De
siècles en siècles , les égyptologues , les scientifiques , et les passionnés
restent partagés quand a sa signification et a l’existence supposée d’une
chambre secret au dessous.
Les
égyptologues disent que le Sphinx date de l'époque de Khephren ,bâtisseur de la
2eme pyramide .Mais les preuves qui rattache le roi Khephren a ce site ne sont
pas valables .
Une
comparaison du visage du sphinx avec la seule statue du roi Khephren montre
qu'ils sont complètement différents .
Les
archéologues et les géologues s’accordent a dire que le Sphinx remonte bien
avant Khephren. On peu donc imaginer que le Sphinx est le dépositaire du
savoir d’une civilisation plus ancienne et plus avancée , peu être même venue
d’ailleurs...
Jusqu’a
présent , les égyptologues et les archéologues étaient convaincus que les
marques d’érosion profondes étaient dues au vents chargés de sable qui aurait
soufflé sur le Sphinx pendant des
milliers d’années, mais les nouvelles recherches menées sur le plateau de Gizeh
ont fait apparaitre 2 types d’érosion. La plupart des monuments ont été érodés
par le vent et l’abrasion provoquée par le sable , ceci a finit peu a peu par
creuser les couches horizontales plus friables donnant a la roche cette
apparence angulaire. Ce que l’on peut apprécier en examinant les murs
d’enceinte et le corps du Sphinx est de nature très différente car l’érosion y
a laissé des marques plus ondulantes , plus rondes. La conclusion est que
seules des précipitations ont provoqué ce type d’érosion que l’on retrouve
autour du Sphinx et sur sont corps. L’Egypte est un désert et cela depuis
environ 7000/10000 ans . Aujourd’hui le plateau de Gizeh se trouve en bordure
du désert du Sahara mais l’Egypte n’a pas toujours été une région aussi aride .
En effet a la fin de la période glacière , entre 10 000 et 8000 avant J.C
, l’Egypte était pendant une longue période recouverte d’une savane verdoyante
et humide avec des précipitations fréquentes . Ce n’est qu’a partir de 3000 av.
JC que le désert du Sahara a commencé a s’étendre et a occuper ce territoire.
Lorsqu’on examine les traces d’érosion du Sphinx on se rend compte qu’elles ont
été provoqué par des précipitations intense , ce qui nous permet de dater le
corps du Sphinx a bien plus que 3000 avant J.C , autrement dit bien avant
l’Egypte de la première dynastie qui remonte a cette période précise .
N’y a t’il pas moyen de déterminer avec plus d’exactitude la
date de création du Sphinx ?
On
a réaliser une étude sismologique sur le Sphinx et l’enceinte autour du Sphinx
, avec des experts en sismologie . On a fait une découverte particulièrement
intéressante : Si toutes les parties du Sphinx avaient été sculpter a la
même période , l’érosion en surface devrait être régulière et égale sur les 4
cotés du Sphinx. Toutefois se qu’ils ont découvert était vraiment différent .
Sur le dos et l’arrière du Sphinx, l’érosion était relativement superficielle ,
tandis qu’elle était beaucoup plus profonde sur l’avant .
D’après
les septiques ,le Sphinx est resté enseveli sous le sable la majeure partie de
sont histoire et d’après les eux ,les traces d’érosion sont probablement le
résultat chimique due au contacte du sable humide. La présence d’eau dans le
sable est attribuable aux pluies intermittentes au cours des 4000ans dernières
années , la cristallisation du sel et l’érosion de la pluie du temps où le
Sphinx n’était pas encore ensevelit sous le sable ont contribuait a accentuer
les traces d’érosion.
Lorsqu’on
étudie le Sphinx et les murs d’enceinte , il faut clairement différencier les
types d’érosion observés , il est donc possible de tester les différentes
hypothèses et la seule qui tient la route c’est l’hypothèse selon laquelle
l’érosion de l’enceinte du Sphinx a été provoquée par des précipitations , et par
l’écoulement qui s’en suit Plusieurs
autres structures semblent aussi dater de la même période. Pour ne citer qu’un
seul exemple , on a fait la découvert d’une série de tombes très intéressantes
sur le plateau de Saqqarah , celles-ci
n’ont pas pu être daté avec certitude mais elles comportent des traces
d’érosion très marquées qui laisse supposer qu’il s’agit de structures
prédynastiques datant de l’époque du Sphinx .
Etait-il
donc possible de construire de tel structures a cette époque ? qui les a
construites et pourquoi ?
Les
textes de l’Egypte antique font mainte fois référence a un âge doré lointain
qui aurai existé avant leur temps. Cette période qu’ils nomment SEPTEPI ou le
premier temps aurait marqué l’ère du Lion en 10 500 avant JC . La lente oscillation
de la Terre semble faire voyager les constellations a travers les âges . Les
anciens égyptiens accordaient une attention particulière a ce phénomène nommé
récession des équinoxes.
