Au départ, les croyances et la mythologie
nazie
Avant la fin de la première guerre mondiale, fût
créé la société secrète, les "FRERES DE LA LUMIERE" qui prit, plus
tard, le nom de "SOCIETE VRIL". Dans celle-ci se retrouvèrent aussi
"LES MAITRES DE LA PIERRE NOIRE", une nouvelle fondation des
templiers, issue de l'ordre Germanique du Moyen-âge, et les "CHEVALIERS
NOIRS" du "SOLEIL NOIR", élite de la Société Thulé et des
SS.
Dans ces différentes sociétés se trouvait
quasiment tous les grands responsables nazis et beaucoup de scientifiques, des
sommités dans tous les domaines. Cela donna une ligne directrice (un
commandement hiérarchisé) et un but idéologique (la motivation de réussir), qui
a donné un élan à cette entreprise démesurée (comme on le verra plus loin).
D'après certains, les nazis auraient eu
connaissance d'un savoir secret, non seulement par des contacts télépathiques
avec des extra-terrestres leur fournissant les plans de construction, mais
aussi par l'étude d'une soucoupe non terrestre qui se serait abattue en Forêt
Noire en 1936.
La découverte de ces connaissances et en fait
beaucoup plus concrète et "classique" que l'on pourrait le croire.
Même si les nazis avaient en effet une très forte attirance pour tout ce qui a
trait à "l'énergie du vril". Une énergie qui permettrait de faire
vivre l'homme en harmonie avec la nature et qui serait détenue par les
habitants d'un monde souterrain, "l'Agartha". C'est par cette
"mythologie" germanique liée à l'idéologie nazie, que dans l'esprit
des hauts dignitaires du Troisième Reich et surtout d’Hitler, la recherche vers
des technologies innovantes et des énergies inconnues fût entreprise.
Le crash de Freiburg
29/07/1936… 15h00 (tel). Un «disque volant
» a survolé le territoire de la France, à partir des Pays Basques.
Puis il survole Vintimille à très basse altitude (600 mètres), puis viole
la zone militaire de Gouta et de Bayard. Malgré la faible altitude, aucun des
observateurs militaires n’est capable d’identifier le modèle de l’ »avion
Fantôme »,ni sa nationalité. Par un étrange « hasard »,aucun
média ne sera sur place pour faire un communiqué. L’électricité manque et de
nombreux appareils tombent en panne (pour un blackout…pas de journaliste
sur les lieux?) Le quartier général des gardes-frontières italiens, au
nord de l’Italie, pourra entendre le bruit de l’appareil et alertera
plus tard les préfectures de La Spezia et Imperia. L’alarme est
donné partout au sujet de » l’avion fantôme » (en fait
un disque volant).
En Allemagne, Maria Orsic, la grande voyante et
grande prêtresse de la Société du Vril, entre en transe. Elle écrira avoir reçu
un message télépathique des occupants de l’appareil. À la tombée du jour, elle
avertit le Reich führer Heinrich Himmler par téléphone qu’un
appareil volant en forme de disque …venant d’un autre monde ,va s’écraser en
Forêt Noire.
Himmler qui a une confiance aveugle en Maria
Orsic ,va mobiliser tout son monde à portée de main.
Vers 18h00,sous un ciel nuageux et sombre un
ovni s’écrase près de Freiburg, en pleine Forêt Noire. Curieusement, ce sont
les grandes prêtresses de la Société du Vril et un détachement de la SS qui
seront les premiers sur les lieux.
Les officiers crieront des ordres à haute voix, les
civils et les curieux seront éloignés pendant que deux camions seront chargés à
plein, des débris et morceaux de l’appareil. Il y aurait au moins un survivant
parmi les occupants de l’appareil.
Tout le matériel sera envoyé au Château de
Wewelsburg.
Le Führer aurait été mis en présence du
« survivant de l’écrasement ».Quelques jours plus tard, il se
réveillera vers 2h30 du matin, en criant devant ses aides et gardes du
corps: »J’ai vu le surhomme…et j’ai tremblé devant lui! »
Grâce à cet événement inespéré, la technologie
militaire et scientifique allemande va connaître un envol …extraordinaire. Maria
Orsic est à l’origine de la mise au point du premier « Ovni Nazi »
grâce a la contribution de Viktor Schauberger.
Viktor Schauberger
Né le 30 juin 1885, décédé le 25 septembre 1958, Viktor Schauberger n'a pas
voulu poursuivre d'études universitaires. Il avait choisi d'être garde forestier
au service d'un prince autrichien, dans la forêt sauvage de Bernerau qui
faisait partie de la réserve naturelle de la famille royale. C'est là qu'il fit
ses premières observations de la puissance du vortex en mouvement.
Schauberger dit : " Cela se passait au
début du printemps, par une nuit au clair de lune, à la saison de la ponte.
