Les recherches Allemandes en rapport avec l'antigravité, pendant la seconde
guerre mondiale.
En matière de recherche sur l'antigravité, il
n'y avait pas seulement les travaux sur les possibilités de la physique de
l'époque, qui ont été utilisés pour les appliquer à la réalisation de soucoupes
volantes. Les Nazis ont aussi poussé la recherche en s'appuyant sur des
technologies innovantes, liées à la certains aspects de la théorie de la
relativité et aussi de la physique nucléaire. Il s'agissait de l'un des projets
les plus ambitieux et les plus importants du Troisième Reich. Ce que l'on sait
sur ces recherches provient de divers enquêteurs. Qui se sont livrés, pour
certains pendant plusieurs années, à des recherches sur le terrain en Pologne,
en Allemagne, aux Etats-Unis dans les archives (notamment la "National
Air-Intelligence Command" de la Wright-Patterson Air Force Base). Mais
c'est en Russie que l'on trouve les documents les plus importants.
Concernant les recherches les plus sensibles
Tout ce qui concernait les différentes
recherches pour le développement de technologies de propulsion innovantes,
destinées aux armes stratégiques, était entièrement aux mains des SS. Le Schutzstaffel
E-IV, "escadron de production E-IV" ("Bureau
SS-E-IV"). Malgré l'étendue des structures engagées dans ces activités,
les noms des principaux responsables, même des généraux responsables, sont peu
connus. La majorité des archives et documents furent perdus ou détruits à cause
de l'avance Alliée en 1945. Mais la principale cause du peu d'informations
entourant ces recherches, c'est le secret absolu qui entourait ces travaux. Les
SS disposant de moyens et d'une autonomie qui leur permettaient un anonymat
assuré, concernant les recherches cruciales et stratégiques, dans lesquelles
ils étaient impliqués.
Par rapport aux autres organismes de
recherche et d'armement, comme le Heereswaffenambt, "Office militaire des
armes", ou encore l'ancienne organisation civile Reichsforschungsrat,
"Conseil de recherche du Reich", le SS-E-IV possédait plusieurs
avantages. La machine de guerre nazie, incorporait (de façon directe ou
indirecte) une grande masse de travailleurs forcés, que se soit en provenance des
camps de concentration ou des camps de travail, ou bien encore grâce au S.T.O.
(service du travail obligatoire). Sans parler des entreprises des pays occupés.
Les SS disposaient de leurs propres travailleurs, qui pouvaient être totalement
isolés du monde extérieurs. Quelle que soit leurs origines ou leurs catégories,
ces travailleurs en contact avec des projets secrets sensibles, étaient appelés
Gehemnisträger, "porteurs d'informations secrètes".
En plus la SS disposait de son propre budget.
Financièrement parlant, elle était alors totalement indépendante du système
officiel. Sans que la moindre information élémentaire concernant les projets,
soit à partager avec d'autres institutions centrales, telle que le
"Ministère du Reich pour l'armement et la production de guerre",
dirigé par Albert Speer. En fait, au lieu d'être centralisé, (comme
avec le "projet Manhattan" Américain, sur la recherche de la bombe
atomique, pour comparer avec un exemple aussi secret) le système des SS était
organisé différemment. Un groupe ou une organisation pouvait de sa propre
initiative, faire des recherches dans tel ou tel domaine, sans que les autres
n'en soit au courant. C'est par cette recherche "compartimentée", que
plusieurs projets restèrent secrets, même après la guerre.
Par exemple, la recherche sur l'antigravité
était régi par une cellule secrète au sein du SS-Fürungs-hauptampt, "QG
Opérationnel", nommée Amtsgruppe VIII ou "Amt VIII-FEP",
"Département de l'armement. Ce dernier était commandé par le
SS-Gruppenführer Otto Schwab.
La coordination globale du projet était assurée
par le SS-Gruppenführer Hans Kammler. Mais à part quelques officiers supérieurs
comme le SS-Obergruppenführer Emil Mazuw ou le SS-Brigadeführer Heinrich
Gärtner, le nom de la plupart des acteurs clés de ces projets les plus secrets
sont restés inconnus.
A part Hitler, Bormann et quelques privilégiés, seulement les participants
directs aux projets étaient au courant, personne d'autre.