A
peu près tous les 2000 ans un nouveau signe du zodiac apparaît derrière le
soleil et défini une nouvel ère , une autre époque astrologique . Le grand
Sphinx semble avoir été érigé pour contempler ce phénomène , pour regarder sa propre image a l’horizon il
y a 12 500 ans. Le sphinx détérioré et retaillé d'aujourd'hui était en fait un
Lion ,un lion bâti il y a peu près 12 500 ans , regardant arriver la
constellation du lion .
Ceci
est bel est bien la conclusions de plus en plus d’archéologues, cette tête de
pharaon a été resculptée à partir d'une tête de lion très abimée par les
pluies, comme le corps. Voilà pourquoi la tête est si petite. Sans cette tête
de pharaon, le Sphinx n'a plus rien d'égyptien, il n'a même plus rien d'un
Sphinx. C'est juste un vieux lion raviné par les pluies dans un passé si lointain
que les Egyptiens eux-mêmes l'aurait jugé impossible : il aurait pu être
sculpté pendant cette ère zodiacale, le Lion, qui couvre bien la période de
10500 av.Jc
Nous
savons aussi que l'ère géologique connue sous le nom de Pléistocène s'est terminée
autour de cette date, que ce fut la fin du dernier âge glaciaire, qui s'est
assorti d'un volcanisme mondial, qu'une extinction animale de masse a
accompagné cette fin, que la population humaine a été décimée au point que
toutes les cultures du Paléolithique supérieur ont disparu à la même
époque. Ces arguments pourtant sérieux n'ont pas mis fin à la bagarre
archéo-géologique.
Mais
la vraie guerre du Sphinx fait de celle-ci une vulgaire escarmouche. Elle
oppose les tenants de la nouvelle archéologie au tout-puissant gourou des
antiquités égyptiennes, Zahi Hawass. Les
néo-archéos s'appuient sur d'autres recherches, comme celles des géologues
cités plus haut, ou celle des crypto-astronomes, résumée par Robert Bauval, qui
aurait trouvé la même date de -10.500 pour l'érection de la grande Pyramide, en
se fondant sur des données astronomiques de l'époque.
Zahi
Hawass, de son côté, ne veut rien savoir et distribue au compte-goutte les
autorisations de visite ou de fouilles sur tout le territoire égyptien. Il
vient de faire ceinturer l'ensemble du plateau de Gizeh d'un impressionnant mur
de béton qui vient compléter la mise sous séquestre des hauts-lieux
pré-Egyptiens déjà commencée à Abydos par les bons soins de l'armée égyptienne.
Maître Hawass a beau se retrancher derrière son titre de docteur en
égyptologie, ce n'est qu'un diplôme de complaisance offert par les
Etasuniens.Mais il y a bien pire : aux dires des égyptologues, le Docteur
Hawass, secrétaire général du SCA depuis 2002, exerce sur eux tous un contrôle
dictatorial, sans compter ses dissimulations, calomnies et détournements de
fonds qui ne l'arrêtent pas dans ses agissements. Un égyptologue chevronné fait
cette confidence : "Je me rends souvent en Egypte, et lorsque je
parle à des gens du gouvernement, la plupart n'apprécient pas Hawass et ses
grands airs.
Bibliothèque
sous le Sphinx
Ils
existe aussi plusieurs textes anciens faisant référence a des chambres secrètes
et des tunnels perdus sous le Sphinx et
le plateau de Gizeh. Serait-ce par pure coïncidence que tous ces textes nous
portent a dire que ces événements ont eu lieu aux alentours de 10 000 ans
avant JC ?
Un
des textes antiques faisant le mieux référence a ces chambres secrètes est le
Papyrus de Westcar datant de la 4ème dynastie pharaonique , lequel
faisant référence a un sage dénommé Djedda évoquant ce qu’il nomme les chambres
sacrées du livre de Thot .
D’après
la légende , Djedda aurait conduit le pharaon
Kheops a l’emplacement où se trouvait caché des clés permettant
d’accéder aux archives secrètes où on
été conservés les manuscrits .
L’historien
grec Hérodote dans un texte datant 443 av. JC suite a son périple égyptien évoque de la présence sous la Grande Pyramide
et au delà de celle-ci d’un dédale souterrain qui mènerait a l’intérieur des
pyramides.
Il
va s’en dire que d’après se qu’affirme Platon et d’autres écrivains de
l’antiquité , il y avait effectivement
une civilisation beaucoup plus ancienne que l’Egypte et qui l’aurait en fait
précédé de plusieurs milliers d’années.
La
question est restée inexplorée jusqu’a l’ère moderne lorsqu’un récit
fantastique de l’Atlantide a vu le jour. D’après cette version des temps
modernes , lorsque l’Atlantide fut détruite aux environs de 10 500 av. JC
, une poignée de survivants aurait voyagé vers l’Orient et serait arrivée en
Egypte. Ils auraient amené avec eux des manuscrits historiques et des objets
qu’ils auraient entreposé dans une chambre secrète appelée la salle des anales
de l’Atlantide.
