Comme
nous l’avons vu, certaines épopées hindoues comme le Ramayana, le Mahabharata
et le Drona Parva font clairement allusion à des engins volants et à des
guerres impliquant des armes sophistiquées (« grosses boules de feu »
pouvant détruire une cité entière, « lances volantes » pouvant anéantir des «
cités pleines de forts », etc.).
David
Childress note que l’empire de Rama et l’Atlantide étaient au faîte de leur
puissance quand la guerre éclata, en raison, semble-t-il, de la tentative faite
par l’Atlantide pour subjuguer Rama. Il observe que l’empire de Rama, décrit
par le Mahabharata et le Ramayana, était apparemment contemporain des grandes
cultures occidentales atlante et osirienne.
-
L’Atlantide semble avoir existé au milieu de l’Atlantique et avoir été une
civilisation de haute technologie.
-
La civilisation osirienne était géographiquement localisée dans le bassin
méditerranéen et l’Afrique du nord. Qualifiée aussi de civilisation égyptienne
prédynastique, elle aurait été ravagée par les inondations au moment où s’abîma
l’Atlantide et où la Méditerranée commença à se remplir d’eau.
-
L’empire de Rama se serait évanoui au cours du millénaire qui suivit la
destruction du continent atlante (ou - ajouterai-je - de ce qu’il en restait,
diverses sources faisant état de plusieurs destructions séparées dans le
temps). Cet empire se serait étendu en Afghanistan et en Iran. Il allait
probablement jusqu’à l’Indonésie, l’Asie du sud-est et le Pacifique.
L’empire
de Rama avait été fondé par les Nagas (ou Naacals), arrivés en Inde en
provenance de Birmanie et anciennement originaires, selon le colonel James
Churchward, de ‘‘la patrie de l’est’’. Ils s’installèrent sur le plateau du
Deccan, en Inde du nord, et établirent leur capitale sur l’emplacement de
l’actuelle Nagpour. Leur empire semble s’être étendu ensuite sur toute l’Inde
du nord et avoir englobé les cités d’Harappa, Mohenjo-Daro, Kot Diji (Pakistan
actuel), Lothal, Kalibanga, Mathoura, et peut-être d’autres cités telles que
Bénarès, Ayodhya et Patalipoutra. Ces cités étaient dirigées par des ‘‘grands
professeurs’’ ou ‘‘maîtres’’ constituant
l’aristocratie bienveillante de la civilisation de Rama. On les appelle
aujourd’hui les ‘‘rois-prêtres’’ de la civilisation de l’Indus, et on a
retrouvé un certain nombre de statues de ces ‘‘dieux’’. Ils auraient été dotés
de pouvoirs psychiques extraordinaires…
On
pense que la cité d’Ayodhya (mentionnée dans le Ramayana) pourrait être la
petite ville d’Ayodhya qui se trouve en Inde du nord, et où chaque année, à
l’occasion d’un festival hindou, on promène une réplique de vimana. Selon S. N.
Pande (1998), cependant, une autre localisation – l’Afghanistan – est possible,
car l’actuelle ville d’Ayodhya ne date que d’environ 800 av. J.-C. Selon lui,
la première Ayodhya fut reconstruite sous le nom de Kushak, qui faisait
référence à la tribu de Kashi, puis à Kusha, fils de Rama. C’est ainsi
qu’Ayodhya et Kashi devinrent synonymes.
A
l’origine, les populations du pourtour de Mu – le continent disparu de l’océan
Pacifique MALAYSIA – se seraient divisées, avec le temps, en 2 groupes, et
auraient émigré, l’un vers l’Atlantide, l’autre vers l’Inde (empire de Rama).
Les premiers étaient les tenants du temporel, alors que les autres étaient les
tenants du spirituel.
Il
semble que l’Atlantide ait voulu imposer sa suprématie à l’empire de Rama. Il
en résultat les guerres atroces rapportées par les anciennes épopées indiennes…
Le
Mahabharata et le Drona Parva mentionnent, parmi les armes utilisées, de
grosses boules de feu pouvant détruire une cité entière, le « regard de Kapila
» (qui, en quelques secondes, réduisit en cendres 50.000 hommes), des lances
volantes (capables d’anéantir des « cités pleines de forts »).
