Parmi les trésors de l'encyclopédie
assyrienne, se déroule la saga sanglante d'une famille de serpents
volants qui se prétendent les vrais propriétaires de la terre et de tout ce
qui y vit. Ils se nomment les Annunaki.
Les textes sumériens décrivent
les Anounna comme des « dieux » créateurs et rédempteurs. Les textes
gnostiques, bien plus tardifs, décrivent aussi des entités
qui se prennent pour des dieux créateurs de l'humanité et son environnement.
D'après Anton Parks, "les dieux mésopotamiens nommés Anounna ou
Annunaki semblent totalement déconnectés de la source universelle à laquelle de
nombreuses traditions font référence, comme celle des Amérindiens.
Les Anounna formaient une communauté
divine en avance sur le reste de la planète. Tellement en avance que leur
science était leur religion. Certains membres de cette communauté possédaient la maîtrise
des gènes et du clonage, dénommé "modelage" dans les textes
égyptiens, bibliques et gnostiques. Lorsqu'ils se sont imposés ici-bas, les Anounna
ont dû faire face à des groupes plus anciens, comme les royaux Kingu et les
communautés planificatrices qui ensemençaient la vie sur terre."
La race royale des Kingu pourrait bien
être les dieux que les anciens Grecs adoraient sous le nom d'Olympiens. Quant aux
communautés planificatrices, on y aura reconnu les Elohim de la
Bible, ou les dieux d'Amérique. Les Anounna ont pris le pas sur
ces clans très puissants. Quand ils sont devenus les maîtres de cette planète,
ça leur a tourné la tête. Alors ils ont commencé leurs magouilles génétiques
pour faire de nous une race d'esclaves. Précisons qu'il s'agit de la vision de
Parks.
D'autres auteurs ne font pas une si grande
différence entre les Olympiens, les Elohim et les Anounna. Ils se valent bien.
Humains, trop humains, quoi qu'ils en disent. Des êtres certes puissants, voire
écrasants, mais qui ne sont pas meilleurs que nous. Ce qui d'ailleurs n'a rien
d'étonnant puisqu'ils nous ont créés à leur image. Leurs défauts sont les
nôtres. Tels pères, tels fils. Parfois même certains de ces pseudo-dieux manquent
singulièrement d'humanité. Certains des hommes ne manquent-ils pas de divinité
?
Pas tous, heureusement…
« Très peu de personnes s'intéressant aux tablettes
sumériennes et à leur chronologie se sont aventurées à évoquer les tablettes de
Kharsag, car elles comportent des éléments troublants qui bouleversent les
différentes thèses historiques échafaudées jusqu'à présent » poursuit
l'alléchant Anton Parks. Il est vrai que ces tablettes donnent la version originale
de la Genèse, avec une écrasante antériorité, puisque la Bible n'a
guère plus de 3000 ans, et sans doute beaucoup moins...
...tandis que les tablettes de Kharsag ont
plus de 5000 ans, et se réfèrent à des événements très antérieurs. Ce qui les classe
en tête du peloton des documents les plus anciens actuellement connus. Ces
textes nous disent que les Anounna du Ki s'étaient
regroupés sur une montagne, dans une cité nommé Kharsag, qui signifie le
sommet fortifié, leur Q.G. Dans l'enceinte de Kharsag il y avait un jardin que
les tablettes nomment Eden.
Ninmah/Inanna est la grande prêtresse de
Nalulkára, et le bras droit de Tiamata, la déesse-mère. Elle est ,avec An, la
co-créatrice des Anounna. "Ninmah parla fort et clair
: "Mon plan va nous réussir à merveille, dit-elle. Nous installerons
un piège à eau doté d'un vaste réservoir. Gorgée d'eau, la terre sera généreuse
et la nourriture abondante. Cet Eden parfait captera l'eau du ciel et la
distribuera en amont par deux fleuves en cascades. Au sommet du rocher, il nous
faudra bâtir un temple au tonnerre."