Cette
salle se situerait quelque part entre le Sphinx et la rivière a l’est , le
soleil émergeant projetterait son ombre exactement entre les pattes du Sphinx .
Il n’y aurait pas nécessairement de corrélation géométrique entre cette salle ,
les pyramides et les temples environnants.
En
1991 , des scientifiques et des sismologues se sont rendus sur le plateau
de Gizeh dans le but de déterminer l’age du Sphinx par l’application de
technique sismologiques. Le résultat fut très intéressant , sous la patte
gauche su Sphinx ils découvrirent une sorte de structure artificielle sculptée
par l’homme . Ils s’en sont rendu compte en recourant a une technique
sismologique qui consiste a créer des vibrations au moyen d’un marteau piqueur
et d’une plaque de métal , et de mesurer ces vibrations une fois qu’elles
pénètrent la roche et rebondissent a la surface .
Cette cavité serait-elle la chambre des anales ?
Le
dernier projet en date était celui de Joseph Shore avec le soutien de
l’université de Floride . Ce projet rendu publique il y a deux ans avait pour
objectif de dresser un plan de tout le plateau de Gizeh au moyen d’un radar a
détections souterraines Mais malheureusement les autorités égyptiennes ont très
vite mis un terme aux recherches et aux efforts du docteur Shore .Shore s’est
montré peu en clin a parler de ce qu’il avait pu découvrir jusqu’ici , il a
toute fois émis des commentaires lors d’une conférence . Son groupe aurait
d’après lui détecté une zone souterraine anormale a une dizaine de mètres sous
le Sphinx . Il a décrit cette cavité souterraine comme une pièce faisant a peu
prés 8 mètres sur 12 et avec des parodies d’environ 16 mètres de haut.
Mais
d’après les septiques , cette chambre sous la patte du Sphinx ne serait qu’une
fissure naturelle.
Cette
salle des archives , si on la retrouvait , serait un lien entre notre monde et
le monde antédiluvien qui a précédé l’Egypte .Si une civilisation
antédiluvienne comme l’Atlantide par exemple devait laisser un témoignage de
son histoire , un témoignage qui ne serait compris que d’une société ayant
atteint un niveau de développement similaire , on peu facilement imaginer
qu’ils aient donc pris certaines dispositions pour protéger leur témoignage de
l’age des ténèbres qui s’annonçait où personne ne pouvait comprendre la portée
de leur développement . La chambre secrète serait peu être une espèce de
capsule témoin qui serait a même de survivre a la longue période entre la fin
de l’Atlantide et une ère future qui atteindrait un niveau de développement
similaire. Et si c’est la cas , on peu difficilement exagérer l’importance d’un
tel message .
Une
idée toute simple comme la nature cyclique de l’histoire , le fait d’imaginer
que nous avons déjà traversé tout ça peu nous aider a comprendre pourquoi
autant de monuments et de prouesses énigmatiques datant des temps anciens
dépassent les limites de notre savoir contemporain .
RECIT
DE LA TRADITION ORALE
Le
Docteur Abdel Akim Hayan est a la fois un égyptologue formé en Occident et un
gardien de la sagesse tribale transmise de générations en générations depuis
des siècles au sein de sa tribu indigènes .
D’après
lui , le Sphinx a été sculpté dans une roche naturelle et même avant qu’il ne
fut sculpté , les gens y venaient pour puiser les ondes positives que dégagé ce
rocher . Et d’après la tradition , ce rituel autour des ondes positives a commencé il y a près de
56 000 ans.
Il
dit aussi que le Sphinx a été sculpté en 3 étapes , d’abord la tète , puis
l’avant et finalement l’arrière . Dans l’ensemble il a probablement fallu une trentaine
d’années pour sculpter le Sphinx a partir de la roche . Il a fallu déplacer des
blocs de roches calcaires pesant plus de 80 tonnes chacun pour sculpter le
Sphinx et ces blocs ont ensuite servis a la construction du temple .
On voit ici le pataud
des pattes trop restaurées
Dans un prochain article je vous parlerais de l’état actuel des découvertes par rapport aux cavités à l’intérieur et sous le sphinx de Giza…
Bien des personnes pensent tout savoir sur le sphinx du plateau de Giza
et l’on ne peut imaginer les trois pyramides voisines de Chéops, Chéphren et
Mykhérinos sans le sphinx tellement celui-ci est devenu indispensable à
l’harmonie visuelle du plateau. Ceci n’est pas étonnant car le sphinx est placé
exactement où il faut dans une conception basée sur des principes géométriques
de la section d’or. Le nombre d’or est en relation avec une série de nombres:
la suite de Fibonacci (0,1,1,2,3,5,8,13,21,34,55,89,…) et l’archéologue
égyptien et Professeur Emeritus :
Alexander Badawy (1913-1986) à prouvé dans son étude de plus de 50
temples au bord du Nil que les anciens égyptiens avaient bien utilisé
cette série de nombres à dessein démontrant une fois de plus leur grande
connaissances et sophistication en matière architecturale. Or je vais vous
démontrer dans cet article que le sphinx recèle bien des secrets encore
méconnus pour la plupart et que notre vision actuelle est bien déformée par
rapport à son aspect originel.
