Les Radios des Anciens






« C'est là que je te rencontrerai. C'est de sur le propitiatoire, d'entre les deux chérubins qui sont sur l'arche du Témoignage, que je te donnerai mes ordres pour les Israélites ». Directive à Moïse--Exode 25:22

Il est implicite que les dieux devaient avoir des moyens pour transmettre leurs désirs du vaisseau spatial à leurs représentants dessous --les rois, les prêtres et les généraux qui exécutaient leurs ordres. Inversement, ces fonctionnaires devaient contacter les dieux et aussi l'un l'autre en certaines occasions pour recevoir des instructions et des conseils, en particulier, lorsqu'ils furent sur une de leurs nombreuses expéditions. Comment communiquèrent-ils alors l'un avec l'autre ?

Les articles essentiels nécessiteraient au moins trois types de matériel de communication : des transmetteurs permanents fixes, des postes régionaux ou temporaires et un type quelconque d'appareil de communication portatif. Tous ces types de matériels et d'appareils de communication se trouvent dans la littérature et l'art de l'antiquité.

Avant le Déluge, Larak, en Mésopotamie, servit de centre principal de communication ; toutefois, après le Déluge, elle se trouvait sous les eaux du Golfe Persique. Puisqu'il fut décidé de déplacer les installations spatiales dans les terres de l'Ouest, cela devint nécessaire d'établir un centre d'administration et de communication principale.

Partout dans les Saintes Écritures, Ur-Salem, appelée plus tard Jérusalem, est décrite comme « le nombril du monde », attestant son rôle comme centre géodésique principal aussi bien que centre de communication. Elle diffuse partout dans les terres de l'ouest fournissant les directives et les conseils aux colonies distantes de l 'empire mésopotamien. Le Psaume 29, « La voix de Dieu dans l'orage », suggère de puissants transmetteurs dans une référence voilée au dieu Adad.

Cette source religieuse indique que Jérusalem émettait des directives vers le nord au Complexe Spatial à Baalbeck et vers le sud au Complexe Spatial alternatif établi à Cadès, connu comme le mont Sinaï. Elle affirme :

« ... voix de Yahvé dans la force, voix de Yahvé dans l'éclat ; voix de Yahvé, elle fracasse les cèdres, Yahvé fracasse les cèdres du Liban, . voix de Yahvé, elle secoue le désert, Yahvé secoue le désert de Cadès ».

Bien que Jérusalem fut le Centre Administratif des terres de l'ouest, il y avait d'autres postes régionaux dans la terre de Canaan et de la Syrie qui furent considérés sacrés et ce fut là que les patriarches contactaient leur dieu. En Mésopotamie, il y en avait partout et ils sont mentionnés dans leurs littératures et vus dans leurs œuvres d'art.


LES HUTTES DE ROSEAUX ET AUTRES POSTES DE COMMUNICATION


 Lorsque Abraham et Isaac séjournèrent dans les terres de l'ouest, ils s'arrêtaient parfois et montèrent un « autel » où ils pouvaient offrir un sacrifice et communiquer avec Yahvé pour recevoir les prochaines directives. Longtemps avant l'arrivé des Hébreux, certaines places comme Shechem et Bethel furent considérées sacrées par la population natale. Apparemment, elles furent des postes de communication ou des transmetteurs régionaux où les communications furent disponibles pour les privilégiés, l'aristocratie.

En Mésopotamie, les huttes de roseaux furent éparpillées partout et paraissent souvent dans des tableaux et des gravures sur des sceaux cylindres et de la poterie. C'est vraisemblablement la hutte de roseaux utilisée par Utnapishtim lorsqu'il fut informé de l'avènement du Déluge.

Dans l'Épique de Gilgamesh, lorsque les dieux décidèrent de déclencher le Déluge et de détruire l'humanité pour ses points faibles, seulement qu'un dieu demeura compatissant envers l'homme --Enki, son créateur et bienfaiteur.