Elle imaginait déjà ses vastes entrepôts, sa
maison avec son jardin en terrasses. Une maison bénie
du ciel, située comme elle le serait en haut d'un pic. Elle parla des
terrasses d'irrigation qu'il faudrait aménager, de la maison des naissances
qu'il faudrait bâtir en hauteur, avec une salle de repos pour les mères. Elle
ordonna de créer ce jardin irrigué, et d'y planter de grands
arbres. Elle demanda une analyse du sol pour déterminer les cultures à y
faire. »
Comme on le voit, c'est une femme qui décide. On
a donc affaire à un très ancien matriarcat.
Dans les Andes, les
"dieux d'avant" ont fait comme elle : ils ont bâti des temples
au tonnerre sur toute la chaîne des Andes ; sur les flancs des montagnes ils ont
aménagées d'innombrables terrasses, des andenes en espagnol, d'où
les Andes. Ce n'est certes pas la tardive civilisation Inca qui les a
faites : les Incas se sont contentés de les restaurer. Comme les Anounna, les Viracocha cherchaient
une situation élevée, pour pouvoir y déclencher les orages qui
leur délivreraient l'eau du ciel, la précieuse eau de foudre.
Et ils ne sont pas les seuls. Les Olympiens sont
sur l'Olympe, les Elohim sur le Sinaï et Shiva est à
4000m d'altitude sur l'Himalaya, dans sa fabuleuse cité d'Amarnath dont les
somptueux vestiges ornent encore les falaises. Avec une troublante constance,
les dieux d'avant ont développé aux quatre coins du monde des civilisations
des cimes doublées de civilisations hydrauliques. Le savoir-faire de cette époque
reculée en terme d'ingénierie hydraulique s'est graduellement perdu par la
suite.
L'histoire de l'hydraulique antique dénote
un constant déclin. Les aqueducs des Romains sont beaucoup moins performants et
beaucoup plus coûteux que les conduites forcées de leurs prédécesseurs les
Etrusques, qui sont moins efficaces que celles de leurs devanciers les
Sumériens, elles-mêmes moins abouties que celles de leur devanciers les Rama. A part
ça, les historiens continuent de croire dur comme fer au progrès. Dur
comme l'âge de fer, pourrait-on mieux dire.
On apprend ensuite que les Anounna
vivaient dans des maisons lumineuses. S'éclairaient-ils à l'électricité ?
Faut-il croire que les éclairs les illuminaient ? "Les Anounna,
dans leur demeures de lumière à l'intérieur de leur grand domaine,
mangeaient et buvaient abondamment, mais leur félicité n'était pas complète.
Malgré l'étendue du jardin d'Eden, la nourriture n'y avait pas l'abondance
requise. Aussi décidèrent-ils d'élever l'espèce humaine dans un autre
endroit."
Elever l'espèce humaine, comme des animaux
domestiques ! Ce qui est vraiment le cas : "Alors
le troupeau des hommes fut établi au pied des monts Taurus, dans la vaste
plaine bien irriguée, la grande Edin, où ils pourraient cultiver
le sol à loisir." Et voici comment : "Pour irriguer la
vaste Edin, pour qu'une eau abondante se répande et arrose les champs, les
dieux mirent à la disposition des Hommes des pioches afin de creuser canaux et
rigoles, des bêches, paniers et charrues afin de cultiver le Kalam. Alors
les Hommes se mirent à faire croître le grain" .On a reconnu au
passage Adam et Eve chassés du jardin d'Eden, pour aller gagner leur pain à la
sueur de leur front. Et on aura compris que les rédacteurs de la Bible ont pioché
des infos dans ces textes, sans réaliser ce qui s'était vraiment passé. Mais on
aura compris surtout que l'agriculture nous a été donnée "close et
achevée" par des êtres plus instruits, sans doute venus d'un
autre système planétaire. L'homme a donc commencé à cultiver avec une charrue.