L’inscription
méconnue de la patte gauche du sphinx
En 1817 Gianbattista Caviglia (1770-1845) nettoie le
devant du sphinx, chose qui n’avait pas été faite depuis la chute de
l’Empire Romain. Il trouva en premier lieu un morceau de la barbe tombée
du sphinx (aujourd’hui au British Museum !). Puis en désensablant un
orteil de la patte gauche du sphinx, il trouve une inscription : un
texte de 13 lignes en Grec, gravé bien visiblement avec une mention comme
quoi il s’agit d’un texte officiel datant de 166 Après JC sous le règne de
Marc-Aurèle pour commémorer la restauration des murs entourant le sphinx par
les romains. Ce texte est passionnant et vous n’aurez pourtant aucune
chance de l’aperçevoir aujourd’hui sur le sphinx tellement les restaurations
successives et surtout les dernières, ont recouvert de couches incroyablement
épaisses et souvent défigurantes les contours de notre sphinx comme sous les
bandelettes étouffantes d’une momification.
Ecrite en Grec donc, et en lettres capitales, il n’y a je sache que
trois traductions existantes en anglais et une en latin de ce texte. Une à
partir de la copie faite par Henry Salt (1780-1827) consul général
britannique au Caire en 1815, grand collectionneur d’Antiquités égyptiennes qui
avait payé Caviglia en 1817 pour explorer le sphinx et qui fit publier sa
retranscription dans la: « Quarterly Review » Vol 19) en 1818 traduite par le
Dr Yong en anglais et latin lequel s’employa même à remplacer certains
mots effacés à jamais, une autre du très grand archéologue égyptien Selim
Hassan*(1893-1961) le premier égyptien à occuper une chaire d’égyptologie, et
enfin :une par le Révérend Coleridge d’Eton publiée dans: « Opérations menées à
la pyramide de Giza par le colonel Vyse » en 1842. Je vais vous livrer ici ma
propre traduction de cette inscription: j’ai essayé d’être la plus fidèle
possible à la grammaire du Grec ancien et de ne pas inventer les mots
manquants :
« Cette structure est l’œuvre des Dieux
immortels.
Placée de façon à dominer le sol de cette Terre de récolte,
Erigée au centre d’une cavitée dont ils ont retiré le sable,
Comme une île de pierres au voisinage des pyramides,
Pour que nous puissions le voir,
Non pas comme le sphinx tué par Œdipe,
Mais comme un servant sacré de Leto,
Qui garde avec vigilance,
Le Guide Sacré de la Terre d’Egypte.»
Placée de façon à dominer le sol de cette Terre de récolte,
Erigée au centre d’une cavitée dont ils ont retiré le sable,
Comme une île de pierres au voisinage des pyramides,
Pour que nous puissions le voir,
Non pas comme le sphinx tué par Œdipe,
Mais comme un servant sacré de Leto,
Qui garde avec vigilance,
Le Guide Sacré de la Terre d’Egypte.»
La référence à Leto*** ici se comprend car à l’époque où les
pharaons Ptolémés d’origine Grecque régnaient sur l’Egypte, Giza se trouvait
dans un district administratif appellé : « Letopolitain ». Le texte
est signé Arrianos, sans doute l’historien et philosophe
romain d’origine Grec qui écrivit la vie d’Alexandre le Grand (« Anabase
d’Alexandre »). Donc outre la référence aux Dieux Immortels comme
créateurs de ce sphinx qui est intéressante, nous y reviendrons, nous
voyons bien par ce texte lui-même que le sphinx était considéré comme une
île. Ceci est tout nouveau pour certains d’entre-vous.
Un
lion qui était un chien et l’île du sphinx
Le savant Robert Temple et sa femme Olivia viennent
de publier un livre de 565 pages en anglais intitulé: « The sphinx Mystery, the
forgotten origins of the sanctuary of Anubis »(« Le Mystère du sphinx, les
origines oubliées du sanctuaire d’Anubis ») fort bien documenté avec bien
des éléments exhumés de l’oubli ou de multiples collections dispersées inaccessibles
au public, dans lequel il nous dit:
« Les douves du sphinx dans l’Ancien Empire étaient connues dans
les Textes des Pyramides comme le lac du chacal, le canal du Dieu, le canal
d’Anubis, le Lac de Vie… »
Or on trouve beaucoup de références à cela dans toute la littérature
égyptienne Antique : par exemple sur les autels dans la tombe de Toutankhamon à
propos de Rostau (Giza) on dit que sa topographie est celle d’une citée d’eau
et on parle de: « La maison du lac » à propos de l’île du
sphinx. Même Auguste Mariette qui creusa autour du sphinx
en 1858 admet que l’enclos du sphinx avait dû contenir de l’eau
du Nil dans l’Antiquité (voir références). Dans les Textes des Sarcophages
on nous parle du bassin lustral, du lac du chacal.
