Situé en Equateur
dans la province de Morona ce trouve un des lieux souterrain habitable des plus
complexe de l’humanité avec une histoire incroyable mais qui est un des lieux
aux mêmes caractéristiques que le monde souterrain sous certaines parties du
plateau de Giza (Egypte),(du moins pour certaines caractéristiques: Immenses
blocs de calcaire, immensité de certaines salles taillées, réseau artificiel et
naturel de couloirs, présence de fleuves en surface et sous terre….etc), un
lieu qui a sans doute permis à certains
de survivre et de préserver certaines connaissances pendant des catastrophes
terrestres.
En tout cas
l’entrée impressionnante qui s’aborde par un puit de 65m de profondeur conduisant à des passages spacieux
sur 5 km environ de longueur, atteignant jusqu’à 240 m de profondeur, n’est pas
l’entrée du réseau souterrain censé renfermer le trésor du royaume perdu des
Andes: le Tawantinsuyu (En Quechua les 4 régions des 4 régions unies)
regroupant plusieurs territoires Andins: En
Equateur, Pérou, Bolivie, Argentine , Colombie et Chili….Il y a
plusieurs entrées différentes et plusieurs portions du réseau souterrain qui
sont cloisonnés, dont une entrée sous le fleuve Pastaza (plutôt que sous le
fleuve Coango proche) qui semble être davantage le lieu où en 1946 à l’âge de
16 ans serait rentré Petronillo Jaramillo A. le vrai découvreur de l’histoire
qui y aurait vu une partie de ce trésor.
En effet, après avoir été accepté par les indiens Shuar (appelés: ”Les Invincibles”
car ni les Incas ni les Conquistadors n’eurent raison d’eux) qui gardent
jalousement les lieux par ailleurs inextricables, il aurait
vu une sorte de bibliothèque de
milliers de plaques en métal, chaque plaque pesant environ 20 kg, avec
des dessins géométriques, des inscriptions, le tout sur des sortes de
rayonnage.
Il y aurait vu une
deuxième bibliothèque, celle ci composée de plaques polies translucides et
gravées également, posées sur des sortes de tréteaux dorés et des centaines de
statues représentant des animaux des insectes et des hommes montrant tout
l’éventail d’émotions possible, des barres de métaux de différentes formes avec
des jouets et des piles d’or alluvionnaire, des instruments pour faire des
bijoux, des portes scellées recouvertes de pierres semi-précieuses (peut-être
des tombes) et un sarcophage d’une matière translucide contenant un grand
squelette humain recouvert à la feuille d’or.
C’est par lui que l’explorateur
Argentino-Hongrois “Juan” Moricz eût les renseignements et à son tour essaya
d’y entrer en lançant une expédition en 1969.Moricz était poussé par une
certitude à la fois curieuse et intéressante: D’abord il revendiquait qu’une
vision globale de l’Histoire était nécessaire, ce en quoi il avait parfaitement
raison. Ensuite: Que les survivants des Andes arrivèrent en Mésopotamie entre
8000 et 7000 Av.JC sur des bateaux en balsa, que dans la province d’Azuay (En
Equateur: région 4500m au dessus du niveau de la mer), cette région andine, les
noms sumériens de Ur, Umir, Mosul, sont
légion et que l’ancien sumérien serait une dérivation du proto-Magyar (le
Scythe), le tout approuvé par de nombreux docteurs en université, mais tous
Hongrois… Moricz clama qu’il réussit à y entrer, y découvrit de l’or, des
inscriptions curieuses et une bibliothèque de métal, ce que raconta Von Däniken
en 1973 dans son livre:”L’or des Dieux” où il relate sa rencontre avec Moricz.
Cependant pour des raisons obscurs Moricz nia sa rencontre avec Däniken par la
suite, jetant ainsi curieusement le discrédit sur Däniken et son travail.
Pourtant en 1975 le formidable ingénieur écossais Stan Hall avec le soutien
d’une douzaine d’Institutions et l’astronaute américain Neil Armstrong,
rencontre Moricz cette année là et décide ‘une grande expédition en 1976 pour
Los Tayos.
Au cours de cette
expédition qui dura 18 mois avec de
nombreux scientifiques et une centaine
de soldats, on découvrit 400 nouvelles espèces de plantes, une tombe datant de
1500 Avt JC, un réseau souterrain artificiel et naturel impressionnant mais pas
trace du trésor en question. C’est que Hall n’avait pas encore rencontré
Petronillo Jaramillo pour lui indiquer la bonne entrée du bon réseau
souterrain. Cependant plus tard après qu’en 1996 Jaramillo rencontra enfin Hall
et qu’une nouvelle expédition fut projetée pour 1998, l’équatorien meurt
assassiné en 1998,un jour où il portait une forte somme d’argent sur lui.
Hall ne se démonte
pas et fait une expédition avec le fils de l’équatorien: Mario Petronio
Jaramillo en 1998 pour juste reconnaître les lieux essayer de faire une carte
pour y revenir. Il ne trouva pas d’entrée intéressante. Il retourna en mai 2000
et en janvier 2005 se sentant vieillir (il mourut récemment)et étant fatigué
des paperasseries administratives et du manque de solidarité humaine, il donna
les coordonnées de ce qu’il pense être la bonne entrée à tous ceux désirant chercher
davantage : 77°47’34″Ouest et 1°56’00″ Sud.