Dans
un premier temps, les Rois-Prêtres de l’empire de Rama auraient battu les
Atlantes. Selon David Childress, qui se réfère à une source « ésotérique »,
c’est avec des moyens « psychiques » que l’armée atlante aurait été mise en
déroute. Le Roi-Prêtre, ayant levé les bras au ciel, aurait fait appel à une «
technique mentale » (connue des seuls initiés) qui aurait eu pour conséquence
la mort du général et des officiers atlantes. Les forces atlantes s’enfuirent
dans leurs vaisseaux aériens. Dans la cité assiégée, aucun individu n’avait
péri.
La
suite de l’histoire est contée par les épopées indiennes. L’Atlantide semble
avoir eu recours à son arme la plus destructrice, qui s’apparente à une arme
atomique si l’on se réfère à certains vers du Mahabharata. On y parle d’un «
projectile unique » chargé « de toute la puissance de l’univers », d’une «
colonne incandescente de fumée et de flamme, brillante comme mille soleils ».
Cette « foudre de fer » réduisit en cendres « la race entière des Vrishnis et
des Andhakas ». Les cadavres brûlés furent méconnaissables, les cheveux et les
ongles tombèrent, les poteries se cassèrent sans cause apparente, et les
oiseaux blanchirent. Au bout de quelques heures, toute la nourriture fut
infectée, et pour échapper à ce feu, les soldats durent se jeter dans des
ruisseaux pour se laver, eux et leur équipement. Ainsi que le note David
Childress, nous avons ici, très précisément décrits, les effets d’une explosion
atomique. La radioactivité provoque, en effet, la chute des cheveux et des
ongles, contre laquelle l’immersion dans l’eau, même si elle ne guérit pas, est
la seule échappatoire.
On
notera que, curieusement, l’ancienne littérature sanskrite était familière à J.
Robert Oppenheimer, le ‘‘père de la bombe atomique’’. Au cours d’une interview
donnée après le premier essai atomique, il cita la Bhagavad Gita : ‘‘Je suis
devenu la Mort, le Destructeur des Mondes ; nous avons tous dû ressentir
cela’’. Après le premier test nucléaire d’Alamogordo, on lui demanda à
l’Université de Rochester si c’était la première bombe atomique qui venait
d’exploser, et il répondit : « Dans l’histoire moderne, oui’’ ».
On
a découvert, en Inde, des éléments qui tendent à prouver que certaines cités
furent détruites par des explosions atomiques. Lors des fouilles de
Mohenjo-Daro et Harappa, on découvrit des squelettes affalés dans les rues,
sans sépulture, ces squelettes étant âgés de plusieurs milliers d’années. Or,
ces squelettes sont parmi les plus radioactifs jamais trouvés, à égalité avec
ceux de Nagasaki et d’Hiroshima. Des chercheurs russes ont notamment découvert
un squelette présentant un taux de radioactivité 50 fois supérieur à la
normale. L’archéologue russe A. Gorbovsky (« Riddles of Ancient History »,
1966) a évoqué le haut niveau d’irradiation présenté par les squelettes. Des
milliers d’objets fondus – baptisés ‘‘pierres noires’’ – ont également été
trouvés à Mohenjo-Daro, qui semblent être des fragments de récipients en terre
soudés par une chaleur extrême.
D’autres
cités découvertes dans le nord de l’Inde présentent des signes d’explosions de
grande ampleur. L’une de ces cités, située entre le Gange et les collines de
Rajmahal, semble avoir été soumise à une chaleur intense. D’énormes masses de
murailles et de fondations se sont fondues ensemble, littéralement vitrifiées.
Comme il n’existe pas le moindre signe d’éruption volcanique à Mohenjo-Daro ni
dans les autres cités, la seule explication possible d’une chaleur capable de
fondre des récipients de terre est une explosion atomique ou quelque autre arme
inconnue. Ces cités ont subi une dévastation totale.