Pourquoi ? Tout simplement parce que l’universitaire Temple avance
l’assertion que le sphinx à l’origine aurait été fait à l’image
d’Anubis (« chacal » est une mauvaise dénomination des traducteurs car il
n’y a jamais eu de chacals en Basse Egypte mais bien plutôt des chiens
sauvages) le gardien du site par excellence et il le prouve avec force
analyses, photos et recherches. Le sphinx serait devenu léonin vers la IV
ème dynastie où les lions étaient fort à la mode dans toutes les
représentations, puis au Moyen Empire Amenemhat II lui aurait apposé son visage
(et non pas Chéops). Mais je ne vais pas entrer trop dans les détails de
l’œuvre de Temple ici, seulement en évoquer quelques points et d’autres
d’ailleurs.
Le fait qu’à l’origine le sphinx
ait pu être la représentation d’Anubis est quelque chose que j’annonce depuis
des années devant le sphinx lui-même aux personnes qui m’accompagnent dans mes
voyages en montrant: « in situ » l’inclinaison du dos, la queue, les traces
d’érosion par l’eau dans les douves. Il faut comprendre que depuis l’Antiquité
le sphinx à subi de multiples restaurations qui surtout pendant les
dernières consistaient en rajouts d’épaisses couches de briques de pierres
aussi laides qu’inutiles ne faisant que rendre « pataudes » les lignes du
sphinx qui sont en dessous d’une grande finesse. C’est très visible
aujourd’hui pour les pattes qui ressemblent maintenant à d’immenses barres
de carton-pâte. Nous avons des clichés du début du 19ème siècle et beaucoup de
photos ensuite nous permettant après une analyse minutieuse de voir déjà
de grosses différences pendant les restaurations « modernes » et les désensablements
successifs.
Dans le Texte des « Sarcophages » non seulement on parle du lac du «
chacal » (Anubis) mais on dit: « Son nom est face de chien, sa taille est
grande » (versets 1165-1185), deux fois dans le Texte des « Pyramides » on
cite Anubis comme celui de « la Hauteur de l’Ouest » ( la seule
hauteur centrale en Basse Egypte c’est le plateau de Giza ) et le lac du «
chacal » est aussi cité dans le livre « des Cavernes ».
Le remarquable chercheur Terence Du Quesne à dénombré beaucoup
de références à Anubis : « Seigneur de Rostau (Giza) » dans des inscriptions et
sur des murs, il a listé notamment dix sources publiées de ce titre précis à ce
jour. Ce n’est qu’après la cinquième dynastie que le titre: « Seigneur de
Rostau » est donné à Osiris. Rappelons qu’Anubis en égyptien c’est: « Inpou »,
« celui qui a la forme du chien », il est aussi dénommé: « L’Ouvreur de chemin
» et guide les âmes et il est représenté aussi sous le nom d’ « Upuaout,
ouvreur de chemin », à Abydos dans le sud. Il est aussi: « Seigneur du Pays de
l’aurore » et comme l’écrit l’excellent René Lachaud: « (…) Il fait surgir
la lumière anubienne de l’initiation qui correspond à ce moment ambigu, «entre chien
et loup» où jour et nuit s’interpénètrent ». Et dans : « Le Livre de la sortie
au jour » (qui est le véritable titre du Livre dit « des morts ») : Oh ! Anubis
qui est sur ses secrets. Seigneur des secrets de l’Occident. Seigneur de ce qui
est caché. »
Eh oui qu’Anubis est présidé sur le plateau de Giza n’est guère étonnant
car à Giza/Rostau nous sommes au carrefour des plus grands mystères. Vous allez
vite comprendre pourquoi. On ne vous parle jamais du « Livre de la
Construction » qui se trouve gravé dans l’enclos du temple d’Horus le
faucon à Edfu dans le sud de l’Egypte. Or quand vous lisez sur place celui-ci,
il y a dedans des références à d’autres textes perdus comme :
« Les Livres Sacré des Temples » qui rassemblent une description de
l’histoire des lieux de pèlerinage le long du Nil. Et que dit ce texte? Il
dit que ces lieux furent établis par un groupe « d’entités créatrices » les «
Shebtiw » associés à Thot. Il est dit que ceux-ci que l’on appelle
aussi les « Ainés », les « Faucons », se sont installés dans un premier
endroit sur Terre et que ce premier endroit est…Rostau ! C’est à dire Giza
!
Toujours selon ce texte, les livres sacrés et objets de
pouvoir furent scellés dans une place secrète sous terre par les « Shebtiw
» et ils construisirent au dessus une immense enceinte et des piliers pour le
protéger. Ce lieu s’appelle : Bw-Hmr, la place du trône de l’âme.
