Le feu du ciel
Adam et Eve ont croqué une pomme qui leur a donné la
connaissance totale. Gilgamesh vint au séjour des Dieux et
comprit qu'une liqueur secrète leur donnait jouvence et longévité.
Les chasseurs-cueilleurs du Néolithique ouvraient les
crânes pour provoquer l'éveil.
Les surhommes d'Atlantide ont construit des
temples où l'initié recevait le baptême par le feu du ciel. Tout
ce qui ne nous tue pas nous rend plus
fort ; les Atlantes
connaissaient parfaitement les effets de la
foudre sur la psyché humaine, aussi avaient-ils conçu
des centrales fulgurales pour réveiller leurs pouvoirs
par l'électro-thérapie. Ainsi la
majorité des mégalithes sont-ils des
outils ou des machines, mis au point par les
Atlantes pour capter l'énergie céleste et
bénéficier de ses dons.
A cette fin, ils construisirent Tiahuanaco, Stonehenge,
Carnac, Machu Picchu, les pyramides de Guizeh, Teotihuacan, Avebury,
la Roche aux Fées… En Celtie, ils avaient levé des grandes pierres, dressé
des pyramides et bâti des allées couvertes pour y recevoir des baptêmes de la
foudre, et profiter des dons célestes.
En Amérique, en Europe centrale, en Egypte, ils avaient bâti
des pyramides surmontées d'un pyramidion en métal conducteur pour capter la
foudre ; elle pénétrait à l'intérieur de la pyramide par les pseudos
"conduits d'aération".
Les "arcs de décharge" éclataient les éclairs
pour les transformer en foudre en boule, beaucoup moins dangereuse. Juste en
dessous, ils avaient ménagé une chambre forte avec un sarcophage en pierre où
s'allongeait l'initié ; il y gagnait les bénéfices d'un baptême par le feu du
ciel sans risquer sa vie. Jésus y aurait reçu l'initiation d'Isis, c'est du
moins ce qu'affirme Edgar Cayce, étendu dans ce même sarcophage, tandis
que les éclairs ébranlaient l'énorme masse de pierres au-dessus de
lui.
Bien des légendes parlent des bienfaits de la foudre. Au
Japon de l’ère Edo, dans un vieux temple de Setagaya, vivait un moine très
pauvre qui pour tout bien n'avait qu'un chat. Le bon prêtre savait se priver de
repas pour nourrir son seul ami. Tous les jours il lui posait la même question
: O chat, ne peux-tu rien faire pour ce temple ? Si bien que le chat
s'en émut, décidant de porter secours à son maître si bon avec lui. Ce jour-là,
un grand seigneur, Goutokuji-San, surpris par une averse, se réfugia sous un
arbre.
C'est alors qu'il vit, sur le seuil du temple, un chat qui lui faisait
signe d'approcher. Le seigneur entra dans le temple. A l'instant même, l’arbre
qu'il venait de quitter fut frappé par la foudre. Une boule de feu blanc
atteignit le seigneur qui connut aussitôt l'éveil. Après cet évènement,
Goutokoji-San revint souvent au temple qui devint celui de sa famille, le
Temple Goutokuji. On pourrait croire que l'éveil du seigneur Goutokoji est un
don du chat magique, mais selon nous, il s'agirait plutôt du pouvoir du
tonnerre.
"Vous avez des yeux pour voir et vous ne voyez pas. Que ceux
qui ont des oreilles, entendent."
Que fait la foudre sur le cerveau humain quand elle ne lui grille
pas les neurones ? Quelle modification des longueurs d'ondes cérébrales
permet d'acquérir ces mystérieux pouvoirs ? Existe-t-il d'autres
moyens que la foudre pour obtenir ce résultat ? Quand pourrons-nous
explorer cette voie passionnante ? N'avons-nous pas tous envie de voler, de
nous téléporter, de soulever sans effort les montagnes, de créer le monde
matériel par la seule action de notre esprit ?