J’étais assis près d’une chute d’eau, attendant de prendre un braconnier en
flagrant délit. Ce qui se produisit alors fut si rapide, que j’eus des
difficultés à comprendre ce qui se passait. La lumière de la lune tombant à la
verticale dans l’eau claire comme du cristal me permettait d’observer chaque
mouvement des nombreux poissons qui se regroupaient.
Tout d’un coup, les truites se dispersèrent à
l’apparition d’un poisson particulièrement grand qui remontait du fond pour se
mesurer à la chute d’eau. Cette truite de grande taille parut vouloir perturber
les autres truites en dansant selon d’amples mouvements de torsion, de va et
vient dans une nage rapide. Ensuite, aussi soudainement qu’elle était apparue,
la grande truite disparut dans la cataracte liquide qui brillait comme une chute
de métal. Puis je la vis en un éclair, dans un courant d’eau de forme conique,
danser sur un mouvement sauvage de rotation dont la raison ne m’apparut pas
claire au début. C’est alors qu’elle émergea de ce mouvement rotatif et flotta
vers le haut sans bouger. Enfin, lorsqu’elle atteint la courbe inférieure de la
chute, elle se retourna et d’une poussée puissante, parvint à la courbe
supérieure de la chute.
Plongé dans mes pensées, je remplis ma pipe et la fumais jusqu’au bout sur le chemin du retour. Par la suite, j’eus l’occasion d’observer la même séquence de jeu d’une truite sautant une chute imposante.
Plongé dans mes pensées, je remplis ma pipe et la fumais jusqu’au bout sur le chemin du retour. Par la suite, j’eus l’occasion d’observer la même séquence de jeu d’une truite sautant une chute imposante.
Schauberger se rendit également compte que le mouvement de vortex de l’eau, un peu au dessus de 0 ° centigrade, générait une force capable de soulever des galets arrondis.
Cependant, ce qui l’intriguait le plus, c’était les truites des ruisseaux de montagne. Comment pouvaient - elles rester sans bouger, comme suspendues, dans un courant d’eau rapide, et puis, filer à la vitesse de l’éclair vers l’amont ? Il était convaincu que la turbulence et le mouvement de l’eau, à son point de densité maximale (4 ° Celsius), générait une force dans la direction opposée à celle du courant. Il était également convaincu que cette force était à l’origine du soulèvement des galets et que les truites pouvaient trouver le courant d’énergie de l’amont et l’utiliser pour rester suspendues sans bouger dans un courant d’eau rapide, ou se propulser vers l’amont ou par dessus les chutes d’eau. Pour lui, la truite utilisait aussi une force générée par le mouvement en spirale de l’eau passant à travers ses ouïes et sur la surface de son corps.
Il vit aussi l’eau d’un lac, sans apport extérieur se renouveler avec un tourbillon suivi d’une gigantesque trombe.
Le système de propulsion inversé de la répulsine
semble révolutionnaire mais Viktor Schauberger pense avoir redécouvert une
technologie que les anciens possédaient déjà. Il fait référence à de vieux
textes sanskrits où il a pu comprendre des notions de force des fluides qui
pouvaient annuler la gravité. Telle était la technologie qu’utilisaient les Vimanas
.
Lors de la seconde guerre mondiale, menacé de ne
plus jamais revoir sa famille, il a été détenu par des Nazis et contraint de
travailler sur son appareil. Il devait superviser une équipe, prisonnière comme
lui, pour construire un nouveau vaisseau qui lévitait sans brûler de carburant.
Il prit son temps car il ne voulait pas doter le troisième Reich d’un
quelconque avantage.
Les installations ayant été bombardées, ils
furent transférés à Leonstein pour y travailler sur un disque volant alimenté
par sa turbine. Le prototype émettait des lueurs bleu-vert et laissait une
lueur argentée lors de l’ascension, mais il s’écrasa au plafond du laboratoire.
En 1956 Da Neue Zeitalter publia un
article dans lequel on mentionnait l’essai du premier disque d’un diamètre de
50 mètres, près de Prague. Schauberger savait bien comment faire voler ses
disques, (à mach 3 dans n’importe quelle direction), mais n’avait pas résolu
(volontairement ou non ?) la question du freinage, et tous les disques
s’écrasèrent.
Peu après la fin de la guerre, les alliés l’empêchèrent de poursuivre ses recherches : un groupe de soldats américains arriva chez lui à Vienne, saisit l’appareil de Schauberger et mit ce dernier en garde à vue pendant six mois. Ce qu’ils laissèrent dans son appartement fut ensuite détruit par une bombe des agents soviétiques. Les autorités américaines lui interdirent de continuer ses recherches sous peine d’être à nouveau arrêté. Il a donc poursuivi ses travaux dans la plus grande discrétion.
Peu après la fin de la guerre, les alliés l’empêchèrent de poursuivre ses recherches : un groupe de soldats américains arriva chez lui à Vienne, saisit l’appareil de Schauberger et mit ce dernier en garde à vue pendant six mois. Ce qu’ils laissèrent dans son appartement fut ensuite détruit par une bombe des agents soviétiques. Les autorités américaines lui interdirent de continuer ses recherches sous peine d’être à nouveau arrêté. Il a donc poursuivi ses travaux dans la plus grande discrétion.