D’autre part toujours dans ce texte il nous est suggéré que le monde
souterrain de Giza est un modèle microcosmique du passage du temps et du
processus de la première création dans notre univers physique… vous comprenez
mieux maintenant sur quoi le sphinx veille, ce n’est pas rien !
Les anciens Egyptiens nommaient aussi Giza/Rostau dans leurs
descriptions : La Splendide Place du Premier Temps » et : « La Place
secrète » et il est vrai que tout le plateau de Giza que je parcours depuis 20
ans mètre par mètre est bien truffé de milliers d’entrées souterraines, de
cheminées d’aération, de puits sans fond. Tout cela prouve la présence d’un réseau
souterrain impressionnant dont j’aurai l’occasion dans d’autres articles de
vous parler davantage.
En tout cas c’est seulement au Moyen Empire (époque où depuis
un long moment déjà le sphinx n’avait plus sa tête d’Anubis
selon Temple) qu’apparaît pour la première fois dans les hiéroglyphes
le nom: « Sphinx »: « Sheshep » qui se traduit littéralement par
« image » ou « statue ». Le nom entier du Sphinx alors est: « Sheshep-Ankh »:
la « statue vivante ». Ce sphinx est un symbole vivant représentant
bien des choses de l’invisible terrestre et céleste. Dans la langue copte, la
plus ancienne langue de l’Egypte parlé encore actuellement, le sphinx se dit: « bel-hit »:
« le Gardien ». Et juste après l’an mille on nomme le sphinx:
« Twtw »: « Je suis image » que les Grecs
retranscrivent en Tithoes et l’assimilent à Cronos le Dieu du temps.
Et ce qui est intéressant aussi c’est que citant
Manéthon, Pline précise que Tithoes faisait partie des rois mythiques
des toutes premières dynasties ou plutôt comme on dit maintenant de la
fameuse dynastie zéro (car on a fait démarrer la première dynastie à
Ménes (2920-2770 Avant J.C.) et cependant dans plusieurs documents sont
cités des pharaons précédents mais leurs qualifications de dieux ou demi-dieux
est dérangeante pour le consensus universitaire) pourtant bien inscrite dans le
papyrus de Turin (Le canon de Turin) et l’auteur latin précise bien
que Tithoes succéda au dieu Amon et qu’il serait le tout premier
constructeur du labyrinthe de Fayoum (à 120 km au sud du Caire au bord du
lac Fayoum), le plus ancien labyrinthe de toute l’Antiquité que les gens
venaient visiter alors du monde entier. Et qui est en ruines aujourd’hui au pied
de la pyramide d’Hawara.
Un sphinx bien plus ancien qu’on ne le pense
En 1858 notre
extraordinaire Auguste Mariette est chargé par le duc de
Luynes de vérifier les propos de Pline l’Ancien selon lesquels
le Sphinx serait construit et non monolithique. Il ouvre un chantier non
loin de la pyramide attribuée à Chéops (qui régna de 2551-2528 av. J.C. 4ème
dynastie). Dans un sanctuaire d’Isis tout proche il trouva la stèle dite
de « l’Inventaire » dans laquelle on raconte ni plus ni moins que le
sphinx et la grande pyramide existaient bien avant le règne des dirigeants de
la 4ème dynastie donc bien avant 2575 av J.C.. Le texte précise que : « Durant
le... règne de Chéops celui-ci ordonna la construction d’un
monument le long du sphinx ».
En toute logique cela
implique que le sphinx était déjà là avant. Or s’il était déjà là du temps de
Chéops, cela signifie que contrairement à ce que le « mainstream » affirme, à
fortiori il n’a pas pu être construit sur ordre de Chéphren son successeur
sur le trône ! Il faut dire que la théorie disant que le sphinx a été
construit par Chéphren juste parce que la chaussée sur son côté sud mène aux
pieds de la pyramide de Chéphren a été lancée sans aucune preuve ni
connaissance par Caviglia qui n’était encore qu’un capitaine au long
cours payé pour faire déblayer le sable du sphinx !! Aucune
inscription ne confirme sa thèse lancée bien légèrement. Il existe aussi
d’autres documents prouvant que le temple adjacent au Sphinx et qui possède
exactement les mêmes marques d’érosion que celui-ci existait avant le règne de
Chéops. Dans une inscription qui était conservée au musée de Boulak, le scribe
royal du pharaon Chéops note une dédicace qu’il a a lui-même relevée sur un
document antérieur. Cette dédicace prétend que le soleil en personne présida à
la gigantesque construction, dont « l’origine se perdait dans la nuit des Temps
».
Or si l’on prend en compte ceci, c’est toute la datation
chronologique actuelle en cours en égyptologie qu’il faudrait
revoir ! Un peu trop pour certains… C’est pourquoi la majorité des
égyptologues actuels se détourne de cette stèle dite de l’inventaire, car
elle remet en question trop d’acquis pour eux. Certains préfèrent d’ailleurs
affirmer que cette stèle faisant la liste de l’inventaire du temple d’Isis
remonterait seulement à la 26 ème dynastie. Peut-être mais Auguste
Mariette le découvreur, qui a passé plus de dix ans à fouiller le plateau
de Giza a toujours affirmé lui, que la stèle fut érigée par Chéops lui-même.