Ne souhaitant pas voir sa création détruite, Enki décida de prévenir Utnapishtim pour qu'il puisse se préparer et construire un bateau. Dans l'Épique, Enki adresse le mur de la hutte de roseaux :

« Mur de roseaux, mur de roseaux ! Mur ! Mur ! Mur de roseaux, écoute ! Mur, sois attentif ! Homme de Shourouppak, fils d'Ubaratutu, démolit la maison. Construis une arche ».

Ce verset de l'Épique confondit les érudits quant à sa signification, notamment pourquoi le dieu parlerait au mur d'une hutte de roseaux pour transmettre de l'information au Noé sumérien. Certes, ce ne fut pas seulement qu'une hutte de roseaux rurale.

Logiquement, à ce temps, Enki serait là où les dieux se rencontrèrent pour décider du destin de l'homme, probablement dans le vaisseau spatial orbitant. Utnapishtim écoutait l'émission dans une hutte de roseaux ou sur un récepteur de radio en sa ville de Shourouppak en Mésopotamie.

Ces huttes de roseaux éparpillées partout en Mésopotamie et dans les terres adjacentes sont démontrées sur de nombreux sceaux cylindres et tableaux. Ils ont tous en commun une caractéristique étrange : une projection du toit qui ressemble à une antenne et des objets en forme de yeux. Ces antennes furent plus tard stylisées comme des mâts de murailles avec des serpentins et devinrent un symbole de la déesse Ishtar qui semble avoir eu une association quelconque avec ces huttes de roseaux ou stations de radio.

Ces huttes de roseaux furent aussi portatives et pouvaient être déplacées d'un endroit à un autre lorsque nécessaire, comme démontré sur un sceau-cylindre qui en représente une transportée par bateau.


Un autre exemple de station de radio portative ou mobile fut l'Arche d 'Alliance construite par Moïse spécifiquement pour contacter Yahvé durant les jours de l'Exode.



APPAREILS DE COMMUNICATION PORTATIFS : LES TERAPHIM, IDOLES ANIMÉES

  
Lorsque les rois de la Mésopotamie furent loin de leur ville et en particulier, au loin sur une de leurs nombreuses expéditions militaires, ils avaient besoin d'un type d'appareil de communication mobile pour rester en contact avec leur base et recevoir des directives des dieux. Pour accomplir cela, ils apportèrent avec eux des images ou des statues du temple des dieux. On croyait que ces statuettes furent la résidence active de la divinité. Leurs dimensions et compositions furent différentes. Dans son oeuvre définitif « Babylon », Joan Oates remarque que ces statues animées, qui furent emportées à la guerre par les rois et les prêtres, furent façonnées et réparées dans des ateliers spéciaux dans la ville et subissaient un rituel de consécration compliqué et très secret qui les dotait de « vie » et leur permettaient de parler.

Ce rituel consistait probablement à implanter un receveur et un transmetteur de radio aussi bien qu'une source d'énergie à l'intérieur de la statuette.

Il est dit qu'Abraham et son père Térah opérèrent un atelier qui fabriquait ces statuettes. Bien que la Genèse soit silencieuse sur cette activité, elle est discutée en détail dans les livres du Pseudepigraphe. Térah et Abraham furent décrits comme membres de la prêtrise, la classe élite qui gouverna la ville d'Ur.

Selon les Jubilés, Abraham provenait d'une famille de grands prêtres. Son père Térah apprit les sciences de son père Nahor, car il est dit que, « il (Térah) grandit et demeura parmi les Chaldéens et son père lui apprit les connaissances des Chaldéens pour pratiquer la divination et l'astrologie selon les signes des cieux » .

Une histoire plus explicite émerge de l'Apocalypse d'Abraham, un document du premier siècle après J.-C. transmit en Slave à travers des canaux byzantins et par conséquent, non disponible aux érudits de l' ouest jusque vers la fin du Moyen-âge. Il fournit beaucoup d' information sur la jeunesse et l'adolescence d'Abraham.