Qui refuserait de vivre beaucoup plus longtemps et de garder
une éternelle jeunesse ? Qui refuserait la science infuse, la
connaissance, totale, immédiate, absolue ? Qui refuserait l'accès
libre et permanent aux multiples univers qui sont parallèles au
nôtre ? Gageons que la foudre permet tout cela. C'est dans le souvenir
collectif de ce lointain âge d'or que s'origine le mythe de superman
et de ses potes. Des artistes, des sensitifs les ont créés à notre image. S'ils
nous ressemblent, nous pouvons être comme eux. Par Isis.
L’energie
Vril
Le Vril est la géo-énergie émise par la rotation de notre planète. Bien
connue des anciens dieux et des peuples développés d'avant le
déluge, l'énergie Vril est gratuite, renouvelable, propre, inépuisable. Elle
participe à la fois de l'électricité, du cosmo-tellurisme, de
l'électronique, du magnétisme, du spiritisme et du mesmérisme. Elle fut
redécouverte récemment par Nicolas Tesla et son système d’énergie électrique
illimité et sans fil. Inépuisable, non
polluante, gratuite, elle est utilisée depuis des millénaires. Rude coup pour
notre complexe de supériorité ! De la même façon que la foudre
en boule semble réagir au psychisme humain, l'énergie Vril semble lui obéir.
Quand l'individu a reçu un entraînement spécial, il peut déclencher une onde
électro-magnétique. Son triple corps{corps physique + corps
subtil + corps de lumière} assemble l'énergie diffuse à l'aide d'un
catalyseur, un petit objet en or.
Ce catalyseur de Vril permet selon le cas de soigner ou de blesser, de
rééquilibrer les énergies subtiles de l'être sur qui on le braque, ou de le
griller comme un steak. Il est à la fois une arme et une baguette magique : un
lance-rayon qui réveille les pouvoirs latents, mais qui peut aussi rendre fou,
amnésique, ou grillé vif. Cet objet magique possède bien des noms : en
Egypte, on l'appelait Ankh ou Croix de Vie, les Grecs parlaient du foudre de
Zeus,
les Ramas du vajra d'Indra, et les Olmèques du xiuhcoatl.
Il est intéressant de noter
que notre utilisation de l'électricité est très réductrice par rapport à ce
qu'elle fut dans
l'ancien temps. Le regard de l'homme a changé. Il voue un culte à la raison qui lui a
volé sa toute-puissance, il méconnaît la nature et les pouvoirs qu'elle lui
offre, il refuse l'abondance énergétique que donne le Vril ou la
foudre pour exploiter des énergies polluantes, périssables et mortelles...
mais facturables.
LA FOUDRE DES ANCIENS
A
l'origine, Zeus, le puissant dieu des dieux
Olympiens, n'était pas le maître de la foudre,
mais du foudre. Et le genre masculin fait toute la différence.
Le
foudre est une arme de poing, capable de lancer un serpent de feu, c'est à
dire un rayon mortel. Zeus avait reçu cette arme de la main des fabuleux cyclopes, les Hommes de la Race d'Or,
d'improbables créatures dont la taille atteignait cinquante-quatre mètres. Les
Cyclopes étaient les maîtres de la foudre. Ils maîtrisaient aussi l'art de la
forge et l'ingénierie électronique : ils savaient fabriquer des
armes terribles... C'est ainsi qu'ils ont offert à Zeus l'arme qui l'a
rendu tout-puissant, le foudre qui tue ou divinise.