Quant à la supposée ressemblance de la tête du sphinx avec Chéphren
lui-même, cette théorie a été invalidée depuis 30 ans par le Directeur du
service de médecine légale de la police de New-York expert en morphologie
faciale Dr Franck Domingo. Après avoir photographié le sphinx sous
plusieurs angles et lumières puis la statue de Chéphren au musée du Caire il
compara avec sa méthode scientifique, il conclut sans appel qu’il
s’agissait bien de deux personnes différentes...
Robert Temple lui, prouve d’ailleurs grâce à l’étude de la coiffe
et de certains traits et aussi à cause de l’obsession du pharaon pour les
sphinxs qu’il s’agit en fait d’Amenemhat II(1929-1892 Avant J.C.). En tout
cas si à l’origine le sphinx avait bien une tête d’Anubis et que bien
plus tard il comporta la tête de ce pharaon on pourrait penser également que
d’autres avant Amenemhat II ont pu y apposer leur face également, la tête
du sphinx comportant beaucoup de traces de multiples réfections et la tête
actuelle étant fort disproportionnée par rapport au corps. On trouve
également un texte du pharaon Amenhotep II (1448/1420 Avant J.C.)
comportant une mention du sphinx en tant que : « plus ancien que les
Pyramides ». Puis nous avons la fameuse stèle de Tutmosis IV qui
a donné lieu à mes recherches sur le deuxième sphinx.
A la recherche du deuxième sphinx
Il était généralement admis pendant de longues périodes chez les Anciens
Egyptiens que le Sphinx était recouvert par les sables, sauf la tête
jusqu’à ce que le pharaon Tutmosis IV (18ème dynastie: 1420-1411 av. J.C.) ne
le désensable. Et nous avons le merveilleux récit de Tutmosis IV
gravé pour l’éternité sur une stèle de granit rose et érigée entre
les pattes du Sphinx : c’est la stèle dite de Tutmosis IV. Ce pharaon qui
n’était alors qu’un prince, n’appartenant même pas à la lignée principale de
succession pharaonique, vint se reposer après une chasse à l’ombre de la tête
seule apparente alors, et s’endormit. Là il rêva que le Sphinx lui parlait dans
son sommeil, le suppliant de le débarrasser de ses souffrances car il ne
supportait plus les brûlures du sable du désert le recouvrant. En échange, il
lui donnerait le pouvoir et la fortune. Tutmosis à son réveil décida de
s’exécuter et devint en peu de temps pharaon ainsi que très fortuné.
Ce qui est particulièrement intéressant par rapport à cette stèle de
Tutmosis IV c’est la représentation qui est faite du sphinx. Regardez
bien, il y a deux sphinxs ! Et se tournant le dos ce qui ne veux pas
dire d’ailleurs, et pour des questions de règles anciennes de perspectives que
dans une réalité, les deux sphinxs se tournent véritablement le dos. De
plus ils sont allongés sur des structures avec portes indiquant par là que les
sphinxs donnent accès à un ailleurs, un complexe souterrain. Mais où donc est
passé le deuxième sphinx dessiné sur cette stèle ? Ce qui est bien curieux
c’est que très peu de gens se sont mis à chercher les réponses...
Dans la fameuse stèle de l’inventaire conservée au musée du
Caire, il est fait mention qu’un éclair aurait foudroyé la coiffe du
deuxième sphinx entraînant sa destruction ainsi que celle d’un sycomore, arbre
sacré à l’époque, qui fut brûlé aussi par la foudre. Pour
l’archéologue Michael Poe qui se réfère à des fragments de papyrus du
Moyen Empire ce deuxième sphinx aurait été détruit par une crue du Nil
particulièrement violente environ 1000 ans après J.C. Les villageois auraient
alors prélevé les pierres pour reconstruire leur village.
C’est alors que je me suis mise à chercher en Egypte et grâce à mes
connaissances d’Arabe classique j’ai vite trouvé des textes confirmant
l’existence de deux sphinxs. Ainsi dans ses deux encyclopédies
géographiques (Kitab al Mamalik, al-Mamsalik et Kitab al Jujori le grand
géographe et savant arabe Al-Idrisi (1099-1166), mentionne bien
la présence de deux sphinxs à Giza, l’un est en très mauvais état, il est
atteint par les eaux du Nil et de nombreuses pierres manquent.
D’autres auteurs mentionnent également l’existence de deux sphinxs :
Ainsi l’historien célèbre Musabbihi écrit au sujet d’un : « sphinx
plus petit que l’autre » de l’autre côté du Nil, en très mauvais état, composé
de briques et de pierres (Annales de Rabi II,vers 1024). C’est pourquoi je
recherche inlassablement depuis des années l’emplacement du second sphinx. La
tâche est très difficile car toute la rive opposée du Nil est couverte des
buildings de la mégalopole du Caire et de ses banlieues gigantesques.
