Avec des blocs de pierre énormes, les
Atlantes ont construit des temples de lumière. Ces vestiges d'une trop
lointaine surhumanité ont été longtemps confondus avec des ruines antiques.
Il est temps de changer de lunettes.
Avant l'antiquité déjà lointaine dans nos
souvenirs scolaires, avant les Grecs et les Romains, avant l'Egypte, avant la
Chine, avant Sumer, il y eut une longue, très longue période de barbarie. L'âge
de bronze. Entre les colonnes vivantes, l'initié attendait la foudre, la terreur du
tonnerre, et les boules de feu blanc qui roulent. Homme il est entré, Dieu il
en sortira. A contempler ces murs cyclopéens, les blocs de pierre dure aux
arêtes multiples évoquent les pièces d'un maxi-puzzle en 3D. A moins qu'ils ne
soient les rouages d'une machine?
Rappelons que les blocs géants sont assemblés au
millimètre, sans mortier, parfaitement ajustés. Et qu'ils s'emboîtent selon des
formes biscornues comptant jusqu'à quinze arêtes, prouesse
architecturale que nous serions bien en peine de réaliser aujourd'hui. Se
donne-t-on tant de mal sans raison ? Ces pierres avaient besoin d'un tel
poids et d'un tel ajustage pour résister non seulement aux séismes de façon
passive, mais aux multiples impacts de la foudre et de façon active…
Il y a une vingtaine d'années, Castaneda a
présenté des passes magiques de sorciers, qu'il appela tenségrité. Le mot
vient de l'architecture, mélange de tension et d'intégrité. C'est "la
propriété des structures squelettiques mettant en jeu des éléments continus en
tension et des éléments discontinus en compression de telle façon que chaque
élément fonctionne avec le maximum d'efficacité et d'économie". En
architecture, c'est l'art et la manière de faire tenir des structures légères
avec un minimum d'effort.
L'architecture moderne semble le découvrir, mais ce principe est bien connu
des nomades, partisans des constructions légères, facilement démontables, qui
tiennent en tension. Gustave Eiffel l'a utilisé aussi, sans en faire un fromage,
pour construire sa tour. Pour Castaneda, la tenségrité désigne un type de yoga
magique, qui sert à "déplacer le point d'assemblage", c'est à dire,
pour faire simple, à entrer dans des mondes parallèles. Euréka !! C'est ici que
la lumière a surgi dans mon esprit.
Les structures
mégalithiques sont bien des machines, les murs cyclopéens sont une application
de la tenségrité aux structures lourdes. La tension des câbles ou la torsion
des tiges minces est remplacée par l'imposante pression des blocs cyclopéens. Teotihuacan,
Cuzco, Tiahuanaco et les autres sont autant d'exemples réussis de cette
merveilleuse tenségrité lourde qui n'est pas sans rapport avec la gravitologie, science
atlante aux applications multiples. Ces villes paratonnerres furent
des centrales d'énergie fulgurale.
Puis elles sont devenues les
laboratoires-refuges où furent mises au point les techniques qui devaient
permettre aux hommes de redémarrer une civilisation après le déluge.
Souvenons-nous que la galipette du déluge avait fait perdre aux Atlantes leur
principale source d'énergie : lagéo-électricité. La priorité était donc de
trouver une énergie de remplacement. Ils choisirent le feu du ciel, qu'ils
utilisaient depuis longtemps à des fins d'éveil spirituel. Car les Atlantes
étaient les maîtres de la foudre.
Ni les dolmens, ni
les grandes pyramides ne sont des tombeaux. Ce sont des
machines. Les rouages d'usines à foudre. Des centrales électriques et des
temples initiatiques. A Teotihuacan, au Mexique, les anciens dieux
avaient bâti des monuments impressionnants qu'on peut encore
admirer."Selon les nombreuses légendes locales transmises de génération en
génération, ces monuments ont été construits par des géants et leur fonction
était de transformer les hommes en dieux."
Transformer les hommes en dieux ? Comment s'y
prenaient-ils ? Ils n'y allaient pas par quatre chemins. Nous avons vu
comment Gilgamesh avait équipé le temple d'Uruk d'un
paratonnerre, afin de capter la foudre, bénédiction du ciel qui fait de nous
des dieux. Salomon avait fait de même à Jérusalem, et Héliogabale à
Rome. Mais ces paratonnerres n'ont rien à voir avec les nôtres. Si on les
appelle des paratonnerres, ce n'est pas par analogie avec les nôtres, qui
détournent la foudre des tours ou des clochers pour la remettre à la terre. Le
paratonnerre de Gilgamesh fait exactement le contraire. Il s'appellerait mieux
un capteur de foudre, car c'est là sa fonction. Une batterie électrique -ou
tout autre dispositif- maintient sa polarité pour qu'il attire la foudre en
permanence. A Teotihuacan, la base des pyramides est isolée par du mica.