Les
zones périphériques d’Harappa et de Mohenjo-Daro sont de véritables déserts, «
même si une agriculture limitée tend aujourd’hui à se développer à leur
voisinage ».
Au
Cachemire, les ruines du temple de Parshapour (en bordure de Srinagar)
témoignent d’une totale destruction, comme si une explosion avait soufflé les
énormes blocs de pierre dispersés sur une vaste superficie. David Chlidress se
demande s’il s’agit là du résultat des armes utilisées lors des batailles
décrites par le Mahabharata. Il y a aussi, à 400 km au nord-est de Bombay, le
cratère géant, quasi circulaire, de Lonar, lequel mesure 2154 m de diamètre et
est âgé d’au moins 50.000 ans. Le site et ses alentours sont vierges de toute
trace de météorite, alors qu’il s’agit du seul cratère d’« impact » en basalte
que l’on connaisse. Ce site présente des marques de choc violent (une pression
au moins égale à 600.000 atmosphères) et de chaleur intense et soudaine (ce
dont font foi les sphérules de verre basaltique). Pat Franck, consultant
américain en sciences spatiales, a développé la théorie selon laquelle certains
grands cratères terrestres seraient en réalité des vestiges d’anciennes
explosions nucléaires…
David
Childress fait un parallèle entre les guerres atomiques anciennes de l’Asie du
sud et les menaces mutuelles que se sont lancées, à notre époque, l’Inde et le
Pakistan. Il note à ce propos que l’Inde moderne est fière de sa force
nucléaire et la compare à la ‘‘flèche de Rama’’. De son côté, le Pakistan ne
rêve que d’envoyer ses bombes sur l’Inde. Ironie de l’histoire, le Cachemire,
site probable d’une guerre atomique antérieure, est au centre de ce conflit.
David
Childress note que selon la littérature ésotérique, l’Atlantide aurait
également voulu soumettre une civilisation établie dans le désert de Gobi,
alors une plaine fertile. Ils auraient tiré vers le centre de la Terre à l’aide
d’un « armement à ondes scalaires » et auraient ainsi anéanti leurs ennemis, «
se sabordant peut-être eux-mêmes par la même occasion ! ». (14) Signalons
cependant que, d’après certaines sources, l’Atlantide a été en conflit avec la
Lémurie. On peut par exemple trouver ce scénario dans les messages « canalisés
» par Aurelia Louise Jones et Dianne Robbins. (15) Or, selon certaines sources
(H. P. Blavatsky, etc.), ces 2 civilisations n’étaient pas contemporaines,
l’Atlantide ayant succédé à la Lémurie. Faut-il supposer, pour essayer de
résoudre le caractère contradictoire de ces informations, qu’il y a eu, dans un
lointain passé, une destruction d’une grande partie du continent lémurien, une
partie ayant néanmoins subsisté jusqu’à une date relativement récente ?
Rama
airlines
Rama
airlines, ainsi pourrait-on nommer la puissante flotte aérienne de ce riche
empire préhistorique, règnant sur l'Inde entière, et qu'on appelle l'empire de Rama.
L'empire
de Rama est abondamment mentionné dans la littérature sacrée de l'Inde
ancienne. C'était une civilisation très développée, au moins autant que la
nôtre, sinon plus. A son apogée, vers -12.000, l'empire possédait sept grandes
capitales appelées les sept cités Rishis, localisées en Inde du nord. Le
confort et le luxe y régnaient partout. Nourritures exquises, volières et
zoos exotiques, parcs fleuris, les descriptions antiques évoquent des cités
modernes. Mieux encore : les avions des
Ramas parcouraient le monde.
Ils
allaient même sur la lune ou les
étoiles. Pour voler d'une cité à l'autre, les Ramas avaient des avions individuels
dits Vimanas ou bien des avions de ligne dits Pushpakas. Selon
un texte jaïn de -850, les Pushpakas étaient des "chariots
aériens utilisés pour le transport normal et pouvaient emporter beaucoup de
personnes d'une capitale à une autre."