Comment trouver l’emplacement d’un sphinx disparu ? Et c’est là qu’intervint
une de mes cartes, celle de l’analyse par satellite minutieuse dont je
suis spécialiste, couplée à une étude sur le terrain du moindre des détails.
J’ai, après avoir sillonné des milliers de ruelles, déterminé deux endroits
possibles. C’est alors que le grand géologue et archéologue égyptienDr
Barakat m’a fait l’honneur de me contacter en me disant, après avoir lu un
de mes articles sur ce sujet en anglais qu’il appréciait beaucoup mon travail
et était arrivé aux mêmes conclusions que moi, ce qui me conforte
comme vous pouvez l’imaginer dans la continuation de cette recherche. Je vais
m’y consacrer cet été et rencontrer le géologue lors d’entretiens qui
promettent beaucoup et dont je vous ferait part ultérieurement.
D’autre part à l’instar des historiens arabes qui l’ont vu à leur
époque, nous avançons l’hypothèse que l’un des deux sphinxs devaient être
féminin. Al Idrisi dit clairement que le second sphinx était féminin
et situé sur la rive Est du Nil faisant face au sphinx mâle celui que nous
connaissons tous. N’oublions pas également que le nom Grec : « Sphinx » du
verbe « sphingô » veux dire étrangler. Les deux sphinxs face à face de chaque
côté du Nil formaient comme un goulot d’étranglement, comme
une surveillance sur les navires provenant de Haute Egypte ou descendant
au Sud… L’emplacement du second sphinx pourrait receler de nombreux
secrets des temps préhistoriques même, beaucoup de choses dans le
sous-sol. Ce sera dans le futur sans nul doute un projet archéologique
colossal... dans le futur comme le dit le Dr Barakat.
Je vous dirais aussi et je ne suis pas la seule, que les deux
sphinxs sont similaires aux deux piliers d’Hercule, l’un indiquant le pouvoir
matériel s’impliquant vers le haut dans le pouvoir spirituel (le sphinx
féminin) et l’autre (l’actuel), le pouvoir spirituel s’impliquant dans le monde
matériel souterrain mais c’est là le sujet d’un de mes livres en cours…En tout
cas pour boucler la boucle momentanément et pour apporter ma pierre à l’œuvre
de Temple même s’il ne parle pas du tout de deuxième sphinx, j’ai
découvert récemment qu’il y avait bien dans le passé deux Upuaout
(Anubis)/Sur la stèle JE 47381 aux trois registres sont bien figurés un:
« Upuaout de Haute Egypte, contrôleur des deux Terres »(« Wp-wAwt smaw
aba-Tawy ») et dans le registre du millieu on voit celui-ci accompagné de:
« Wepwawet de Basse Egypte » (« Wp-wAwt mttyt »). Donc les deux
sphinxs tout à fait à l’origine auraient bien pu représenter deux Anubis...
Dans un prochain article je vous parlerais de l’état actuel des découvertes par rapport aux cavités à l’intérieur et sous le sphinx de Giza…
encore bien des choses que peu savent...
http://rustyjames.canalblog.com/archives/2014/02/05/29127404.html
FASCINANT !!...et très étrange :/
RépondreSupprimerSurtout si l'on recoupe toutes ses informations avec la théorie très méconnue de Mr Philippe LHEUREUX.
Cet ingénieur dans le mécanisme des fluides a élaboré une théorie fascinante sur la grande pyramide pour laquelle la présence d'eau à proximité de ces monument est indispensable !
Vidéo explicatives : http://autospeed.celeonet.fr/khufu/spip.php?article26
A consulter impérativement de A à Z : http://autospeed.celeonet.fr/khufu/
Votre article ci-dessus mentionne " « Les douves du sphinx dans l’Ancien Empire étaient connues dans les Textes des Pyramides comme le lac du chacal, le canal du Dieu, le canal d’Anubis, le Lac de Vie… » ainsi le fait que seul le Sphinx et la grande pyramide semblaient pré-exister ...
Hors, ceci viens parfaitement étayer la théorie de Mr LHEUREUX qui suggère que la grande pyramide, faute d'être un tombeau puisque quasiment rien n'a été trouvé à l'intérieur, aurait pourtant une réelle fonction qui généré par les eaux du Nil déclencherait un gigantesque mécanisme hydraulique caché au sein de la grande pyramide.
Je vous invite fortement à consulter le lien ci-dessus pour en comprendre toute la subtilité de cette théorie.
Le simple fait que le sphinx ait pu un jour orné une gueule de chacal, désignant ainsi le dieu Anubis qui est l'une des plus ancienne divinité égyptienne, appui l'idée de Mr LHEUREUX.
Passé par le jugement d'Anubis avant d’accéder au savoir...
Merci .