Un
peuple du Mali descendant d'une autre planète
Les Dogons est la dénomination d'un peuple
vivant sur le plateau desséché de Bandiagara au Mali et qui font état dans leur
tradition, d'une cosmogonie si fantastique qu'elle semble tout droit sortir
d'un roman de science-fiction.
Le peuple Dogon affirme descendre des habitants
d'une planète orbitant autour de Sirius...
Ils pensent que Sirius possède un compagnon plus
petit et surtout plus lourd qu'ils nomment PO.
Ce sont deux ethnologues français , Marcel
GRIAULE et Germaine DIETERLEN qui après avoir été initiés par un prêtre Dogon
en 1946, publieront après 4 ans d'enquêtes en 1951 une étude dans le journal de
la " Société des Africanistes" sous le titre: " Un système
soudanais de Sirius", suivi d'un ouvrage intitulé "Le renard
pâle" sous-titré " le mythe cosmologique , travaux et mémoire de
l'Institut d'Ethnologie à Paris" où ils ont fait le récit de ce que leur a
dévoilé, ce prêtre sur la vision des Dogons de l'Univers et ce qu'ils ont
raconté alors, était tellement extraordinaire, que personne ne voulut les
croire.
La connaissance astronomique des Dogons leur
avait été importée des étoiles proches de Sirius A par un être qui allait
devenir leur maître, et qu'ils nommèrent Nommo, selon leurs paroles. Parmi cet
apport de connaissances, il était question de Sirius B et d'un diagramme gravé
et retranscrit par les Dogons, il y a des générations...
Pendant de nombreuses années, ce diagramme est
resté incompréhensible, jusqu'à ce que l'on découvre avec nos nouvelles
techniques d'observations que Sirius A avait une jumelle qui gravitait autour
d'elle! La ressemblance entre les deux prolongations linéaires (Dogons et moderne)
était frappante!
Les
Dogons prétendent, en premier lieu, connaître depuis longtemps deux étoiles
compagnes de Sirius qui est l'étoile la plus brillante du ciel et que l'on peut
voir, en début de Février presque au dessus de notre tête, en Guadeloupe vers
20 heures. Mais à l'œil nu, on ne peut apercevoir qu'une seule étoile et ce
n'est qu'en 1862 que, l'astronome américain Alvan CLARKE découvrit, grâce à un
télescope puissant, la deuxième étoile qui fut nommée alors: Sirius B .
Cependant les Dogons eux affirment qu'il existe une troisième étoile, que nous
pourrions nommer Sirius C, et ils nous disent surtout que leurs ancêtres
seraient justement venus, il y a des millénaires, d'une planète en orbite
autour de cette troisième étoile que nous ne connaissons pas
encore.
Ils
affirment que Sirius possède d'abord un compagnon plus petit et surtout plus
lourd qu'ils nomment PO Tolo ou Po-Digitaria du nom d'une graine de céréale,
africaine très petite et très lourde qu'ils utilisent régulièrement.
Mais
surtout les Dogons savent que Sirius B (Po-tolo) boucle son orbite elliptique
autour de Sirius A en 50 ans et c'est pour cela que ces Dogons célèbrent tous
les cinquante ans, la " fête de Sigui " dont les cérémonies visent à
régénérer le Monde, mais aussi pour que les récoltes des Dogons soient bonnes.
C'est d'abord l'allemand Bessel qui fut le premier, en 1844, à soupçonner
l'existence de cette 2ème étoile, pour expliquer les oscillations insolites du
mouvement apparent de Sirius A, alors que l'orbite théorique de cette étoile
Sirius B, on le sait, invisible à l'œil nu, fut calculé par Peter en 1851 et sa
période de révolution fut précisé de 50090 ans par Van Den Bas en 1960. Les
Dogons le savaient déjà! Mais comment ont-ils su
que
la période de révolution était justement de 50 ans.