Selon cette narration, le père d'Abraham fut un fabriquant d'idoles aussi bien qu'un astrologue. Il fabriquait des idoles pour les temples et pour la vente aux citoyens ordinaires et aux voyageurs. Ces idoles eurent une valeur et une qualité différentes dépendant du matériel de leurs fabrications, soient de pierre, de bois, de fer, de cuivre, d''argent ou d'or.

Une des tâches désignées d'Abraham fut de vendre certaines de ces statuettes à des négociants égyptiens dans une boutique en dehors de la ville. Peu après, Abraham eut un contretemps avec son père par rapport à ces idoles et providentiellement, l'atelier de Térah fut frappé par la foudre et fut une perte totale.

Lorsque Térah et Abraham partirent pour Haran et de là vers la terre de Canaan, ils avaient vraisemblablement plusieurs de ces idoles en leur possession --des statuettes implantées de certains appareils ou source d'énergie. Elles furent probablement les teraphim ou les appareils de communication portatifs des contes de l'Ancien Testament.

À Tepe Gawra en Mésopotamie supérieure, les archéologues trouvèrent des douzaines de statues de culte qui furent datées à environ 3 000 avant J.-C. Ces objets de « culte » ressemblent en tout point à la description des idoles animées des Sumériens.

Ces idoles païennes aux grands yeux ou statuettes portatives avaient des cavités orbitales concaves dans lesquelles on insérait des objets de la grosseur d'un poing, fort probable des cristaux, qui comme source d 'énergie, activaient les appareils de communication. Ces sources d' énergie furent décrites comme des « pierres », sans doute l'ancien mot pour décrire les gros cristaux.


LES TERAPHIM OU POSTES DE RADIO PORTATIFS

 Les teraphim de l'Ancien Testament furent des figurines ou des idoles de différentes dimensions qui, selon les contes bibliques, furent utilisés pour la divination, c'est-à-dire, ils répondirent à des questions spécifiques qui leur furent posées, comme dans Ézéchiel 21, Zacharie 10 et Juges 17 et 18.

L'étymologie du mot teraphim est obscure et sa signification est inconnue. Dans l'Encyclopédie Judaica, une source suggéra qu'il puisse provenir du mot hittite « tarpis » qui signifie « esprit animé ». Vu l 'influence hittite dans la terre de Canaan, cette dérivation est probablement vraie.

Le teraphim joue un rôle considérable dans la vie d'Abraham. Son usage peut être tracé pendant mille ans à travers les jours d'Isaac et de Joseph et, par la suite, en Égypte où ils tombèrent probablement entre les mains de Moïse. Des références aux teraphim réapparaissent en les jours de Josué et de son successeur, Qenaz.

Vers 1400 avant J.-C., ils furent inactifs et considérés seulement comme des reliques païennes ou des objets de curiosité. À partir des jours d'Abraham jusqu'aux jours de Moïse et avant l'Arche d'Alliance, le teraphim fut apparemment utilisé pour communiquer avec la divinité. El Shaddai ou Adad dirigea Abraham à se rendre en Canaan par ce moyen et, par la suite, en Égypte, et plus tard pendant les jours de l' invasion des rois de l'est. Les teraphim furent de différentes dimensions. Certains furent assez petits pour cacher sous une selle comme dans le cas de Rachel, mais quelques-uns furent assez gros pour imiter une personne qui dort sous une couverture comme dans le cas de David qui a dupé les assassins envoyés par Chaoul.

La première référence explicite au teraphim se situe dans Genèse 35 qui traite de l'incident de Rachel quand elle tente de voler les idoles de son père. Ils faisaient peut-être partie de la cachette qu'Abraham laissa à Haran avec son cousin Laban avant son départ pour les terres de l'ouest.