Thor,
le dieu scandinave, possède une arme magique, un marteau qui lance des éclairs,
capable de détruire les armées et les fortifications, mais capable aussi de
reconstruire les ruines. Il s'agit sans doute de quelque arme technologique,
dont le souvenir déformé nous a été transmis par le mythe. Thor, pour certains
auteurs, serait un avatar nordique de Zeus : rien d'étonnant s'il maîtrise la
foudre. En comparant les mythes, on découvre vite que le foudre est une arme
universelle, la kalashnikov des dieux, si on veut. "Le foudre, ou
vajra est l’arme du dieu Indra ; il s’agissait à l’origine de la foudre. Une légende relate la naissance de l’instrument
vajra, arme des armes : les dieux avaient confié leur arsenal au
premier ascète, Dadhichi. Celui-ci, après l’avoir fidèlement gardé pendant une
longue période, désira retourner à sa pratique. Usant de ses pouvoirs de yogi,
il dissout les armes dans de l’eau qu’il but.
C’est
peu après que l’Asura Vritra vint défier Indra. Celui- ci vint alors reprendre
ses armes, pour découvrir qu'elles avaient été absorbées par
l'ascète. Immoler Dadhichi était la seule solution pour les récupérer.
Encouragé par Dadhichi, Indra l’exécuta à regret et fabriqua le vajra avec sa
colonne vertébrale. Les circonstances extraordinaires de sa fabrication
permirent au dieu d’obtenir la victoire, car il se trouvait que Vritra avait
obtenu de Shiva la promesse qu’il ne pourrait être tué que par une arme
exceptionnelle, faite d'une matière différente de celle des armes habituelles.
Outre le fait que sa puissance est sans égale, le vajra ne peut être mal
utilisé et revient toujours à son propriétaire.
Le
vajra d’Indra peut se présenter sous différentes formes, un cercle percé
d’un trou ou une sorte de croix par exemple. Dans le Rig-Veda, il s’agit
d’une massue hérissée de multiples pointes. Selon une légende bouddhique, c’est
Çakyamuni qui a transformé l’arme en outil pacifique en rapprochant l’extrémité
des pointes." Le vajra ou le foudre évoque un pistolet
laser, un lance-rayon. Ce rai mortel pouvait ressembler à la foudre, y compris
le bruit de tonnerre que faisait le coup. D’ailleurs la sculpture ci-dessus de
Zeus est étonnante on y retrouve le même Vajra .
Mais
avec Bouddha, l'arme devint douce et
curative… La légende dit en effet que Bouddha rapprocha les pointes du vajra,
transformant ainsi l'arme létale en instrument de guérison. Depuis, le vajra
"bouddhique" aux pointes réunies est devenu un des principaux objets
cultuels du lamaïsme tibétain. On a donc deux utilisations reconnues pour le
vajra, d'abord il est perçu comme une arme, puis, par la grâce du Bouddha, il
devient un objet sacré, paré d'une fonction rituelle, sans qu'on sache
clairement à quoi il sert.
Quelle
grande vérité a été cristallisée dans ce mythe ? Sans doute celle-ci : le
vajra, ou l'ankh, ou le foudre était une "arme" de poing, du
type laser ou lance-rayons. Parfois, les rayons étaient mortels, parfois
bénéfiques. C'est pourquoi, plutôt que d'une arme, il vaut mieux parler d'un
outil ; car l'ankh pouvait aussi bien réparer que détruire. Il utilisait
probablement l'électricité atmosphérique, que les anciens appelaient l'éther,
qu'on nomme aussi géo-énergie, ou énergie
libre
.
En
règle générale, les hiéroglyphes et les fresques antiques ne sont pas des
représentations symboliques, mais des images réelles d'une technologie
supérieure. Le vajra d'Indra ou le foudre de Zeus lançaient bel et bien des éclairs
tantôt bienfaisants, tantôt mortels. Sur les murs des temples d'Egypte, le dieu
Ra, homme à tête de faucon, est montré avec un disque d'or rouge qui lévite
au-dessus de son crâne. De ce disque sortent parfois des lignes de
pointes de flèches qui se dirigent droit sur tel ou tel personnage.
Manifestement,
Ra commandait à une boule de feu de lancer ses rayons sur les hommes qu'il
voulait récompenser ou punir. Ce dieu possédait donc une arme lance-rayons.