Sirius
B est ce que l'on appelle une "naine blanche". Elle est plus vieille
que Sirius A, mais ne mesure que 30000 Km environ de diamètre, 2 fois et demi
celui de la Terre et sa densité est de 50000 alors que sa masse atteint 90% de
celle de notre Soleil. Mais que dire de cette troisième étoile Sirius C que les
Dogons affirment connaître? Ils la nomme " Emma Ya " ou
"Sorgo" ou encore "L'étoile des femmes" et ils disent que
cette étoile a une période de révolution de 32 ans autour de Sinus A, sur une
orbite elliptique très excentrique et qui est, (et cela est plutôt remarquable
comme prècision), perpendiculaire à celle de Sirius B.
Les
Dogons, qui ont dessinés ces orbites sur leur objets précieux sans doute pour
mieux les visualiser, affirment surtout que Emma ya, possède plusieurs planètes
en orbite autour d'elle et que c'est de l'une de ces planètes, que seraient
venus leurs ancêtres, il y a très longtemps à bord du NOMMO vaisseau
inter-stellaire dont la forme et le comportement ressemble beaucoup à ceux de
la fusée lunaire Apollo.
Voici
le symbole Dogon qui représente Sirius, quand on le tourne , on peut voir une
orbite au centre décrite par Sirius A . Sirius B tourne autour , il s’agit donc
d’un système circulaire . Ce symbole est donc un systèm astronomique que les
Dogons n’ont pas pu inventer car on ne peu voir que Sirius A, Sirius B et C
sont invisible a l’œil nu.
En
1991 dans la revue "Astronomy & Astrophisics" , les astronomes,
Jean Marc Bonnet-Bidaud et Cécile Gry nous disent qu'ils en soupçonnent
l'existence par suite de la constatation d'un changement de couleur du système,
à travers les âges, et pensent que cet hypothétique troisième compagnon de
Sirius pourrait bien avoir une orbite très aplatie comme une comète et après
analyse grâce à un coronographe occultant la lumière aveuglante de Sirius A,
ils ont sélectionné deux d'entre ces corps voyageurs sans arriver encore à
déterminer lequel de ces astres montre le même mouvement propre que Sirius.
Cependant dès les années 1920 une demi-douzaine d'astronomes rapportèrent
l'observation d'une 3ème étoile très faible susceptible
d'appartenir
au système, mais aucune confirmation n'a pu émerger jusqu'alors.
Les
Pétro formes sont des arrangements de pierres selon une mystérieuse mais
précise disposition. Ils pourraient être comparés à des cercles de pierres
" celtiques ", ou tout autre arrangement de matériaux premiers
laissés par les civilisations passées.
Certains
ont été retrouvés en Afrique de l'ouest, la terre des Dogons, mais également
ailleurs dans le monde. Rien ne relie toutefois les pétro formes directement
aux Dogons, mais en comparant l'image d'un pétro forme avec l'orbite
particulier des étoiles SIRIUS et SIRIUS B, ont constate une étrange
similitude. Les derniers travaux menés par les astronomes jean-Louis Duvent et
Daniel Benest de l'observatoire de Nice qui utilisèrent des simulations
numériques d'ordinateurs, semblent renforcer l'hypothèse de l'existence du 3ème
corps d'une masse très faible, de 0,5 fois au plus la masse solaire et de
magnètude apparente de 5 à 10 fois plus faible que Sirius A.
D'ailleurs
les Dogons ont également d'autres connaissances astronomiques toutes aussi
étonnantes de la part d'une tribu arriérée qui vit au centre d'Afrique et
pratiquement sans contact extérieur. Ils connaissent les différentes phases de
Vénus, qui sont à peu près analogues à celles de la Lune et ils ont donné 6
noms différents aux divers aspects que présente, d'après eux, cette planète
comme s'ils avaient su comment faire pour l'observer de l'extérieur. D'autre
part, ils divisent le Ciel en 22 parties égales et en 266 constellations et ils
disent aussi que Venus possède un compagnon, qui pourrait être sans doute
l'astéroïde Toro, récemment découvert entre la Terre et Vénus. Ils connaissent
aussi les 4 plus gros satellites de Saturne pourtant invisibles à l'œil nu,
mais ils ignorent cependant les planètes au delà de Saturne donc Uranus,
Neptune et Pluton alors qu'ils connaissent les compagnons stellaires de Sirius.