Le projet "RWS-1"
Le projet d'antigravité portait le nom de
"RWS-1". Projet tellement important qu'il reçu une classification
unique, il était qualifié de Kreigsentscheidend, "primordial pour la
guerre". Il était basé en Silésie (Pologne). Ce projet était dirigé
par le professeur Walter Gerlach, nommé directeur scientifique. Il était épaulé
par les professeurs Thirring et Pascual Jordan. Le système de propulsion,
impliquant le contrôle de la gravité, avait pour base un engin que les SS
avaient baptisé "die Glocke", "la Cloche".
Ce projet, comme la plupart des autres projets
secrets, était implanté dans le "Nierderschlesein" (nom donné à la
région de basse Silésie, en Pologne) et en Tchécoslovaquie, près de
Fürstenstein bei Waldenburg. Ces deux régions montagneuses étaient jugées sûres
(d'ailleurs, c'est là que se trouvait le Quartier Général d'Hitler). Toutes les
installations et constructions étaient concentrées dans un rayon d'un peu plus
d'une dizaine de kilomètres. Celle-ci portait le nom de code de
"SS-Sonderbauvorhaben S III", "Projet de construction spéciale S
III".
L'ensemble du complexe que représentait "S
III", était une gigantesque entreprise comparable au projet Mannathan
Américain. Par les interrogatoires du ministre Albert Speer, de la production
de matières premières et des relevés de stocks, on sait que les différents
projets abrités par "S III", consommaient à eux seuls, plus d'acier
et de béton, qu'il en fallait pour construire les abris anti-aérien dans tout
le pays. Près de soixante mille personnes (y compris des prisonniers) y
participèrent.
La description et le principe de
fonctionnement de "la Cloche"
Malgré sa forme assez simple , son
fonctionnement et surtout ses effets collatéraux constatés, montrent qu'il en
est tout autrement.
Les premières descriptions étaient incomplètes,
car elles émanaient d'un personnel militaire non scientifique, qui n'avait pas
accès à toutes les données. Néanmoins, elles apportèrent des détails
intéressants.
L'élément principal de la Cloche était constitué
de deux tambours cylindriques d'environ un mètre de diamètre, monté sur le même
axe et tournant en sens inverse à très haute vitesse. Ces tambours étaient
faits d'un métal argenté non spécifié. L'axe, constitué d'un métal lourd très
dur, formait un noyau très particulier d'un diamètre de 12 à 20 cm, dont
l'extrémité inférieure était fixée au piètement massif de la Cloche. Avant
chaque essai, on introduisait dans le noyau un récipient allongé en céramique
(décrit comme ressemblant à "une bouteille vide"), entouré d'une
guange de plombs d'environ trois centimètres d'épaisseur. Ce récipient, de 1 à
1,5 mètres de long, était rempli d'une substance métallique émettant un reflet
or-violacé et ayant, à température ambiante, la consistance d'une "gelée
légèrement coagulée".
Cette substance portait le nom de code "IRR
XERUM-525", "IRR SERUM-525" et contenait, entres autres
constituants, de l'oxyde de Thorium et de Béryllium (3). Les documents
mentionnent également du "Xeron", une sorte d'amalgame au Mercure
devant inclure des isotopes lourds.
Il y avait aussi du Mercure, mais à l'état pur
cette fois, dans les cylindres rotatifs. Ce Mercure était fortement refroidi au
début et peut-être aussi au cours de chaque essai. Car il y a mention de
l'utilisation de gaze liquide, d'oxygène et d'azote, qui semble bien qu'ils
servaient au refroidissement. L'ensemble du dispositif, cylindre et noyau,
était couvert d'un boitier en céramique en forme de cloche, dont la partie
supérieur cylindrique était coiffée d'un dôme et couronné d'une sorte de
système d'attache. Le tout mesurait environ 1,5 mètres de diamètre et 2,5
mètres de haut. Un gros câble électrique était relié au dôme supérieur. L'engin
était posé sur un piètement en métal massif, d'un diamètre un peu supérieur à
la Cloche.
En comparaison, voici la photo de l'équivalent
de la cloche à notre époque, avec ce moteur réalisé par l'institut physique des
plasmas et de microfusions laser de Warsaw en Pologne (la réalisation exacte
est en fait horizontale - avec le sol à gauche - mais la photo est redressée
pour voir la similitude avec l'aspect de la cloche de la Seconde Guerre
Mondiale).