Le
spectacle des cités rishis avait vraiment de quoi
surprendre. Outre les palais et les grandes demeures pourvues de canalisations
sophistiquées, eau chaude et eau froide courantes, on y découvre aussi des usines, des
centrales à géo-énergie, des capteurs de foudre, avec
des petites maisons identiques, bien alignées, pour les
travailleurs. Stupéfiante modernité des mondes d'avant le
grand déluge !
LE PONT D'ADAM
Le
Pont d'Adam, Pont de Râma ou Setubandha, est une chaîne des bancs de sable
s'étendant de l'île de Mannar, près de la côte de nord-ouest de Sri Lanka à
l'île de Pamban où se trouve la ville de Râmeshvaram, sur la côte de
Coromandel, dans le Tamil Nadu, et situé entre le golfe de Manaar au sud-ouest
et le détroit de Palk au nord-est. Long d'une trentaine de kilomètres, il
occasionne une gêne certaine pour la navigation. Découvert grâce à d’anciens
textes des Indes, ce pont qui est maintenant immergé à 90 mètres sous le niveau
de la mer, mesure plus de 30 kilomètres de longueur. Le pont d'Adam est aussi
nommé pont de Râma car il est
dit dans le Râmâyana qu'il a été
construit pour permettre à Râma d'atteindre l'île de Lanka où son épouse Sita
était prisonnière du roi démon Râvana.
La
courbure unique du pont et sa composition par l'âge révèle qu'il a été
construit par l'homme. Tant la légende que les études archéologiques montrent que
les premiers signes d'habitants humains à Sri Lanka remontent à un âge
primitif, il y a environ 1 700 00 années et l’âge du pont est pratiquement
équivalent
.
Cette
information est un aspect crucial pour pénétrer dans la mystérieuse légende
appelée Ramayana .Que l'on suppose avoir eu lieu au Treta Yuga (1.700.000 ans).
Dans
l'épopée de Ramayana il est fait mention d'un pont construit entre Rameshvaram
(dans l'Inde du Sud) et la côte de Shri Lanka sous la supervision d'un
personnage dynamique et invincible appelé Rama, supposé être l'incarnation du
Suprême. Cette information peut ne pas être de grande importance pour les
archéologues qui s'intéressent à explorer les origines de l'homme, mais il est
certain qu'elle ouvrira les portes spirituelles des personnes du mondes qui en
sont venues à connaître une histoire ancienne liée à la mythologie indienne.
Des
indices géologiques sembleraient montrer que, par le passé, le pont d'Adam ait
été un isthme continu. Des chroniques indiqueraient qu'une brèche aurait été
ouverte dans le pont, en 1480, par une violente tempête.En 2002, sur les
suggestions d'un chercheur des vestiges du passé, la NASA produisit une
photographie satellite prise entre les Indes et le Sri Lanka. Celle-ci laisse
apercevoir sous les eaux entre la pointe sud des Indes et le Sri Lanka une
structure chevauchant les cols de la chaîne de montagnes sous-marines. Les
images satellitaires de la NASA montrant la matérialité de l'isthme eurent un
si grand retentissement en Inde que son porte parole fit la déclaration
suivante : « les images [... ] peuvent être nôtres, mais leur interprétation
n'est certainement pas la nôtre [... ] des images de télédétection ou des
photographies depuis l'orbite ne peuvent pas fournir des informations directes
au sujet de l'origine ou de l'âge d'un chapelet 'îles, et n'indiquent
certainement pas si des humains ont été impliqués dans la production de cette
structure. »
Sources :
http://www.mondenouveau.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=55
http://eden-saga.com/fr/inde-antique-vimana-pushpaka-vailixi-saubha-ovni-rama-airlines.html
http://secretebase.free.fr/civilisations/ruines/oceanindien/oceanindien.htm
Sources :
http://www.mondenouveau.fr/index.php?option=com_content&task=view&id=55
http://eden-saga.com/fr/inde-antique-vimana-pushpaka-vailixi-saubha-ovni-rama-airlines.html
http://secretebase.free.fr/civilisations/ruines/oceanindien/oceanindien.htm
Bonjour, je suis très contente de lire ce document. Je suis Indienne brahmine de 67 ans.J'ai quittée l'Inde à l'age de 22 ans.Mais j'ai grandis avec une culture religieuse très traditionnele. Mes parents n'avais pas beaucoup étudié, mais nous obligé d'assister toutes les rites traditionnels, des lectures collectives des nos livres Mahabharata, Ramayana, Bhagwat Gita. Depuis nous voyons le monde autrement.Pour moi Le monde étais comme un seule pays, avec des royaums qui se sont divisé ensuite avec des guerres ou par les catastrophes naturels. Au debut en Mahabharata, on parle meme, comment instantanément avec une seule goutte du seng, on produisaient 1000 hommes pour renforcer les guerres.(Annunaki ont fait des clonages) Aussi, les rois mariaient leur filles en invitant les princes de ces royaumes qui devaient faire preves de capacités d'intelligence. Certaines Descriptions de guerre sont comme vous avez decrit ici. Ce que j'aprecie dans ce contenue, c'est que vous avez fait une liaison entre differentes civilisations. Raison pour que, des personnes qui lisent ceci comprennent et montre l'interets, doit avoir quelques notions de ses civilisations, d'ou ils sont des acteurs de la continuité de ces civilisations. Raison pour la quelle, exercée ou pratiquer une réligion est très importent pour aquérire ses connaisences par bouche à l'oreille, et par des histoires mythiques racontés par leur ainnées qui sont enfaites les realités des existences de l'homme pour n'est pas perdre nos traces. Nous devons respecter les religions, des musées qui nous témoignes avec des preuves, d'ailleurs pour pouvoir garder les traces de nos origines. Sans pour autant, n'est pas faire la guerre, pour preserver jusqu'ici, ce que nous avons déjà découvert.Parce que, à la fin de compte, nous sommes tous de la meme origine.
RépondreSupprimerBonjour, je suis très contente de lire ce document. Je suis Indienne brahmine de 67 ans.J'ai quittée l'Inde à l'age de 22 ans.Mais j'ai grandis avec une culture religieuse très traditionnele. Mes parents n'avais pas beaucoup étudié, mais nous obligé d'assister toutes les rites traditionnels, des lectures collectives des nos livres Mahabharata, Ramayana, Bhagwat Gita. Depuis nous voyons le monde autrement.Pour moi Le monde étais comme un seule pays, avec des royaums qui se sont divisé ensuite avec des guerres ou par les catastrophes naturels. Au debut en Mahabharata, on parle meme, comment instantanément avec une seule goutte du seng, on produisaient 1000 hommes pour renforcer les guerres.(Annunaki ont fait des clonages) Aussi, les rois mariaient leur filles en invitant les princes de ces royaumes qui devaient faire preves de capacités d'intelligence. Certaines Descriptions de guerre sont comme vous avez decrit ici. Ce que j'aprecie dans ce contenue, c'est que vous avez fait une liaison entre differentes civilisations. Raison pour que, des personnes qui lisent ceci comprennent et montre l'interets, doit avoir quelques notions de ses civilisations, d'ou ils sont des acteurs de la continuité de ces civilisations. Raison pour la quelle, exercée ou pratiquer une réligion est très importent pour aquérire ses connaisences par bouche à l'oreille, et par des histoires mythiques racontés par leur ainnées qui sont enfaites les realités des existences de l'homme pour n'est pas perdre nos traces. Nous devons respecter les religions, des musées qui nous témoignes avec des preuves, d'ailleurs pour pouvoir garder les traces de nos origines. Sans pour autant, n'est pas faire la guerre, pour preserver jusqu'ici, ce que nous avons déjà découvert.Parce que, à la fin de compte, nous sommes tous de la meme origine.
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