De sérieux indices laissent à penser que
les anciens dieux ont maîtrisé la fission nucléaire. Si la
Bible en parle à mots couverts, le Mahabharata
est beaucoup plus explicite.
La Bible évoque les villes de Sodome et Gomorrhe
, détruites par un châtiment divin. Sur le site de ces deux villes, la Mer
Morte pourrait bien témoigner d'une destruction radioactive. En effet, la très
haute teneur en sel de cette mer fossile pourrait être la conséquence d'une
explosion nucléaire. Dans la Bible, on se souvient que Loth avait pu échapper à
la destruction de Sodome. Yahveh lui avait ordonné de fuir
sans se retourner. Mais quand l'énorme explosion eut lieu, sa femme se
retourna. La brûlure de l'explosion la changea aussitôt en statue de
sel. Ce que la Bible ne dit pas, c'est que la mer intérieure qui jouxtait
Sodome et Gomorrhe a été, elle aussi, transformée en sel. Littéralement privée
de vie aquatique par la même explosion nucléaire, sa teneur en sel a été plus
que décuplée. Depuis, c'est une mer morte, d'où son nom. On y mesure un taux de
"radioactivité naturelle" assez élevé.
"C'est sur les bords de la Mer Morte que
l'on a trouvé des tektites, recelant des isotopes radioactifs d’aluminium et de
béryllium. Ces mystérieuses tektites n'ont pu se former que dans des
conditions de température extrêmement élevées et de radiations nucléaires non
moins puissantes. Autrement dit, des conditions voisines de celles qui règnent
lors d'une explosion thermonucléaire et l'on conçoit alors que les anciens
aient pu dire que Sodome et Gomorrhe avaient été détruites par le feu du ciel
!"
Certes, aucun de ces indices ne constitue en soi
une preuve formelle. Cependant, ces divers phénomènes pourraient être les
réelles conséquences d'une explosion nucléaire… On sait en effet
que les pseudo-dieux possédaient un arsenal proprement
terrifiant. Des savants illustres ont eu la même idée, comme Einstein et
Oppenheimer.
Ce dernier fut le père du programme nucléaire
étasunien. On dit qu'il était féru de culture védique. Après l'explosion
réussie de la première bombe atomique, Oppenheimer donnait une conférence à
l'université de Rochester. Un étudiant lui demanda si cette bombe était la
première. Dans les temps modernes, c'est la première, répondit le
savant. Il cita également le Mahabharata disant « Now,
I am become Death, the destroyer of worlds » (qui se traduit par « Maintenant, je suis devenu la mort, le destructeur des
mondes »)
Peut-être avait-il lu le Mahabharata et se souvenait-il de cette description :"Ghurka surgit dans son puissant vimana et détruisit les trois cités des Vrishis et des Andhakas avec un projectile unique chargé de toute la puissance de l'Univers. Une colonne incandescente de fumée et de flammes aussi lumineuse que dix mille soleils s'éleva dans toute sa splendeur.
C'était une arme inconnue, une foudre de fer, un
gigantesque messager de mort qui réduisit en cendres la race entière des
Vrishis et des Andhakas. Les cadavres étaient tellement brûlés qu'ils
étaient méconnaissables. Leurs cheveux et leurs ongles tombaient ; la poterie
se cassait sans raison apparente et les oiseaux devenaient blancs. Au bout de
quelques heures, toute nourriture était infectée ... Pour échapper à ce feu les
soldats se jetaient dans les rivières pour laver leur corps et leur
équipement..."
D'après Paul Boué, ingénieur atomiste, c'est la
description exacte d'une irradiation nucléaire. Les
mythes antiques ne sont pas des calembredaines... Il est hautement
improbable qu'en décrivant une arme purement imaginaire, l'auteur du
Mahabharata ait énuméré les effets bien réels d'une bombe nucléaire. On doit
donc en conclure, bon gré mal gré, que la technologie nucléaire n'est pas une
invention moderne. Bien entendu, la science actuelle n'admet
pas qu'une culture préhistorique ait utilisé des vaisseaux pour
larguer des bombes nucléaires, encore qu'il existe plusieurs indices assez
probants.
