On découvre souvent disséminés au hasard et
plutôt dans des régions inhospitalières des objets de formes géométriques
parfaites comme des œufs, des cercles ou des sphères de diamètre allant de
quelques centimètres à près de 3 mètres.
En
effet au milieu de la jungle, sur de hautes montagnes, dans les deltas des
fleuves et sur des
collines, on découvre
dispersées çà et là, des centaines de boules artificielles parfaites de 12
tonnes en granit ou en lave.
On en a, par exemple, découvert des sphères aux
USA dans le Tennessee, l'Arizona , la Californie et l' Ohio et le professeur
Marcel Homet archéologue et auteur du livre " Les fils du soleil " a
découvert en 1940 dans la partie supérieure du Rio Branco au nord de
l'Amazonie, un gigantesque œuf de pierre de 100 m de long et 30 m de haut ,
couvert de symboles solaires et qui n'est pas, a dit cet archéologue, un
"caprice de la nature", mais qui a nécessité un travail de sculpture
s' étendant sur des dizaines d'années et exécuté par un nombre incalculable
d'artistes. Mais la véritable sensation archéologique, qui nous interpelle
maintenant, nous dit le célèbre l'explorateur suisse Erich von DÄNIKEN dans son
remarquable ouvrage "Retour aux étoiles" publié chez R. Laffont en
1971 ou plus récemment chez J'ai Lu (numéro A 322) , attend toujours d'être
déchiffrée, dans le petit État du Costa Rica, en Amérique Centrale.
En
effet au milieu de la jungle, sur de hautes montagnes, dans les deltas des
fleuves et sur des collines, on découvre dispersées çà et là, des centaines de
boules artificielles de granit ou de lave. Leur diamètre va de quelques
centimètres à près de 3 mètres. Actuellement la boule la plus lourde qu'on ait
déterrée pèse environ 30 tonnes.
Ces
boules admirables sont-elles un caprice de la Nature, des roches volcaniques ou
est-ce la puissance de l'eau qui aurait donné cette forme sphérique parfaite ?
Erich Von Daniken en a découvert éparpillées sur un terrain plat, et placées en
groupes au sommet de diverses collines. Certaines boules étaient toujours
placées au centre de l'axe de la colline. Il en a aussi trouvé des troupeaux
groupés selon un ordre étrange, dans la vase d'un fleuve, et dans la plaine de
Diquis, où règne une chaleur torride, il découvrit 45 de ces boules qui cuisent
au soleil. Il raconte aussi qu'il a dû parcourir, dans la région de Piedras Blanca,
près de 100 km en 4x4, dans une jungle hostile. Et pendant encore une heure de
marche, aidé d'un guide expérimenté qui courrait devant lui pour écarter les
araignées géantes aux morsures mortelles, il réussit à se trouver en face de
deux énormes boules parfaitement sphériques et tout à fait impressionnantes par
leurs masses au milieu de cette forêt.
Il
faudra bien se poser alors la question de savoir comment ces objets sphériques
de la forêt, qui vu leur perfection, ne peuvent qu'être qu'artificiels et
remontent à n'en pas douter à une époque très reculée, se sont trouvés projetés
inexplicablement, en pleine jungle. Il est vrai en effet, que l'on a
aujourd'hui, aucune explication de la part des archéologues sur les habiles
sculpteurs et sur les techniques qu'ils ont utilisées pour réaliser ces
superbes boules du Costa Rica dont ont a constaté, que les irrégularités
qu'elles présentaient était souvent infimes. La perfection de ces objets montre
effectivement que les artisans qui les ont fabriqué, connaissaient bien la
géométrie spatiale et avaient à leur disposition des instruments techniquement
bien conçus.
En
effet, à notre époque, nous ne pourrions réaliser une boule parfaite de 2,5 m
de diamètre qui représente environ une aire de 5 m2 et un volume de 8 m3, dans
une roche aussi dure que le granit, qu'en utilisant des machine-outil
programmables très perfectionnées. Il nous reste donc qu' à découvrir vraiment
comment ces extraordinaires artisans sont arrivés à réaliser ces objets avec
une telle maîtrise et de plus comment certaines boules ont été transportées
jusqu'au sommet d'une montagne ou encore, en pleine forêt vierge et dans quel
but.
Une
légende locale raconte que chaque boule appelée Indians-ball ou Sky-ball par
les indigènes représente le symbole de l'astre du jour notre Soleil. Mais les
archéologues rejettent cette interprétation, car d'après eux à ce degré de
latitude, le soleil a toujours été représenté par un cylindre, une roue, ou un
disque doré mais jamais par une forme sphérique, pas plus chez les Incas, que
chez les Mayas ou les Aztèques.
D'ailleurs les indigènes eux mêmes répugnent à
conduire les visiteurs sur les lieux où se situent ces boules parfaites car ils
les considèrent comme des objets sacrés et dont les emplacements sont des
sanctuaires tabous.
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