Etait-ce une technologie liée à la foudre ? Ou bien utilisant la puissance
du cristal de quartz, comme le
laser moderne ? Un mix des deux ? Autre chose encore, hors de notre
portée ?
Sur
les bas-reliefs du temple de Séti 1er, à Abydos, Osiris porte des couronnes aux
formes les plus diverses. Graham Hancock souligne une anomalie : "De
telles couronnes constituent un élément essentiel du costume des pharaons.
Bizarrement pourtant, en deux siècles de fouilles, les archéologues n'ont
jamais retrouvé un seul spécimen de couronne royale, pas même un fragment, sans
parler de la coiffe cérémonielle convolutée associée aux dieux du Premier
Temps."
Pas
étonnant qu'on n'en ait pas retrouvé trace. Ces coiffures aux formes
technologiques étaient d'une valeur inestimable et d'une dangerosité
non moins grande. En êtres responsables, les dieux n'ont rien laissé traîner
derrière eux. On notera que les couronnes sont toutes ornées d'antennes et de
gadgets qui évoquent des lance-rayons. Ces couronnes étaient des capteurs
cérébraux reliés à des générateurs de rayons de mort ou de guérison. Donc
tout à la fois des armes et des traitements.
La
plus impressionnante est "la couronne d'Atef, qui semble mesurer plus
de cinquante centimètres.
D'après
le Livre des Morts, elle lui aurait été donnée par Ra : "Mais dès le
premier jour où il la porta, Osiris fut pris de violents maux de tête, et
lorsque Ra revint le soir, Osiris se plaignit que sa tête était irritée et
avait enflé à cause de la chaleur dégagée par la couronne. Ra entreprit alors
de laisser s'écouler le pus et le sang." Quelle sorte de couronne était-ce
donc pour dégager de la chaleur et provoquer hémorragies et plaies purulentes
?"La description est éloquente : il s'agissait d'un engin dangereux...
On
retrouve l'usage des lance-rayons chez les dieux Aztèque et Incas,
Quetzalcoatl et Viracocha. "Des légendes racontent que les
dieux de l'ancien Mexique étaient armés de xiuhcoatl, ce qui
signifie "serpents de feu". Ils émettaient des rayons capables
de transpercer et mutiler des corps humains." Une tradition aborigène
dit que les Hommes d'Avant étaient les frères de la Foudre. Des peintures
rupestres d'Australie montrent des géants avec des pointillés qui partent
de leurs doigts.
Quant
à Elie et ses Elohim, aucune source ne fait explicitement référence à leurs
armes. Pourtant de nombreux passages de la Bible ou des sources connexes
deviendraient beaucoup plus clairs si l'on indiquait l'usage d'armes
"modernes". Ainsi, les Hébreux trop curieux foudroyés par l'arche
d'alliance ou l'épisode du buisson ardent les foudres de Yahveh sur le mont
Sinaï la destruction des murailles de Jericho et celle de Sodome et Gomorrhe.
Pareil
pour Yahveh le bagarreur, jaloux et
tyrannique, qui zigouille tout ce qui bouge en hurlant "Tu ne tueras
point !" Il est humain,
trop humain lui aussi.
Vajra, foudre et diamant
Foudre diamantine, pureté du cristal
transparent, pureté de l'esprit libéré de sa gangue d'inepties, la foudre
assainit l'esprit et le rend parfait comme un diamant sans défaut.
Passionnant mystère du vajra ! J'ai déjà expliqué
sa légende et son utilisation dans un autre article. Ce qui
m'intéresse ici, c'est de réfléchir au curieux double sens de ce mot, qui ne
lasse pas de me questionner. Le mot sanskrit vajra signifie à la fois
la foudre et le diamant. Voici pourquoi. La clé de cette énigme nous est donné
d'emblée dans un texte obscur des manuscrits retrouvés à Nag Hammadi,
intitulé "Foudre, esprit parfait" et sous-titré "le
don d'Isis".