Les expérimentations de "la Cloche"
Les expérimentations furent réalisées en
Pologne sur le site minier de Wencelaus, situé non loin de la frontière
Tchèque. En Tchécoslovaquie, dans le protectorat de Bohème-Moravie, se
trouvait à Pilsen, le Centre scientifique principal du projet
"RWS-1", où était aussi étudié un projet de propulsion basée sur la
physique nucléaire.
Concernant le déroulement des expérimentations,
l'information est plus complète. L'une des meilleures sources est un ancien
employé de la Deutche Reibahn, les "Chemins de fer du Reich", nommé
Joachimm Ibrom. Qui travaillait dans le district d'Opole (Pologne), qui fût
témoin d'un dispositif spécial destiné à certains essais en terrain découvert. Celui-ci
était monté sur trois voitures de chemin de fer, marquées de grandes croix
rouges et étaient constituées d'une source d'énergie, pouvant être connectées à
des lignes à hautes tension disponibles à différents endroits de la ligne de
chemin de fer. Ces wagons étaient par la suite rayés de la liste des stocks de
la Direction des chemins de fer d'Opole, officiellement sous prétexte de
destruction par un bombardement. En fait, ils étaient détruits au lance-flammes
et les débris métalliques restants étaient découpés au chalumeau et dispersé
sur un site où l'on se débarrasser des déchets.
L'autre façon de procéder à des essais en plein
air (peut-être d'une autre nature), était d'utiliser la structure en béton, construite
sur le site de recherche de en Silésie.
La surface de la Cloche était recouverte de
tuiles en céramique (sûrement pour limiter les effets des radiations) et le sol
d'épais tapis en caoutchouc. Ceux-ci étaient détruits après chaque essai,
tandis que les tuiles étaient lavées, décontaminées, avec une sorte de saumure
rouge pâle. La Cloche était ensuite mise en place au centre de la structure par
une grue, et on entreposé l'énorme alimentation en énergie dont elle avait
besoin. La cloche était fixée par des chaines, aux piliers de la structure de
béton qui entouraient la cloche (pour éviter, du fait de la propulsion à
antigravité, que la Cloche ne s'élève et vole n'importe où). Elle était donc
retenue, avec un minimum de jeu, pour lui permettre d'évoluer plus ou moins
librement, mais en limitant ses évolutions, par la longueur des chaines, pour
plus de sécurité.
Avant le début de l'expérience, tout le
personnel devait s'éloigner à une distance de cent cinquante à deux cent
mètres. On avait distribuait des vêtements protecteurs en caoutchouc et des
casques munis d'une grande visière rouge. Il fallait un certain temps pour que
les tambours de la Cloche se mettent en mouvement; Dès qu'ils avaient atteint
la vitesse nécessaire, la première partie de l'essai pouvait commencer. Cela
consistait à connecter l'appareil à un courant de haut voltage. Par la suite,
le dispositif devait être refroidi régulièrement. Les essais étaient très
courts et ne dépassaient pas quelques minutes à chaque fois.
Dans le complexe de Reise, dans les installations souterraines, la Cloche
était aussi testée, mais à la différence que le moteur n'était pas rendu libre
de ses mouvements. L'ensemble était alors solidement fixé au sol.
A chaque essai, des
appareils photos, des caméras et des appareils de mesure étaient installées
pour étudier et mesurer les expérimentations. Et aussi des échantillons et des
objets divers et des êtres vivants (petits animaux et prisonniers humains)
étaient installé à proximité, afin de voir les effets du rayonnement et des
radiations.
Les effets collatéraux électromagnétiques et biologiques
Les effets collatéraux électromagnétiques et biologiques
Les effets secondaires de ce moteur
étaient nombreux: Un bruit "comme des abeilles dans une ruche", dès
le branchement du courant, (il est à noter que lors d'apparitions d'ovnis,
lorsque le témoins est assez prés, il entend souvent comme un bourdonnement);
Une surtension dans le réseau électrique 220 Volts (qui faisait griller les
ampoules) dans un rayon de plus de cent mètres dans les cas d'essais au niveau
du sol; une phosphorescence bleuté (démontrant une radiation ionisante) ainsi
qu'un puissant champs magnétique.
