,
de tumulus, de menhirs, etc.
La France est un des pays d'élection
des Néolithiques, comme en témoignent les milliers de menhirs de Bretagne, de
Dordogne ou d'ailleurs. Pourtant, depuis Charlemagne, l'église catholique leur
a fait la guerre. Curés, recteurs et évêques se sont évertués à faire abattre
ces reliques du paganisme. Vieille Religion des Druides et des
sorcières, ce culte du Diable était la promesse de l'Enfer, et sentait
le fagot du bûcher. Au neuvième siècle, l'Europe était couverte de
mégalithes et de tumulus.
Pas vraiment toute l'Europe, disons celle
que les Templiers allaient unifier deux siècles plus tard.
On estime que 80 % des mégalithes ont disparu de notre sol depuis lors. Et pas
seulement par la faute de la nouvelle religion. Les agriculteurs ont débarrassé
leurs champs de ces pierres improductives, quand leur poids le leur permettait.
D'autres ont été enfouies, déplacées, brisées. Plus récemment, le principal
destructeur a été les Ponts et Chaussées...
...avant la création récente des DDE, qui
n'y touchent plus.
Mais ils n'avaient pas d'outils en métal dur et ne
connaissaient pas la roue. On peut s'étonner qu'avec d'aussi frustes outils, les
néolithiques soient parvenus à tailler et à transporter des pierres
d'un tel poids sur de si longues distances. « À titre indicatif, la pierre
taillée la plus lourde au monde, parfaitement équarrie, pèse 1200 tonnes.
Elle repose depuis la nuit des temps, à demi enterrée sur la
commune de Baalbek au Liban, à proximité des ruines d'un temple romain. »
"Quel que soit le moyen dont
les architectes de ces sauvages monuments se sont servis, ils ont dû y consacrer
beaucoup de temps et d'efforts, d'où l'on est en droit de conclure qu'ils ont
travaillé pour un but important, tel que celui d'honorer les dieux ou la
mémoire de morts illustres. Une destination civile et d'utilité matérielle
est inadmissible." Juste conclusion : ces monuments sont sacrés. Mais
curieuses valeurs : Mérimée habille une intuition juste avec les préjugés de
son époque...
Le mode de pensée du 19e siècle est une énigme pour le 21e. Pourquoi un tel
travail pour ceux qui ne sont plus là serait-il plus "admissible" que
le même travail pour ceux qui peuvent encore en profiter ? On rêve tout
debout ! Il n'y a pas de preuve décisive que les dolmens aient été des
tombeaux. Ici ou là, certains de ces monuments ont pu servir de sépulture pour
un chef de guerre celte, mais il s'agit d'un réemploi très tardif. Les pharaons
d'Egypte eux aussi ont squattés d'antiques monuments pour en faire leur
tombeaux... Les évêques et les seigneurs du Moyen Age furent souvent enterrés
dans les églises ou les cathédrales, ce qui n'en fait pas des tombeaux pour
autant.
Certains auteurs ont vu dans les menhirs un
réseau d'acupuncture terrestre. La formule a fait florès, issue des travaux des
géobiologies du siècle dernier, qui ont mis en évidence les émissions d'ondes
de formes des mégalithes. J'ai vécu la chose des centaines de fois. Pour s'en
assurer lui aussi, Michel Manciet a testé un dolmen de
Saint-Emilion. "Si les menhirs ont des auras et des pouvoirs,
ils rayonnent des ondes de forme. J'allais tenter une expérience unique,
bonifier du vin jeune contre un menhir du néolithique moyen."
Après vérification, glou-glou-glou, il a
constaté qu'une heure de menhir de Saint-Emilion bonifiait le vin autant que
six ans de fût ! "La modification est significative. En effet, le vin
témoin est rugueux et il n'a pas de consistance en bouche. Le même vin traité
sur le menhir par contre est très agréable à boire. Il est arrondi, souple et
il sature bien le palais avec une excellente longueur en bouche. Le vin jeune a
été bonifié, cette deuxième expérience est aussi une réussite.
Ce qui paraît surprenant également, c'est la
puissance des ondes de forme engendrées par le menhir.
En effet, la pyramide de type Kheops bonifie un vin jeune en quatre à
cinq semaines. Avec ce menhir, une heure est suffisante pour bonifier un vin
jeune, soit une différence de temps de 1 à 600 par rapport au vieillissement
d'un vin sous une pyramide ! La tradition attribue également à ce menhir
de soulager les personnes atteintes de rhumatismes."
La bonification du vin se fait aussi dans les
cryptes romanes. Dans certaines abbayes, des moines gourmands le font encore. A
vrai dire, il existe un rituel de bonification qui se passe de toute pierre,
mais pas d'énergie Vril. Les prêtres d'antan s'en servaient à
chaque messe : c'est la consécration du vin. Son effet sur la qualité et la
rondeur du breuvage consacré n'était pas un secret pour eux. Toutefois, les
qualités ondulatoires des cryptes et des nefs médiévales n'égalent
pas celles des menhirs et des dolmens.