Isis la Déesse fait don aux hommes de l'esprit
parfait à condition qu'ils se soumette à son mortel baiser. S'ils survivent,
ils seront semblables aux dieux. S'ils périssent, qu'importe ? ils ne
méritaient pas de vivre.
Le baiser mortel de la Déesse, vous l'avez
compris, c'est la foudre. Dans les Temples d'Isis, les
requérants se glissaient dans un sarcophage de pierre en attendant que l'éclair
tombe sur un capteur au-dessus de leur tête, pour conduire l'influx surpuissant
jusqu'à la pierre de leur caveau. Les survivants sont les élus. Quant aux
blessés, on les sacrifie illico. Autres temps, autres mœurs. Il a fallu
attendre Quetzalcoatl en Amérique et Ashoka en
Asie pour que les sacrifices d'êtres vivants soient abolis. Mais le sont-ils
vraiment ?
On a vu à quel point les civilisations antiques
étaient centrées sur l'éveil et l'esprit parfait qu'il donne aux éveillés. On a
vu comment ils ont utilisé les techniques les plus dangereuses, les plus folles
aussi, pour parvenir à leurs fins. Ils ont pratiqué des trépanations pour
titiller l'épiphyse - la glande de l'éveil, nichée au cœur de la masse
cérébrale. Ils ont utilisé la foudre dans des pièges de
pierres polarisées où ils captaient la puissance de l'éclair pour la
transformer en boules de foudre, beaucoup moins dangereuses.
Augmenter brusquement la tension du système nerveux pour déclencher la montée
d'énergie de la Kundalini, tel était le but recherché. Et non pas griller vif le
malheureux sujet !
Mais attention, l'influx nerveux est un courant,
il a une vitesse, un débit et surtout un sens. Une brutale inversion du sens de
l'influx nerveux provoque à coup sûr la mort du sujet. De nombreuses
techniques, en Asie surtout, ont été élaborées en vue d'inverser l'influx
nerveux. Beaucoup d'entre elles utilisaient les vertus de certaines modulations
sonores, des sons vibrants, stridulants, ou qui apparaissent à l'oreille
comme dédoublés voire impossibles à localiser.
Le vajra originel avait les pointes ouvertes,
c'était alors un puissant émetteur sonore, un instrument de musique si l'on
veut. Mais sa musique était particulière. Elle donnait au corps
le la cosmique, si je puis dire. Elle réorientait chaque électron du
corps vers sa modulation de fréquence optimale, celle qui lui permet au mieux
d'émettre et de recevoir les ondes cosmiques. On l'imagine, l'usage d'un tel
instrument est délicat, car sa puissance peut tuer s'il tombe dans des mains
profanes.
Aussi le vajra fit-il partie des éléments
de la science antique jugés néfastes pour le genre humain, et qui, à ce titre,
ont été mis de côté il y a vingt-deux siècles et conservés depuis lors par les
Neuf Inconnus. C'est aussi pourquoi une légende bouddhique prétend que la
Bouddha, soucieux de préserver la santé de ses contemporains, fit se rejoindre
les branches du vajra qui depuis lors a perdu toute efficacité. Dans le
bouddhisme actuel, il n'est plus utilisé que comme un objet rituel, d'une
portée seulement symbolique.
Les trompettes ou plutôt les trompes
de Jéricho font partie de ces antiques instruments de musique que l'on
n'utilisait pas seulement pour danser. Ou alors, pour les danses de transe.
Nous en possédons encore quelques-uns, comme le bol tibétain, la trompe des
montagnes, le didjeridoo australien ou la guimbarde. Certains chamanes ou
maîtres d'arts martiaux connaissent encore les modulations sonores émises par
le gosier humain à des fins dévastatrices.