Il est donc évident que ces Dogons n'ont pas pu , par eux même, acquérir leurs
connaissances et ils ne peuvent en avoir eu la révélation, que par des
initiateurs cosmiques.
Les
Dogons prétendent aussi que tout l'Univers tourne en spirale conique et qu'il a
été créé à partir d'un noyau central par la voix d'AMMA leur dieu suprême et
cela ressemble assez à ce qui est dit dans la Bible tel qu' "Au
commencement était le Verbe de YaHWeH". Pour eux l' Univers est infini,
mais cependant mesurable, ce qui rejoint les théories d'Einstein et de plus,
ils croient que les mondes infinis s'éloignent de nous à des vitesses très
grandes dans un mouvement spiralé donc par une combinaison de translations et
de rotations, combinaison qui se retrouve aussi bien disent-ils dans les structures
élémentaires infiniment petites que dans celles infiniment grandes et nous
voyons là qu'ils anticipent ainsi sur les conclusions les plus modernes
concernant l'expansion et la structure de notre Univers.
La
tradition des Dogons, que nous raconte le prêtre OGOTEMMELI, dit aussi que
leurs ancêtres étaient des amphibiens et c'est pour cela qu' ils célèbrent
l'anniversaire de leur arrivée sur Terre sous le nom de "jour du
Poisson" et cela fait encore penser à la tradition Sumérienne qui nous
parle d' OANNES l'homme poisson qui apparut à plusieurs reprises sur les plages
du Golfe Persique pour civiliser et éduquer les hommes. Le NOMMO était rouge
comme le feu quand il atterri au Nord-est du pays, dans un tourbillon de
poussière, puis il fut traîné dans une dépression remplie d'eau et il put ainsi
flotter. Puis les astronautes amphibiens sortirent de la capsule. D'ailleurs
l'eau joue un grand rôle chez les Dogons qui considèrent que l'eau douce est de
nature masculine et l'eau de mer de nature féminine que cette eau est la force
vitale de la
terre,
force qui se trouve même à l'intérieur de la pierre car l' humidité est
partout. NOMMO, qui désigne aussi le Commandant du vaisseau, est descendu sur
la terre, porteur de fibres végétales tirées des plantes
qui
poussaient déjà dans les "champs du Ciel" et après avoir créé la
Terre, les plantes et les animaux, il créa le premier couple humain, qui
engendra par la suite, les huit grands ancêtres de l'Humanité. Sa tâche
terminée, NOMMO regagna le Ciel.
Ceci
se rapproche, on le voit , de beaucoup d'histoires connues, et on découvre bien
ici, que les Dogons savent qu'il existe des Terres cultivées ailleurs, dans le
ciel, alors qu'il n'y a pas bien longtemps en 1772 certains savants dont le
grand chimiste Lavoisier, pensaient que les météorites ne pouvaient tomber du
ciel car d'après eux, "il n'y avait pas de pierres dans le ciel".
Mais ce sont les révélations sur l'eau, que nous raconte ce prêtre dogon, qui
sont encore plus surprenantes, quand on sait que la science actuelle n'a que
récemment découvert la possibilité d'obtenir de l'eau à partir de la roche du
sol, en voulant optimiser les possibilités de survie des hommes qui pourraient
séjourner sur la Lune pour de longues périodes et cela extrayant de ces pierres
lunaires, à l'aide de procédés très pointus et onéreux, l' hydrogène et l'
oxygène à
l'origine
de la molécule d'eau.
Les
connaissances cosmiques, extraordinaires, des Dogons, nous interpellent, dès
maintenant, et on se demandera longtemps encore, comment ils ont pu connaître
tout cela, sans microscope ni télescope, et sans appliquer les mathématiques
supérieures qui nous ont été nécessaires pour progresser. Et on peut, si tout
cela est vrai, alors émettre l'hypothèse que le passé de notre planète serait
bien plus fabuleux et révélateur que celui que l'on nous a jusqu'alors, si
modestement présenté.
Représentation rupestres des Dieux
dogons :
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