Les Celtes l'avaient senti, et ils ont
utilisés les tables de pierre pour des rituels
d'initiation, car les druides, comme tous les sensitifs, savaient que ces
monuments étaient sacrés sans être des objets de culte, comme le croient les
gens simples. Ils ressemblent plus à des machines qu'à des calvaires : les
pierres dressées remplissent une fonction technique tout à fait précise et
mesurable, créer un champ polarisé qui canalise les flux sacrés où se
concentre l'énergie Vril planétaire.
La plupart des menhirs faisaient partie
d'alignements plus ou moins longs, les lignes de transmission des machines
à foudre. Sur cet autre piège à foudre qu'est la pyramide de Khéops,
l'électricité suivait des conducteurs métalliques. Ici, pas de métal, mais la
création de champs conducteurs. Des ingénieurs étasuniens
travaillent sur ce mode de transmission de l'électricité. Ils nous
font rêver que sous peu nous n'aurons plus à brancher nos appareils sur
le secteur.
Bientôt, selon eux, le courant sera acheminé par
la voie des airs, le long de champs, ionisés ou non, la suite nous le dira. Le
vieux rêve de Nikola Tesla serait-il en passe de
devenir réalité ? Si c'est le cas, craignons les nuisances psychiques et
physiologiques que ces émissions électriques exerceront sur les personnes
sensibles. Pour ceux que perturbent déjà la proximité d'une ligne à haute
tension, le pire est à craindre.
Mais la question n'est pas là. Ces recherches sont la preuve que ce type de
conductivité électrique est possible, et que l'hypothèse qui consiste à voir
dans les alignements des lignes à énergie Vril n'est pas une hypothèse absurde.
Pour créer ces champs particuliers, il ne suffit pas de planter une grosse
pierre, sinon nos bêtes poteaux électriques n'auraient pas besoin de porter des
câbles. Avant de planter des grosses pierres, il faut savoir où et comment.
C'est le travail d'un chamane.
D'abord, le clairvoyant désignera les points vibratoires où seront plantés
les menhirs. Pour un alignement, il suivra une ligne de faille énergétique
généré par un accident géo biologique de type "puits
druidique" par exemple.
Ensuite, on respectera la polarité de chaque
pierre, qui dépend de son orientation originelle dans la carrière. Le haut ou
zénith de la pierre est positif. Le bas ou nadir est négatif. Les orientations
latérales, nord, est, sud, ouest, sont de moindre importance.
Rechercher la polarité d'une pierre
Un sensitif peut facilement sentir la
polarisation d'une pierre. Dans les années soixante, c'était un régal
d'observer les paveurs de rues à Paris. Presque tous Portugais, ils avaient
coutume de rouler le pavé en tout sens devant leur estomac, jusqu'à trouver le
bon côté, celui qu'il fallait poser sur le sable. En fait, et bien qu'ils
n'aient pas su l'exprimer en mots, ils ne faisaient que rechercher la polarité
de la pierre, afin de l'orienter comme elle l'était dans la roche de la
carrière.
Cette précaution judicieuse permettait aux
véhicules de rouler plus confortablement sur des pavés qui renvoyaient la
charge vers le haut. La qualité vibratoire des pavés posés selon la méthode du
respect des polarités est infiniment supérieure à celle des pavages
contemporains, tels ceux des centres villes qui s'offrent des zones piétonnes.
Sur le pavage moderne, trop angulaire, non polarisé, posé sans savoir
intérieur, on trébuche plus souvent et l'on peine plus vite. Mais la recherche
des polarités offrait bien d'autres effets.
Pour créer un champ de force, le
chamane faisait planter les grandes pierres aux points qu'il avait repérés, en
ayant soin d'alterner les polarités des pierres : l'une en polarité vraie,
positif en haut, et la suivante en polarité contrariée, positif en bas, et
ainsi de suite. Cela crée tout naturellement un champ conducteur qui relie les
pointes des menhirs. De cette façon, le courant peut parcourir de grandes
distances. Et les Atlantes s 'en servaient dans un triple
dessein.
Eveil + Energie +
Engrais
Les pièges à foudre
La plupart des
archéologues croient encore que les dolmens étaient des tombeaux. Ils pensent la
même chose des pyramides d'Egypte ou de Mésoamérique. Dans les
deux cas, ils se trompent.
Pour capter l'énergie de la
foudre, les Atlantes ont mis au point des centrales fulgurales. Admettons,
direz-vous, mais si de telles centrales ont existé, pourquoi n'en trouvons-nous
plus de trace ? Oh si, les traces existent. Il suffit de savoir où les
chercher. Ces monuments qui émaillent nos campagnes, menhirs,
alignements, dolmens, cromlechs, à quoi servaient-ils?
Il faut se rendre à l'évidence. Ni les dolmens,
ni les menhirs, ni les pyramides n'ont été conçus pour servir de tombeaux.