Une des plus célèbres est le KWAI/KIAI, le cri
qui tue du karateka. Ce cri est un certain son tenu sur une certaine note et
modulé par une certaine intention. Il y a beaucoup de paramètres à respecter si
l'on veut obtenir le parfait kwai ou -pourquoi pas?- le son précis qui fait
tomber les murailles de Jéricho. Je peux d'ores et déjà vous dire qu'il s'agit
d'un fa dièse. Ou d'un ré, mais quel ré ? Le son a sa largeur, sa hauteur, sa
profondeur. Le son est multidimensionnel. Reproduire un son n'est possible
qu'en devenant ce son.
De là toute vraie musique devient musique de transe. Il n'y a pas de transe
sans danse... même s'il y a une transcendance. Qui sait ? Surtout pas moi. Et
si je le savais, je ne vous le dirais pas. Et si je vous le disais, vous ne le
croiriez pas. Et vous auriez bien raison. Croire sans y croire, telle est la
règle. Non pas règle obscure inventée par sadisme, mais règle lumineuse pour
jubiler sans se rogner les ailes. Et j'y crois. Pourtant si vous me demandez
mon avis, je vous dirais que je n'y crois pas.
Il existe un moyen simple, très simple, de retrouver cette gamme de
sons qui guérissent. Il existe un autre moyen presque aussi simple de
fabriquer, à l'aide d'un cristal et de sa lumière polarisée, un laser
permettant de faire varier l'intensité de l'influx nerveux. Ces notions ont été
longuement et méticuleusement étudiées des millénaires durant, elles font
partie des connaissances que l'empereur Ashoka jugea dangereuses et dont il
confia la charge secrète aux Neuf Inconnus.
Imaginez le casse-tête : il me faut raconter à votre tête des histoires qui
ne la concernent pas. Pire : qui la menace. Seulement je n'ai pas le choix.
S'il y avait un moyen de s'adresser chez vous à quelqu'un d'autre que votre
tête, vous pensez bien que je m'en servirais. D'ailleurs j'essaie d'y parvenir,
du mieux que je peux, avec les images. Distraire votre tête gourmande, lui
donner un os à ronger pour que vous et moi, sans elle et sa foutue censure, on
puisse avoir un vrai échange, à cœur ouvert.
Ces choses-là sont bien oubliées, pourtant elles pourront nous sauver
demain. Qui sait ? Bientôt les armées feront le siège de vos villes, bientôt
les murailles tomberont au son vertigineux des trompettes. Et qui
soufflera dans le didjeridoo ?
Vril antique
En Asie, en Afrique, en Europe ou en
Amérique, l'antique histoire de l'électricité est contée par des textes, mais
aussi par des objets, des statues, des fresques, des sculptures ou des
bas-reliefs avec un luxe de détails qui pourrait en faire une véritable
encyclopédie de l'électromagnétisme. A quelques nuances près…
Pour ceux qui douteraient encore du lointain
passé de la fée électricité, la pile ou batterie de Bagdad apporte une
preuve digne de Saint Thomas : elle est censée avoir environ 2000 ans
(datée de la période parthe, env. 250 AEC à 250 EC). La jarre a été découverte
à Khujut Rabu aux portes de Bagdad. La jarre en argile possède un bouchon
isolant en asphalte percé d'une tige de fer entourée d'un cylindre de cuivre.
Remplie de vinaigre - ou de toute autre solution électrolytique - la jarre
produit environ 1,1 volts.
Si les anciens savaient produire l'électricité à
l'aide de piles, ils avaient également maîtrisé une source d'électricité que
nous nous obstinons à négliger, pour une raison qui m'échappe encore.
Incroyable mais vrai : les anciens
utilisaient l'électricité atmosphérique, ou Vril, qui a
toujours été gratuite. Elle existe partout, il suffit d'une antenne pour la
capter, mais elle ne marque pas au compteur EDF. Au siècle de l'argent
roi, l'énergie gratuite n'a pas d'intérêt. Faut-il en conclure que les
"dieux d'avant" se foutaient du pognon ? Quoi qu'il en soit, ils
connaissaient très bien la foudre :"Le temple de Salomon et la
bibliothèque d'Alexandrie possédaient des paratonnerres."
