AKALAL


 On ignore tout du sort de ces hommes et de leur civilisation.

Des spécialistes qualifiés en langues anciennes indiquent que le préfixe AKA serait la survivance du langage Dravidien. AKA signifierait tout lieu, site ou agglomération pouvant ou ne pouvant pas être enclos entre murs ou toutes autres formes de clôtures plus ou moins élaborées où, bien évidemment, se rassemblait ou vivait une population, une tribu, une famille ou tout groupe humain organisé.

Il existe encore, sur notre planète, 42 sites nominativement répertoriés comportant le préfixe AKA, plus une dizaine d’autres attribués à des cités légendaires, disparues ou oubliées de nos contemporains, mais dont les noms se sont transmis par tradition orale depuis des temps immémoriaux chez plusieurs groupes ethniques différents répartis dans le Monde. La Tradition Orale, transmise à travers de longues périodes entretenait au long des siècles la lignée des Grands Initiés (Prêtres, Mages, etc.), s’étant succédés au delà des bouleversements planétaires, des cataclysmes naturels et ceux provoqués par les hommes, apportait et transmettait le souvenir de générations d’hommes différents (Géants, Dieux, etc.). Selon les légendes dravidiennes, AKALAL est le nom d'un site où des hommes parfaitement organisé auraient vécu il y a environ 40.000 ans et implanté sur un point précis de la terre. Là où actuellement un désert aride recouvre par une épaisseur de sable de plusieurs dizaines de mètres.

En 1980, une petite équipe en région Provence-Alpes-Côte d’Azur assistent régulièrement à des réunions d’informations organisées par l’ IMSA, (Institut Mondial des Sciences Avancées) menée par, Jimmy Guieu, Ecrivain de science-fiction bien connu. Parmi les sujets traités il fût question un jour de la psychométrie (Le pouvoir, à travers un "témoin", la plupart du temps un objet fort ancien, parfois un "mobilier" archéologique, de remonter le temps et décrire ce qui se passait dans l’environnement).

Parmi les orateurs présents, une jeune femme, Barbara, aux réels talents de psychomètre. Elle raconta cette histoire étonnante à propos de la Civilisation d'AKALAL, vieille de quarante mille ans. Puis dans une autre séance le 21 février 1981, pour la seconde et dernière fois. Ces séances furent enregistrées, en voici un résumé:

Il y a 40.000 ans la région était un immense territoire fertile couvert d’une végétation luxuriante. La culture du blé représentait l’activité principale. Les vignes produisait des grappes de raisin géantes. Les hommes avait des véhicules pour se déplacer, de gros navires cargos et des engins volants

La technologie était très avancée et la civilisation d'AKALAL utilisait des Cristaux comme "source énergétique psychique". Sur les champs d’Akalal, des hommes avaient implantés des "volumes pyramidaux très allongés" ressemblant aux obélisques que nous connaissons. Cela servait à "activer" et à "accélérer" le germination et la croissance des récoltes en utilisant l’énergie tellurique. Ces hommes n’utilisaient pratiquement pas d’outillage. Les "Energies qu’ils puisaient en eux-mêmes, que transformaient à volonté les ‘cristaux’ qu’il élaboraient suivant leurs besoins, suffisaient à exécuter tous les travaux sans dépenses physiques excessives.

Avec le Cristal, les habitants d’Akalal faisaient "fondre la roche" et en tiraient une sorte d’argile ou de glaise, sans que la composition originelle de la roche en soit changée, à laquelle il suffisait de donner la forme et l’aspect souhaité et, toujours à l’aide de ce même cristal, mais utilisé d’une autre façon, il assurait le transport à toute distance et l’homme effectuait la mise en place définitive par ajustement précis par un procédé de ‘lévitation’, l’action de la pesanteur avait ainsi été neutralisée!. La masse rocheuse ayant repris entre-temps son aspect solide originel, pouvait être ainsi manipulée sans aucun effort physique.

Selon Barbara, il resterait un Cristal encore actif dans un sanctuaire et encore de nombreuses traces de l’existence de ces civilisations. Au Nord-est de ce sanctuaire à environ 240 km à vol d’oiseau, se trouverait un massif rocheux au flanc duquel il y aurait l'entrée d’une ancienne cité semblable à Akalal...

En Novembre 1981des photos radar prises par la navette spatiale américaine Columbia de la NASA, (Photos Nos. S-83-25010 et S-83-25919) révélait sur des surfaces sèches (les déserts en particulier) à quelques mètres sous les sables des images mettant en évidence des contours rocheux et des vallées enfouies, inconnus auparavant et des structures géologiques, des traces de constructions et de travaux et de lits de rivières datant de temps anciens. Un site ayant bien existé avant que le désert de sable n’en prenne la place. AKALAL s’était bien trouvé dans cette partie du désert au sud-ouest de l’Egypte, près de la Lybie, entre le 24° et 32° Est et le 20° et 28° Nord. La cité d’Akalal, est elle-même exactement située sur le Tropique du Cancer (23°30’N). Il reste à déterminer la datation!

Personne n’a pu expliquer de façon rationnelle comment toutes les gigantesques pierres de plusieurs dizaines de tonnes, parfois aussi de centaines de tonnes, ont été transportées et sont encore assemblées les unes sur les autres, sans que l’un puisse glisser entre elles le moindre objet! Les lieux ne manquent pas à travers le Monde où tout un chacun peut venir les contempler et rester songeur devant le prodige. Tous ces haut-lieux du Mystère sont connus, au Pérou, en Egypte, sur certaines îles du Pacifique, en Europe du Nord...

Cette zone est pratiquement inaccessible, la mise en place d’une logistique conséquente et adaptée au terrain, il n'y a pas de points d’eau. Une mise en chantier de plusieurs mois est impensable. Il serait impossible de creuser une couche de sable de plusieurs dizaines de mètres de profondeur. De plus, politiquement la zone est sensible, car le site est sur une zone d’un territoire à la limite de l’Egypte et de la Lybie à l’Ouest et au Sud près de la frontière du Soudan!

Survenu il y a un peu plus de 12.000 ans, un grand cataclysme aurait provoqué la disparition des Iles de l’Atlantide et, peut-être aussi, datant de cette époque, le déluge dont tous les livres sacrés et les légendes nous content les ravages. Précédant ces bouleversements en une période encore antérieure, à la suite de l’on ne sait quel fantastique phénomène, se produisit un basculement des Pôles, là où ils se situent actuellement avec, entre autres conséquences, le détournement des cours de certains fleuves, tel le Nil qui, auparavant, coulait d’Est en Ouest. Les terres irriguées sont devenues incultes et tel le Sahel au XX° siècle, ont cédé progressivement la place aux sables du désert.









Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire