D'où venons-nous ? Des
cavernes ou du ciel ? Descendons-nous du singe ou des
géants ? Pourquoi les OVNIs viendraient-ils d'ailleurs ? La civilisation
Atlante nous aurait-elle enfin transmis ses secrets ? Sommes-nous sur le
point de retrouver la technologie des dieux ?
Avec un bel ensemble, plusieurs centaines
de traditions antiques affirment que nous avons été créés. Si notre espèce a
bien l'ancienneté
qu'on lui donne aujourd'hui, la création de l'homme est intervenue il y a si longtemps
qu'il paraît douteux que le souvenir s'en soit transmis. Donc toutes ces
traditions antiques parlent d'un évènement plus récent. Donc Adam n'était
pas le premier homme. Sa création n'était qu'une re-création. Procréation
serait le mot juste. Procréation scientifique, mais oui, nous
sommes des OGM.
L'espèce humaine actuelle est un organisme
génétiquement modifié. Les récits mythologiques ne laissent pas planer le doute
à ce sujet : l'homme actuel a bien été fabriqué par une civilisation
avancée. Mais pourquoi faut-il que cette civilisation avancée vienne
d'ailleurs? La Genèse, le livre d'Enoch et l'épopée de Gilgamesh affirment que
nos créateurs étaient "comme nous" et qu'ils sont venus du
ciel. "Swing low, sweet chariot"
Descend plus bas, mon beau carrosse, qui vient pour m'emporter
là-haut, chante le negro-spiritual tiré de la Bible.
D'accord : nos créateurs avaient des engins
volants. Et alors ? Le fait qu'ils volent ne prouve pas qu'ils soient tous des
extra-terrestres. Le livre d'Enoch les nomme Veilleurs ou
Gardiens parce qu'ils observaient sans fin les étoiles dans leurs tubes à
cristaux, pour en tirer des prédictions. Dans le Mahabharata, on apprend que
les Ramas possédaient des avions et des vaisseaux spatiaux. A cette
époque, apparemment, des hommes savaient voler dans
le ciel et dans l'espace. Dont acte. Et si nos créateurs
extra-terrestres étaient des terrestres… extras ?
Des terrestres hyper-doués, jouissant d'un
développement inimaginable pour les autres hommes. Et qui semblaient des géants
aux yeux des nains qu'ils étaient. Pourquoi pas ? De nos jours encore,
d'énormes disparités culturelles subsistent entre les différentes lignées
humaines. Et avant la télé planétaire, un Papou aurait pu prendre un astronaute
pour un dieu. Dans le lointain passé de notre espèce, certaines lignées ont pu
atteindre un très haut degré de développement.
Assez en tout cas pour partir dans les
étoiles, et revenir régulièrement sur terre pour y faire des manips génétiques.
Et fabriquer, pourquoi pas, une véritable race de
géants. Car les fossiles existent. Ils sont même tellement
nombreux que les scientifiques ont de plus en plus de mal à les
faire passer pour des singularités. Avec les extraordinaires perspectives
d'une humanité datant des dinosaures, ou d'encore avant, des
centaines de milliers de civilisations ont eu le loisir de se développer à
l'envi, et de se détruire aussi.
Quand on considère le degré de
développement scientifique et technologique que nous avons atteint en à peine
trois mille ans, on imaginera sans peine la somme des connaissances accumulées
par une civilisation de cent ou deux cent mille ans d'existence. Assez pour
maîtriser des sciences dont nous ignorons tout, la gravitologie, la
fulgurologie, le déplacement ultraluminique ou téléportation, et l'infra-acoustique, le
fabuleux usage des gammes infrasoniques.
On pourrait poursuivre encore longtemps
l'énumération des sciences atlantes qui se sont perdues. Ignatius Donnelly
pensait que leur civilisation avait duré plus de 150.000 ans : trente fois plus
longtemps que la nôtre ! Tout le temps d'amasser un prodigieux savoir. Ainsi,
les Atlantes utilisaient certaines propriétés des métaux que notre civilisation
a méconnus. Pour propulser leurs navires, ils avaient des moteurs soniques mus
par répulsion polymétallique.
Comment fonctionne ce type de moteur ? Sur le
principe des répulsions et des attirances naturelles que certains métaux
exercent sur certaines substances.
Le moteur atlante se compose d'une boule polymétallique,
c'est à dire comportant des tranches de différents métaux hydrophiles et
hydrophobes, réparties dans la masse de la boule comme les zones colorées dans
une bille d'écolier. Ces métaux interagissent avec différents fluides qui les
entourent. Le démarreur de ce moteur est un son particulier qui a la vertu de
mettre en vibration la boule polymétallique. Elle tourne alors de plus en plus
vite, en entraînant différentes machines.
Ce son est sans doute un fa dièse 432
modulé avec un instrumentenglobant ou à l'aide de la voix
humaine. Il faut essayer, essayer encore... Je travaille dur - avec quelques
amis chercheurs de lunes - sur cette piste prometteuse...
La haute antiquité connaît d'autres
utilisations des propriétés des métaux. Pour propulser leurs engins
volants ou vimanas, les anciens Ramas utilisaient des moteurs à
mercure. Ce métal, quand il est chauffé, a la propriété de faire
voyager, dit le Mahabharata. Le nom ancien du mercure est vif-argent ;
est-ce une allusion à cette propriété oubliée ? Il y a aussi Mercure, le
messager des dieux, avec des ailes aux talons, pour voler jusqu'au monde des
dieux, au sommet du mont Olympe.
Il faut user ici d'un peu de minutie pour
décoder ces anciens mythes. Le vif-argent, chauffé, fait voyager. Du moins les
anciens l'affirment-ils. Pourquoi ne pas les croire ? Il suffit d'essayer...
Notre civilisation n'ignore pas les
propriétés particulières de certains des métaux qui entraient dans la
composition des moteurs atlantes. L'imprimerie offset, entre autre, utilise
l'hydrophilie et l'hydrophobie de métaux différents pour positionner l'encre
sur la surface du cylindre d'impression. Mais nos inventeurs n'ont pas poussé
plus avant leurs recherches en ce domaine. Notre civilisation ne sait plus que
les métaux ont une âme. Ils semblent inertes, on les croit inanimés, et
pourtant, vil ou précieux, dur ou mou, hydrophile ou hydrophobe, conducteur ou
non, oxydable ou pas, chaque métal a son âme propre, qui fait de lui un être
unique.
Non, le moteur polymétallique des Atlantes n'est
pas de la science-fiction. De nombreux moteurs conçus plus ou moins sur le même
principe ont été imaginés depuis deux siècles. L'expérience la plus prometteuse
a été développée au début du siècle dernier par un ingénieur anglo-saxon du nom
de Keely. Il a mis au point une machine qu'il nomme un moteur sonique, car le
démarreur est un son particulier : c'est une fréquence
sonore précise qui enclenche le mouvement de la sphère polymétallique.
En présence de témoins crédibles, Keely s'est
livré à un certain nombre de démonstrations concluantes. Des scientifiques ont
pu constater que son moteur ne requérait aucune énergie pour fonctionner.
Aucune énergie connue, pourrait-on dire.
Car Keely lui-même parlait des "vapeurs éthériques" formant un bain
d'énergie autour de son moteur. Ces vapeurs éthériques ne seraient-elles pas la
fameuse géo-énergie qu'utilisaient les anciens Atlantes ? On ne le
saura sans doute jamais. Car le vrai problème avec le moteur de Keely, c'est
que personne d'autre n'a jamais réussi à le faire tourner. Lui seul y est
parvenu. Et il semble bien qu'il ait emporté son secret dans la tombe.
Quant aux recherches contemporaines sur le
son, elles se sont limitées au domaine de l'audible par l'homme, principalement
pour faire progresser les techniques de reproduction du son, en faisant
l'impasse sur les innombrables propriétés des ultra et des infra-sons, ou de
certaines notes et de leur impact sur la gravité. L'épisode des trompettes qui
font écrouler les murailles de Jéricho, dans la Bible, sont une belle
illustration des propriétés physiques du son et plus particulièrement du fa
dièse.
Certains chercheurs ont noté que le Ré,
sonné par un cuivre, leur faisait plus d'effet. C'est vrai, mais tout dépend de
ce qu'on cherche : s'envoyer en l'air n'était pas le seul but de la
gravitologie.
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