C'est vrai, et la Maison du Ciel que Gilgamesh construisit
à Uruk en possédait aussi. S'agissait-il de paratonnerres ou de capteurs de
foudre ? Jadis, on piégeait la foudre pour en extraire le
précieux Vril. Les pyramides du Mexique ont à leur base une couche
de mica pour éviter que cette précieuse énergie soit remise à la terre.
Aujourd'hui, nous piégeons l'énergie Vril dans nos paratonnerres, mais nous
nous empressons de la remettre à la terre malgré nos besoins énergétiques.
Et il n'y a pas que le Vril
fulgural qu'on néglige. "Très curieusement, l'énergie électrique qui
se construit sur toutes les surfaces métalliques et paratonnerres de la
planète, nous la jetons dans les mises à la terre, où elle se dissipe aussitôt".
Pendant qu'on nous revend à prix d'or l'électricité d'un giga-barrage ou d'une
centrale nucléaire, graves nuisances environnementales. Est-ce un complot
? Y a-t-il un fantôme dans la machine, ou un diable aux commandes ?
Cette hypothèse n'est pas nécessaire. L'appât du
gain suffit. "Plus curieusement encore, les codes électriques d'une
bonne partie des pays industrialisés interdisent l'utilisation ou la
commercialisation d'un équipement qui utiliserait une telle source d’énergie
atmosphérique." Quand c'est gratuit, c'est illégal. Chacals. Si
jamais vous pensez qu'on nous prend pour des cons, vous avez raison. Au-delà de
la sordide question d'argent, il y a là un gaspillage qui n'est pas seulement
quantitatif, mais qualitatif.
L'énergie Vril est beaucoup plus que de
l'électricité. La physique quantique nous enseigne que dans chaque transmission
d'énergie, il y a transmission d'information. L'énergie Vril apportait aux
anciens les connaissances de l'esprit de la Terre (électricité atmosphérique)
et de l'esprit de la Lumière (électricité fulgurale éclatée en boules
de foudre). Quelle information peut bien véhiculer nos lignes à très hautes
tension, mortifères, désastreuses pour l'environnement et le psychisme humain ?
Le vril sacré
Selon nous, l'énergie Vril avait une fonction sacrée, celle de transformer
l'homme en dieu, en restaurant les pouvoirs perdus qui
résultent de l'utilisation synchrone des deux hémisphères cérébraux.
D'autres techniques ont été utilisées dans
ce même but. Le bas-relief ci-dessus nous montre l'utilisation de caissons
à Vril, dans lesquels les initiés recevaient un baptême céleste très
efficace. On notera la présence de câbles électriques reliant les caissons à
des générateurs.
Si Garzia n'a pas saisi cet aspect sacré de
l'électricité antique, il est néanmoins persuadé de l'utilisation électrique
des pyramides : "Des pyramides américaines et égyptiennes étaient
posées sur une couche de mica, isolant électrique naturel encore utilisé de nos
jours". Cette couche de mica servait manifestement à isoler un
édifice soumis à de fortes tensions électriques, de façon que la charge ne soit
pas mise à la terre. Les anciens tenaient à récupérer cette précieuse énergie.
La "pyramide" conique de Silbury, près d'Avebury dans
le Wiltshire (UK) montre parfaitement les différentes utilisations
de l'électricité atmosphérique dans un passé lointain. Un autre phénomène,
totalement inexpliqué, accrédite l'idée selon laquelle l'électricité était
connue des anciens. Il s'agit des lampes perpétuelles. Andrew Tomas a dressé
une longue liste d'auteurs classiques ayant témoigné de l'existence de ces
lampes qui ne s'éteignent jamais. Où puisent-elles leur énergie, sinon dans le
Vril ambiant ?