D'ailleurs aucun archéologue n'a jamais
retrouvé de corps enseveli sous un dolmen. Pas plus que de momie
dans la pyramide de Khéops. Et d'ailleurs, même si l'on y avait trouvé un
squelette, ça prouverait quoi ? Les mégalithes ont été réutilisés par bien
des peuples. Pourquoi pas comme tombeaux ? A quoi serviront nos centrales
nucléaires ou nos silos de missiles atomiques dans dix mille ans ? Qu'en
feront nos descendants quand nous serons oubliés ?
D'autre part, si les archéologues du futur
retrouvent des corps des évêques et des grands personnages enterrés dans nos
cathédrales, auront-ils la bêtise d'en conclure qu'elles ont été construites
pour servir de tombeaux ? Une fois pour toutes, il faut enterrer la thèse des
sépultures. Les mégalithiques avaient un autre projet en tête, autrement
fonctionnel. Leurs énormes monuments servaient la vie, non la mort.
On nous dit que les anciens Egyptiens
étaient obsédés par la survie de l'âme. Non. Les Anciens étaient plus occupés
de supervie que de survie. Leur but, comme celui de tous les êtres évolués,
était de développer leur esprit, ici et maintenant, et
d'acquérir les super pouvoirs d'un surhomme. Ils ont construit des machines
pour se changer en dieux. Des usines à foudre. Des centrales
électriques et des lignes de courant. Des chambres où
l'initié se prenait le feu de Dieu.
Voilà quel était leur profond dessein : mission
surhomme. Voilà donc la source du mythe de superman et des super-héros étasuniens :
chaque époque réécrit sa propre version des mythologies éternelles. Chaque
culture développe ses propres rêves, les Etasuniens ont humé les leurs dans les
vieilles pierres indiennes et autres vestiges de l'Atlantide. Voilà le
secret des dieux anciens : ils étaient des hommes, et ils avaient trouvé le
moyen de devenir des dieux.
Les pyramides de Guizeh et
de Teotihuacan ou le site d'Avebury sont à
la fois des temples et des machines. Ruines d'usines, vestiges de lignes de
transmission, débris de palais fabuleux, montagnes de pierres énormes, démesure
sur le toit du monde, tunnels jusqu'au cœur de la terre,
prouesses à peine imaginables. On trouve des menhirs et des dolmens à travers
les cinq continents. Ils témoignent de l'universalité d'une culture des grandes
pierres.
Pierres levées ou pierres dressées, pierres
taillées ou polies, équarries ou dégrossies, lisses ou sculptées, elles sont
les vestiges inexpliqués d'une humanité précédente, plus grande et plus forte
que nous. En Chine, nombre de civilisations antiques sont régulièrement
découvertes. Ici une arche de pierre taillée qui pourrait porter le nom de
dolmen.
Les vestiges de la culture Hemudu furent découverts en 1973, et depuis lors
2800 mètres carrés en été dégagés au cours de deux campagnes de fouilles.
Avec une histoire vieille de 6900 ans, ces vestiges représentent une
culture unique et vénérable, que l'on appelle la Culture Hemudu dans les
milieux universitaires chinois. La surface totale de la zone de vestiges est de
40.000 mètres carrés, où les reliques se répartissent selon quatre strates
qui s'articulent entre elles et montrent l'évolution d'une seule et même
culture à travers quatre époques distinctes, couvrant une période historique
totale de près de 7000 ans.
Où qu'elles soient, les Grandes Pierres sont les reliques d'une technologie
de l'éveil. Où qu'elles se dressent, les Grandes Pierres nous rappellent
que l'Homme de la race d'Or avait la tête perdue dans les
nuages. Sa taille démesurée égalait son génie : il a développé au fil des
millénaires une science et un art de l'éveil qui a donné des résultats
splendides pour le retour de nos pouvoirs perdus. Il a fallu
que nous tombions dans la strate la plus profonde de la matière, en ce terrible
âge de fer, pour que nous perdions tout souvenir de notre origine super
lumineuse et de notre mission sacrée.
Est-ce une surprise ? Les Atlantes avaient développé une technologie
tournée vers l'être et non vers l'avoir comme la nôtre, qui n'offre plus aucune
place à l'éveil ni à l'essor de l'esprit. Les grands anciens bâtissaient
des machines sacrées, de matière et d'esprit, combinant les besoins
énergétiques subtils avec la production énergétique grossière. Contrairement
aux nôtres, lieux de maladies et de mort, leurs centrales étaient des lieux
d'éveil et d'émerveillement.
Certes, la toute-puissante fulgurologie faisait
tourner leurs machines, comme aujourd'hui le charbon, le pétrole ou
l'hydro-électricité. Mais elle leur apportait bien plus encore : elle faisait
aussi pousser leurs récoltes et jaillir leur Kundalini. Par comparaison,
notre utilisation de l'énergie est désespérante de bêtise et de
contre-productivité. Ne me croyez surtout pas sur parole, allez-y
voir par vous-mêmes. Dans vos rêves cherchez les Annales Akashiques.
Toute la mémoire des hommes et des géants y demeure à jamais. Servez-vous,
prenez ce qui vous plaît, et revenez nous le raconter...
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