Sans doute, Jacob et Rachel connaissaient la valeur du teraphim et tenant compte des efforts de Laban pour les recouvrer, il a peut-être aussi deviné leur fonction, bien qu'évidemment, il ne sache pas comment s'en servir. L'existence et la signification de ces idoles furent données à Jacob par son grand-père Abraham avant sa mort. Cela peut être démontré par les calculs suivants.Abraham est mort à l'âge de 175 en l'an 1 992 avant J.-C. Jacob est né d'Isaac quand il avait 60 ans ou en l'année 2 007 avant J.-C. Donc Jacob avait 15 ans quand Abraham est mort. Abraham eut suffisamment de temps pour éduquer son petit-fils Jacob sur l'existence et l'importance de ces appareils et leur cache à Haran. 

Le séjour de Jacob à Haran pour vivre à la maison de Laban fut probablement basé sur l'obtention de ces appareils pour les remettre au contrôle de la famille d'Abraham. Rachel fut évidemment dans le complot et cela put prendre toutes les années que Jacob a souffert aux mains de Laban pour trouver où les teraphim furent cachés. Tel que raconté dans la Genèse, l'incident se lit comme une histoire de fiction.Sous un prétexte ou un autre, Jacob fut obligé à servir Laban pendant vingt ans. Finalement, prenant avantage de l'absence de Laban, Jacob et Rachel quittèrent secrètement apportant avec eux les idoles ou teraphim de Laban. Laban fut bouleversé lorsqu'il se rendit compte que Jacob fut parti. Il le pourchassa et le rattrapa en fuite.

Laban fut encensé du départ secret de Jacob mais semblait plus troublé par le vol de ses idoles : « Maintenant, tu es donc parti, parce que tu languissais tellement après la maison de ton père ! Mais pourquoi as-tu volé mes dieux ? » (Gen. 31:30). Le conte ne mentionne que ceux cachés par Rachel dans un coussin de chameau sur lequel elle fut assise. Lorsque Laban tenta de le fouiller, elle plaida qu'elle ne pouvait pas être dérangée puisque ce fut ce temps du mois. Laban chercha partout mais ne pouvait pas trouver les teraphim. Bien que seulement ceux-ci furent mentionnés dans la narration, Jacob devait en avoir plusieurs autres qu'il réussit à cacher de quelque manière des yeux furetant de Laban.

En retournant à Canaan, Jacob et sa maisonnée arrêtèrent à Sichem, un emplacement sacré pour les indigènes. À Sichem, il rangea tous les dieux étrangers qu'ils avaient obtenus à Haran. Ils devaient être nombreux et ils furent enterrés près d'un térébinthe (chêne) à Sichem.

Jacob dut certainement garder le sien mais il ne voulait pas que personne d'autre ne puisse en rapporter un à sa patrie. Le contrôle et l'utilisation de ces appareils furent un secret bien gardé ; il semble que seulement lui et Rachel connaissaient le vrai but du teraphim. Il est probable que Jacob voulait s'assurer d'une provision suffisante de statuettes aussi bien que de leur source d'énergie ; certes, la cachette resta enterrée à Sichem pendant des générations jusqu'aux jours de Qenaz.

Plusieurs années plus tard, ces idoles et leurs « pierres » ou sources d'énergie furent déterrées par les partisans de Qenaz, le successeur de Josué. Lorsque Jacob entra en Égypte à l'âge de 130ans en l'an 1 877 avant J.-C., il apporta sans doute les appareils de communication et ils furent transmis de génération en génération jusqu'à ce que Moïse en reçoive un , plusieurs centaines d'années plus tard qu'il utilisa pour contacter Yahvé ou Adad à sa première visite au mont Sinaï.



LES CRISTAUX DE QENAZ : SOURCES D'ÉNERGIE POUR LES TERAPHIM

Le document qui raconte ce qui s'est passé après la mort de Josué et qui définit la succession des chefs jusqu'à Qenaz, Zeboul et enfin Débora est le soi-disant « Les Antiquités bibliques de pseudo-Philo » parce que l'attribution à Philo d'Alexandrie au 1er siècle avant J.-C. est remise en question. Philo décrit comment les tribus furent persécutées par les Philistins après la mort de Josué et qu'ils cherchèrent un chef.