En 1958, deux américains l’ont persuadé de venir
avec son fils Walter aux USA, en lui offrant de fabriquer son appareil, son
rêve de toujours. Un expert américain du nucléaire a passé trois jours entiers
avec lui et a fait un rapport confirmant le bien fondé de ses travaux. Mais les
personnes qui hébergeaient Schauberger et son fils se montrèrent peu pressées
de développer le générateur. Le contrat stipulait le silence complet de
l’inventeur sur ses travaux passés et à venir, le consortium se réservant tous
les droits. Le cœur brisé, Schauberger revint en Autriche et décéda cinq jours
plus tard. Son fils a gardé une rancœur vis à vis des USA qui ont tout pris à
son père. On peut penser que le consortium a peut-être exploité ses travaux,
particulièrement ceux qui concernaient les disques volants.
Il est très difficile de remonter la piste des
écrits de Schauberger, même en les réclamant au titre du FOIA, Erwin Krieger,
scientifique et industriel en retraite en a fait l’expérience. La CIA les a
refusés sans toutefois confirmer ou non leur existence. Schauberger était
certain que le vortex conique ou spirale cycloïde allant vers l’intérieur
(implosion) était une source d’énergie. Il est le père de la technologie à
implosion, principe diamétralement opposé à celui utilisé de nos jours,
l’explosion.
Dans l’implosion il s’agit d’un flux en vortex
auto alimenté de tout milieu liquide ou gazeux qui a un effet directeur et
concentrateur et qui fait décroître la température du milieu, contrairement à
ce qui est imposé par les lois de la thermodynamique.
Afin de tester son idée, Schauberger construisit
une turbine produisant de l’énergie gratuite en faisant tourbillonner de l’eau
glacée pour obtenir une forme de mouvement en vortex ainsi qu’une force d’antigravité.
Sa turbine était basée sur le principe de torsion, d’enroulement et de rotation
qu’il avait observé dans les courants d’eau rapides des ruisseaux de montagne.
Les formes des turbines qu’il conçut et qui connurent le plus de succès,
étaient basées sur l’idée des spirales en forme de tire-bouchon éjectées par
les ouïes des truites et de ce fait, il appela son appareil, la "turbine
truite" (trout turbine).
Au cours de toutes ces expérimentations, il se
rendit compte que la température et la structure de l’eau étaient critiques de
même que la forme de sa turbine, ainsi que les matériaux utilisés pour sa
construction.
Au début des années 30, il fabriquait avec des
matériaux spéciaux, des tuyaux coniques contenant une turbine spiralée,
actionnée par un moteur électrique, qui éjectait un courant d’eau en vortex et
dirigeait cette eau vers une turbine conventionnelle couplée à un générateur.
Schauberger prétendait que lorsque l’eau passait de plus en plus vite dans la
turbine en spirale, cette dernière produisait d’énormes quantités d’énergie.
Une fois couplée à une dynamo, la turbine se mettait à produire plus
d’électricité que le moteur n’en consommait à l’entrée. Le système s’emballait
rapidement et l’appareil s’arrachait de ses points d’attaches pour aller se
fracasser au plafond.
Le même phénomène
se produisait lorsque Schauberger faisait ses expériences avec des turbines à
air. Peu importait donc le moyen utilisé, le mouvement du vortex semblait
générer de l’énergie venant apparemment de nulle part et produisait également
une force d’antigravité.
Expérience de Viktor Schauberger 1955 Source NET-Journal
Expérience de Viktor Schauberger 1955 Source NET-Journal
Juste avant la fin de la deuxième guerre mondiale, la firme viennoise Kertl construisait et testait les turbines à vortex de Schauberger dans l’optique de les utiliser dans des moteurs d’avions.
Aloys Kokaly, ingénieur, était employé dans la fabrication de certaines pièces
et c’est lors d’une de ses livraisons de pièces à l’usine Kertl qu’on lui dit :
" Ceci doit être préparé pour M. Schauberger selon les ordres donnés par
une autorité supérieure, mais lorsque ce sera fait, il faudra le mettre dehors,
car lors d’un précédent test, un de ces étranges assemblages, est passé
carrément à travers le toit de l’usine."
Schauberger pensait avoir découvert un moyen de produire la fusion nucléaire à froid.
En effet, il assimilait ses turbines à vortex à des engins à implosion. Il
supposait aussi que la température du sang favorisait la circulation. Pour lui,
la fonction cérébrale, en particulier l’intuition, dépendait de la qualité de
l’eau
Il attribuait la majeure partie des maladies mentales à une dégradation des
qualités de l’eau potable, la meilleure eau étant celle du printemps et surtout
pas l’eau pure ou distillée.
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