Sur les plantes, le moteur provoqué la formation
d'une substance cristalline (il est déjà arrivé lors d'apparition d'ovnis, que
l'on voit tomber du ciel ce que l'on appelle des "cheveux d'anges",
c'est comme de longs filaments fins et très fragiles). Mais aussi, cinq heures
après les essais, les plantes devenaient pâles ou carrément grise, avec une
décomposition de la chlorophylle (mais la plante continuait de vivre
normalement pendant environ une semaine, puis elle mourrait en huit à quatorze
heures, et se trouvait enrober d'une substance noire graisseuse,
ressemblant à du mazout).
Vers le 15 janvier 1945, l'équipe était parvenue
à réduire à seulement 12 à 15%, les effets secondaires sur les échantillons. Et
de 2 à 3% le 25 mars.
Plusieurs prisonniers du camps de
concentration de Gross-Rosen furent utilisés, avec un "Kommando"
assigné à différentes tâches liées aux expériences. Mais aussi comme cobayes,
pour voir les effets du moteur sur les humains. Les effets sur les individus
étaient divers, parmi les effets à long terme, on a signalé: maux de tête, goût
métallique dans la bouche, troubles du sommeil, de l'équilibre, des crampes et
troubles de la mémoire. Il fallut beaucoup de temps pour limiter et minimiser
au maximum ces effets indésirables. Mais il y eu des effets qui provoquèrent
des décès parmi des scientifiques. Donc, la première chose fût de supprimer
totalement ces effets.
Mais les effets les plus impressionnants seront
constatés sur les essais dans la chambre d'essai souterraine. Les personnes
montraient une multitude de lésions: désintégration de la structure tissulaire,
gélification, stratification de liquide (dont le sang). Durant la première
phase des essais en mai-juin 1944, ces effets causèrent la mort de cinq, sur
les sept scientifiques participants aux expérimentations. Le principal objectif
des premiers essais, sera de limiter et de supprimer ces effets dangereux et
indésirables.
Il y avait aussi le département de recherche et
développement du Jägerstad (un personnel de la chasse qui collaborait de façon
réduite avec la Luftwaffe) et une station expérimentale destinée aux essais de
contrôles des nouveaux engins volants à propulsion innovante, et de leurs
effets sur les humains (des enfants malades mentaux y avaient été employé). Ces
études étaient dirigées par le professeur Hubertus Strughold.
Les théories de la physique sur lesquelles
s'appui le principe de "la Cloche"
La base théorique de la physique, liée aux phénomènes décrits plus haut
faisait appel à des principes qui n'ont pas encore étaient réellement approfondis
de nos jours.
Mais deux notions primordiales se dégagent:
celle de la "compression de vortex" et celle de la "séparation
des champs magnétique". Même si la base de recherche au niveau du savoir
de la physique de l'époque, la recherche Allemande, à en fait prit une approche
qui a été délaissée et qui relie la gravité à certains effets quantiques ainsi
qu’aux spins (d'après les travaux de Gerlach, Thirring et Jordan). Cette base
de recherche leur aurait été suffisante pour aborder un système de propulsion à
antigravité, qui n'était ni celui des soucoupes de types Vril ou Haunebu, ni
celui de Pilsen, lié à la recherche nucléaire pure (qui était un autre projet,
différent de celui de "la Cloche").
D'après les connaissances actuelles, il y aurait peut-être un rapport avec
les "solitons gravitationnels". Pour en savoir plus, il faut attendre
que des scientifiques et des physiciens se penchent sur ces théories et
publient leurs résultats.
La cloche et le voyage dans le temps
En plus des travaux sur l’antigravité , beaucoup
de chercheurs travaillants sur la cloche se sont penchés sur la notion d’espace
temps et sur la possibilité d’y voyager , de pouvoir se téléporter a une autre
époque ou un autre lieu dans l’univers.
Lorsque les forces alliées arrivèrent en
Allemagne, le projet « Die
Glocke » et son commandant Hans Kammler avaient soudainement disparu.
Quant aux autres membres du projet, ils furent exécutés.
Curieusement, en 1965, une objet similaire à la
cloche a été aperçu a Kecksburg en Pennsylvanie. Serait-ce
les nazi qui se seraient écrasé 20ans plus tard dans cette foret
américaine ?
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