Aujourd’hui
l’explorateur Stan Grist est sur les traces de Hall et à bien identifié que
l’entrée devait se trouver au nord de los Tayos sous la rivière Pastaza.
Ce qui est très
intéressant c’est que Hall qui s’intéressait à beaucoup de choses, avait
découvert des micro-diamants au nord du volcan Pichincha à 4200m d’altitude,
découverte témoignée par le géologue Dr Tim Coates et Dr Robert Dourding alors
que les géologues du monde entier pensaient qu’il était impossible que l’on
trouve des diamants en Equateur. Les compagnons de Hall pensent qu’il s’agit de
diamants explosés lors de l’éruption en plein jour, du volcan à l’Ouest de
Quito et que cela donna naissance à l’expression andine :”larmes du soleil”. Or
pour certains experts les nano-diamants sont la marque d’une grande
déflagration, car on en retrouve par exemple sur une couche de sédiments
correspondant à 12,800 ans, avec des marques de très fortes températures et
pression en Amérique là où des Paléo-Américains: les Clovis, disparurent
totalement du jour au lendemain.
La Collection du Père Crespi
Le Père Crespi , né en
Italie en 1891, arriva en Équateur en 1923 et y mourut en
1982.Ce missionnaire est devenu explorateur, anthropologiste,
botaniste, archéologue, musicien tout en s'occupant de son église de
Cuenca. un truc intéressant est que ce curé, parti explorer les profondeurs de
l'Amazonie pour y convertir des tribus retirées, en profita pour
ramasser une collection d’artéfacts exceptionnelle ...d'ailleurs, il
enquêtait rigoureusement auprès de ses ouailles indiennes sur la provenance
exacte des objets et se rendait sur place pour fouiller lui-même.
Dés 1927, il est le premier à rencontrer puis à filmer les Shuar-Achuar,
une population d’environ 70 000 indiens répartis en 400 communautés (ou tribus.
Réussissant à se lier avec ce peuple hyper
farouche et à gagner leur sympathie, il reçut ou leur acheta une quantité
phénoménale d'objets archéologiques et se fit même mener aux endroits où les
indiens les trouvaient afin de vérifier leur origine, dont une grotte à
l'entrée toute sculptée la " Cueva de los Tayos"( Las Cave des
Colibris) ... la majorité des artefacts de sa collection ont été sorti,
selon le père, de cette grotte , entrée d'un complexe de vastes réseaux
sous-terrains profonds sous la jungle où seuls les indiens trouvaient leur
chemin. ...
La
collection du père, sans ordre ni classification, était exposée dans la cour de
son église Maria Auxiliadora quand des visiteurs demandaient à la voir ...
en 1962 un incendie lui fit perdre une bonne partie de sa collection,
plusieurs vols ont ensuite dispersé les pièces restantes, et à sa mort le peu
qu'il restait de sa collection a disparu de nouveau , on ne sait pas si
l'église les stocke dans ses archives ou si le tout a été vendu ....Une chance, ayant été visité par plusieurs
archéologues et photographes, il nous reste quelques archives photographiques
et filmées de cette fameuse collection comprenant plus de 70 000 objets empilés
dans trois pièces .
Richard Wingate,
visitera lui aussi ,fin années 70, cette collection afin de la photographier
... il a pris plus de 3 000 clichés, représentant selon lui, seulement 2% de la
collection..il décrit : "Des rouleaux entiers faits de feuilles
de métal étaient empilés dans un coin ... le curé m'expliqua que les indiens
les avaient arraché sur les murs intérieurs de constructions abandonnées dans
la jungle ... on pouvait trouver ces papiers de métal en trois métaux
différents : de l'or, en argent mais sans trace de corrosion, et dans un métal
que je connaissais pas, du même style que de l'aluminium. Chaque cm de ces
feuilles étaient décoré avec des dessins complexes, certains montraient des
cérémonies, d'autres des situations comiques ... chaque feuille faisait entre
2,5 à 4 mètres de haut par 4 , voir 8 mètres de long. Ces longueurs étaient
composées de feuilles individuelles de 1,2 m qui avaient été rivé ensemble de
façon très artistique".
L’une des pièces les
plus remarquables est cette plaque en or sur laquelle est gravée une écriture
inconnue sur le continent. En 1976, un linguiste Hindou, Dileep Kumar, a dit
que cette écriture était proche du Brahmi, antique langue et écriture utilisée
encore selon l’Histoire de l’Inde il y a 2300 ans. De l'écriture phénicienne et
également magyar y a été reconnue ...
Voici d’autres objets
remarquables trouvés sur les lieux qui pourraient être des faux vu leurs
caractéristiques surprenantes. Par exemple une gravure de Dinosaure , des
gravures égyptiennes et sumériennes
Cet objet , similaire a ce symbole crétois .
Gravure et
statuette égyptienne.
Statuette
Sumérienne/Assyrienne du dieu Apkallu
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