Alors, sans arrêt certains jours, le tonnerre antique roulait et les éclairs
tombaient sur le capteur, faisant vibrer le temple jusqu'à ses fondations,
illuminant la pyramide sommitale où des boules de feu blanc ruisselaient
jusqu'au Saint des Saints. C'est ce Saint des Saints que reproduit, à moindre
échelle, et d'une toute autre façon, l'arche d'alliance de Moïse.
Le Saint des Saints est le point le plus sacré
du temple ; il existe en Asie, en Amérique, en Egypte, et dans tout le
Moyen-Orient. Il existe en Europe antique avec les temples grecs et latins, et
en Europe médiévale avec le gothique et le roman. Mais
d'abord et avant tout, on le retrouve dans des ensembles mégalithiques comme
celui d'Avebury, avec l'allée couverte de West Kennet. Nous
l'avons baptisée la loge d'éveil. Dans le Saint des Saints, ou tout près de
lui, sont installées des loges d'éveil, sous une forme ou l'autre, dans tous
les temples antiques à travers le monde.
Dans la Grande Pyramide attribuée à Khéops, le saint des Saints est la
Chambre du Roi, bien mal nommée : son vrai nom est Chambre d'Isis. C'est là que
s'accomplissait l'étape finale de l'initiation aux mystères d'Isis, l'effusion
de la foudre. Dans cette chambre d'Isis, la loge d'éveil est le
pseudo-sarcophage où s'allongeait l'impétrant. Il y a des initiations plus
confortables, mais peu qui soient aussi efficaces. Quand on y survit… La grande
pyramide aurait été bâtie à cette fin : transformer l'homme en dieu.
Les initiés y recevaient un traitement d'électrothérapie fulgurale. La
chambre d'Isis, alias chambre du Roi, avec son tombeau vide et les
prétendus "arcs de décharge" qui le surplombent sont la
plus parfaite réalisation de piège à foudre sur cette planète. L'appareillage
des arcs de décharge avait une fonction électro-initiatique surpuissante. Il
éclatait l'éclair en dizaines de boules de foudre que
l'impétrant recevait, allongé nu dans le tombeau. Il pouvait acquérir de
nombreux pouvoirs psys, ces fameux pouvoirs perdus qui
font des hommes les égaux des dieux.
M. Baygent prétend, à la suite d'Edgar Cayce, que Jésus
lui-même aurait reçu cette initiation ici, en Egypte. La foudre est acheminée
par des tiges métalliques jusqu'aux arcs de décharge, qui l'éclatent en boules.
Dans son tombeau, le futur éveillé attend la survenue des boules de foudre.
Bientôt le ballet de lumière va illuminer la chambre d'Isis. S'il en réchappe,
l'initié sera investi d'une puissance quasi-divine. Il recevra les pleins pouvoirs.
C'est ce qui est arrivé à Jésus. Marie l'a mis au monde, mais sa
vraie mère est Isis, qui lui donna la lumière.
Par la suite, d'autres techniques
d'éveil ont été développées, moins dangereuses, en tout cas plus simples à
mettre en œuvre. Ainsi l'Arche d'Alliance que
Yahveh donna à Moïse aurait été un condensateur électrique capable de générer
des éclairs létaux mais aussi des lueurs d'éveil. Les armes des dieux d'avant,
tels le vajra d'Indra, l'uraeus des pharaons ou le foudre de Zeus, avaient la
même double fonction : éveiller ou endormir à jamais.
Et puis, d'autres bâtisseurs géniaux ont capté
non plus la foudre, mais le Vril, cette énergie électromagnétique
et plus encore, qui est tout autour de nous. Leurs temples ont fonctionné comme
des cages de Faraday, capables de protéger les fidèles de toute radiation
nocive, et d'amplifier l'énergie bénéfique du lieu. Ce savoir architectural
particulier remonte à l'Atlantide, il a été mis en œuvre dans les dolmens
et allées couvertes d'Europe. Par un saut singulier à travers le temps, la
construction sacrée va réapparaître au 10e siècle avec les bâtisseurs de cathédrales et de
cryptes, véritables machines d'éveil.
très intéressant, ce tombeau de Kheops. Tellement intéressant, que les Egyptiens l'ont déplacé et mis hors de la pyramide, dans le musée à coté.
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