Qenaz fut élu et questionna chaque tribu pour leurs comportements honteux croyant que leurs troubles furent causés par leurs manques à la Loi de Moïse. Les confessions furent nombreuses mais celle qui est la plus intéressante à notre avis est celle de la tribu d'Aser qui confessa que, « Nous avons trouvé les sept idoles d'or que les Amorites appellent les nymphes sacrées et nous les avons apportés avec leurs pierres précieuses incrustées et les avons cachés. Et maintenant ils sont cachés près du sommet du mont Sichem. Par conséquent, vous pouvez maintenant les recouvrer ».Qenaz envoya immédiatement un groupe d'hommes pour les recouvrer et lui rapporter. Ces pierres furent décrites comme des cristaux et furent de couleur vert pâle. « Et voici les pierres précieuses », lui dit-on, « que les Amorites avaient dans leurs sanctuaires, la valeur desquelles ne peut être estimée ». Ces cristaux qui avaient été incrustés dans les yeux des idoles émettaient aussi une certaine luminosité. Ils dirent à Qenaz que, « pour ceux qui arrivent durant la nuit, la lumière d'une lampe ne fut pas nécessaire car les pierres brillaient si d'un vif éclat ».

Ces cristaux clairs et vert pâle avaient été incrustés dans les idoles des Amorites (Canaanéens) vraisemblablement dans les cavités orbitales. Les cristaux furent inconnus aux Hébreux qui ne connaissaient pas leurs fonctions sauf comme parures sur les idoles païennes. Il est vrai que nous craignions et nous détruisons ce que nous ne comprenons pas.Cependant, Qenaz trouva que ces pierres ou cristaux furent pratiquement indestructibles. Il tenta de les détruire de plusieurs façons : d'abord par le feu mais elles éteignirent les flammes. Il tenta alors de les fendre avec une épée de fer mais elles cabossèrent la lame. Par désespoir, elles furent enfin offertes sur un autel à la divinité et, selon le compte de Philo, elles furent mystérieusement enlevées par un ange durant la nuit.Ces cristaux de Qenaz qui émettaient de la lumière et qui furent pratiquement indestructibles furent incrustés dans les idoles prises de la cachette trouvée à Sichem sous un chêne. Ils furent sans doute ceux qui avaient été enterrés par la maison de Jacob plusieurs centaines d'années auparavant. Ces cristaux émettaient encore de la lumière pendant tout ce temps et furent donc encore actifs jusqu'à un certain point.

Les pierres par elles même ne furent pas très utiles car elles servirent à activer des appareils tel que le teraphim, le receveur et transmetteur de radio portatif biblique. Durant les jours de Qenaz, vers la fin du 15ème siècle avant J.-C. et le commencement de la période tranquille connu comme les jours des Juges, les pierres devinrent que des curiosités. Étant associées avec les idoles des Cananéens, elles furent traitées simplement comme des objets fabriqués païens.

LES PIERRES QUI ÉCLAIRENT


Les cristaux de Qenaz furent aussi décrits comme brillants la nuit et il ne fut donc pas nécessaire d'utiliser une lampe. Une telle source d 'énergie fut probablement utilisée par Noé comme éclairage dans l'Arche pendant la longue période de 150 jours que son vaisseau scellé passa en mer. Selon la tradition orale hébraïque telle que révélée dans le Haggadah, l'Arche fut éclairée par une pierre précieuse qui servit à éclairer l'intérieur du vaisseau et rendit la nuit comme le jour.Une source semblable d'énergie est mentionnée dans le livre de Mormon, le livre sacré de l'Église des saints des derniers jours. Quand la tribu de Lévi quitta Jérusalem vers l'an 600 avant J.-C. pour leur voyage vers « la terre promise », ils construisirent huit vaisseaux pour le voyage.



Ces vaisseaux furent scellés comme l'Arche de Noé et, pour voir à l' intérieur, ils reçurent seize petites pierres, deux pour chaque vaisseau qui furent « blanches, claires et transparentes comme le ver ». Ces pierres « brillaient dans l'obscurité » pendant les 344 jours en mer avant qu'ils aient enfin atteint le rivage. 

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