Au 2e siècle, Pausanias décrit la lampe
dorée du temple de Minerve qui peut brûler toute une année, ainsi que la lampe
du temple de Jupiter-Ammon qui brûlait depuis des siècles. Au 4e siècle, Saint
Augustin évoque une lampe perpétuelle que ni le vent ni la pluie ne peuvent
arrêter. Au 6e siècle, à Antioche, une lampe perpétuelle fut découverte
accompagnée d'une inscription qui précisait qu'elle avait été allumée cinq
siècles auparavant.
Au 15e siècle, à Rome, quand on ouvrit le
tombeau de Pallas, il était illuminé par une lampe perpétuelle, allumée sans
doute depuis 17 siècles !!
Les cent lunes de la jungle
"En Irian-Jaya, nous avons
entendu parler d'un village coupé de toute civilisation, qui posséderait un
système d'illumination artificiel égalant, voire dépassant, ceux du 20e siècle.
Les marchands qui pénétrèrent dans ce hameau perdu au milieu des hautes
montagnes dirent avoir été terrifiés à la vue de nombreuses lunes suspendues en
l'air et brillant d'un vif éclat toute la nuit. Ces lunes artificielles étaient
d'énormes boules de pierre posées sur des colonnes qui, dès le soleil couché,
se mettaient à luire étrangement comme des néons et illuminaient les
rues."
Dans le même ordre idée, et non loin de là,
existe une tradition similaire, les booyas, que pratiquent encore les vieux
indigènes.
"La booya est une pierre ronde enchâssée
dans un manche de bambou. Il n'existait dans ces îles que trois de ces
sceptres. Quand le chef pointait la booya vers le ciel, un éclair de lumière
bleu-vert en jaillissait. Cette "lumière froide" était si brillante
qu'elle semblait envelopper les spectateurs. Comme le détroit de Torrès baigne
les rives de la Nouvelle-Guinée, il est difficile de ne pas faire le lien entre
ces booyas et les "lunes" du mont Wilhelmina."
Merveilles d'un passé
ignoré, témoins lumineux de technologies perdues, ces curiosités inexplicables
montrent que le présent, aussi, nous est largement inconnu. Combien de trous
perdus recèlent encore de telles énigmes ? A travers les portes du temps,
de très antiques secrets se sont transmis chez les sauvages, mais aussi chez
les fous et les sages, comme en témoigne cette curieuse histoire rapportée par
Eliphas Lévi :
Louis IX le Saint avait pour ami Jiechelé, un rabbin d'une rare érudition
qu'il admirait beaucoup. Ce Jiechelé connaissait le
secret "d'une lampe éblouissante qui s'allumait
spontanément." Il la plaçait parfois de nuit à sa fenêtre, ce qui
intriguait fort les braves gens. Louis IX pressa son docte ami de lui céder sa
lampe magique, ou de lui en confier la recette, mais au péril de sa vie le rabbin
garda son secret. Bien que taciturne, il n'était pourtant pas discret. Il avait
une façon bien à lui de décourager les importuns qui frappaient à sa porte.
"Jiechelé
conquit ainsi sa tranquillité, par la terreur qu'il répandait." A
cette époque, on brûlait des sorciers pour moins que ça ! Ce n'est pourtant pas
son clou électrique qui lui épargna le fagot du bûcher, mais la protection du
grand roi."
Bonjour,je suis actuellement en pleines recherches sur l'ankh et toutes mes recherches mènent en effet à ce que vous énoncez dans vos propos,le but de mes recherches est avant tout une recherche de soi même mais aussi de réactualiser ces anciennes technologies,tout n'est qu'histoire d'électomagnétisme d'attention combiné à la modulation des champs magnétiques par le son,si vous lisez ceci et que vous êtes tenté pour vous joindre à mes recherches dans le but de reproduire ceci,contactez moi à : secondeboite01@hotmail.fr j'aimerai constituer une équipe de personnes ayant les connaissances suffisantes pour affirmer le bon fonctionnement de ce savoir et offrir à chacun l'opportunité d'être son propre dieux.
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