Au Pakistan et en Inde, dans la vallée de
l'Indus, se trouvent les ruines de plusieurs cités antiques, détruites de façon
brutale. Elles ne sont pas mentionnées dans l'histoire : nous pouvons en
conclure qu'elles sont antérieures aux temps historiques. On les
soupçonne d'être quelques-unes des cités Rishis du mythique empire de Rama. Les
deux plus grandes sont aujourd'hui appelées Mohenjo-Dâro et Harappâ, mais ces
noms sont modernes. Chacune d'elles pouvait loger jusqu'à 200.000 habitants.
S'agirait-il des cités des Vrishis
et des Andhakas, ces trois villes détruites par Ghurka et sa foudre
de fer ? Il semble en tout cas que ces villes aient été détruites en un
instant : sur la chaussée, les fouilles ont permis de découvrir des squelettes
fauchés en pleine activité. Après des millénaires, ces squelettes sont
encore aussi radioactifs qu'à Hiroshima. Cette radioactivité élevée a entraîné
des problèmes sanitaires graves, si bien que le gouvernement indien a été
contraint de fermer le site de fouilles.
"D'anciennes cités d'Inde et d'Asie
ont été littéralement vitrifiées, on trouve ce genre de traces également en
Bretagne, Irlande, Ecosse et Turquie. Il ne semble pas y avoir d'autres
explications qu'un désastre nucléaire. Dans le désert de Lop Nor en Chine
orientale, selon "World's Strange Phenomena" de Charles Berlitz, les
archéologues ont également trouvé différentes couches de traces de
civilisations très anciennes, et durent cesser de creuser lorsqu'ils tombèrent
sur une couche dure de sable vitrifié. Sur de vastes étendues du désert de
Gobi, on observe des vitrifications du sol semblables à celles que laissent les
explosions atomiques."
Si une civilisation comparable à la nôtre
a géré jadis cette planète, gageons qu'elle a fini par s'autodétruire...
Un autre argument de poids renforce l'hypothèse
de guerres atomiques dans un lointain passé. C'est l'épisode troglodyte, lors
du dernier âge glaciaire, quand les êtres humains se sont mués en taupes
pendant quelques trois mille générations. Cet épisode n'est pas fictif, il fait
réellement partie de notre patrimoine historique, ce qui explique pourquoi ce
thème de l'enfouissement est si présent dans la littérature populaire : L'armée
des douze singes, Voyage au centre de la terre, Les Terres Creuses...
Bien souvent, croyant imaginer un futur
possible, les auteurs vont pêcher une tranche d'histoire pré-antique dans
les annales Akashiques... banque de données de tout ce
qui nous avons vécu au cours de notre interminable histoire. Ceux d'entre eux
qui le font en conscience possèdent ce précieux don qu'on
nomme "science infuse". C'est un tel plaisir d'explorer le
très lointain passé de nos semblables. Il faut d'ailleurs retoucher le
portrait que ces citations guerrières nous donnent de Shiva. C'est
qu'il y eut plusieurs Shivas.
Celui qui possède Pasupata, l'arme absolue,
n'est qu'un des princes de l'ère atlante, un des dieux
d'avant, généticien créateur de Hanuman et d'autres dieux hybrides. Celui-là
n'est pas le grand Shiva, principe originel du Shivaïsme dravidien. Car
Shiva la Source, principe impersonnel et transcendant, ne peut en aucun cas
être confondu avec le gardien d'une bombe atomique, qui n'est qu'un homonyme
bien humain. En France, les Elie sont nombreux. Les Jésus le sont aussi en Amérique
latine...
Qui peut confondre Elie Semoun avec le dieu de
la Bible ou Madonna avec la Sainte Vierge ?
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