Dès le début, l'homme
primitif a disposé d'animaux de traits déjà domestiqués. Par qui ? Les
Annunaki, assez flemmards dans l'ensemble, ne se seraient pas fatigués à
dresser des animaux. Leur talent pour la génétique nous incite plutôt à penser
qu'ils ont tripatouillés des gènes d'auroch et de bison pour en faire des
vaches. Le problème majeur des Annunaki, c'est qu'ils sont toute une bande, un
clan familial semblable aux Atrées des légendes grecques ou aux Atréïdes de Dune.
Comme dans tous les clans, il y a des dissensions.
Souvent, leurs conflits d'intérêts déclenchent des passions qu'ils ne
contrôlent pas. Enlil veut se débarrasser des hommes, Enki les protège. Quant
à Tiamata, elle
se fera tuer par Mardouk, un Anounna sans scrupule. Un beau jour,
ces gens-là sont repartis. Hélas, ils pourraient revenir, comme ils nous l'ont
promis. C'est ce que raconte Zecharia Sitchin, qui les a localisés sur une
planète vagabonde, Nibiru un intrus qui revient périodiquement dans
notre système planétaire…
En guise de conclusion, un gros bémol : les Anounna seraient-ils des
Atlantes qui auraient mal tourné, des êtres extraterrestres venues s’incruster
dans l’Histoire de l’Homme ? Qui faut-il croire? Les
Anounna ? Ou Anton Parks? Ni les uns, ni l'autre sans doute. Allons bon !
Est-ce qu'un ou deux chapitres de l'histoire nous auraient échappés ? Par
exemple, peut-on imaginer que les Anounna n'aient fait que recréer une lignée à
peine différente de ce qu'ils étaient eux-mêmes et/ou de ce que nous étions
avant ?
Enki
Le dieu sumérien Enki, ou Ea, est
l’équivalent du titan grec Prométhée: à savoir
le généticien surdoué qui créa les hommes à partir de son ADN. Et
aussi le prince qui les a toujours soutenus contre les autres demi-dieux.
Notre créateur qui croit toujours en notre espèce. Cependant, Enki
était un reptilien...
L'Abzu est
décrit dans la mythologie sumérienne, à la fois comme un lieu mythique, et
comme une résidence bien réelle, celle du puissant Enki, notre créateur. Tantôt
situé au sommet des montagnes, tantôt au fond des mers, l'Abzu est aussi le
palais flottant et volant du prince Enki. Faut-il y voir un vaisseau
spatial, ou autre engin technologique? Et Enki ? Quel est donc ce dieu reptilien
qui crée une espèce à son image ? Nous n'avons de reptilien que notre cerveau
primitif. Souvenir d'un dieu serpent ?
AB-ZU, ou Apsu en Akkadien, est
dérivé de la combinaison d'AB ou AP signifiant « le père, le créateur, ou
le grand » et ZU ou SU signifie « celui qui sait, le sage », la
source de toute sagesse et de tout savoir. L'Abzu semble
avoir eu trois significations différentes, selon la période à laquelle les tablettes font
référence. A l'origine, Abzu désigne Soleil. Dans la genèse
sumérienne, l' Abzu est appelé «le primordial» et «le
créateur» des planètes de notre système solaire.
Plus tard, quand les Anounna se
sont installés sur notre planète, l'Abzu désigne clairement la demeure d'Enki
située près de la ville d'Eridu, dans le jardin d'Eden ou Edin, sur les
montagnes du Moyen-Orient. Enfin, après le Déluge, l'Abzu
devient «l'insondable, le profond» d'où le grec «abyssos» et le
français «abysses». L'Abzu fait alors référence au monde inférieur,
où se serait réfugié Enki pour se mettre à l'abri des ravages du Grand
Déluge. Ce monde inférieur a donné naissance au mythe de la terre creuse.
Ainsi Anton Parks privilégie la troisième
signification : l'Abzu désigne le monde à l'intérieur des planètes, car toutes
les planètes sont creuses. Et pour lui, l'Abzu est le monde du dessous, sur
lequel règne Enki. L'Abzu est donc toujours plus ou moins la demeure, ou
le domaine du prince Enki. Etymologiquement, Enki signifie «celui qui est dans
le KI". Et le KI, si l'on en croit Anton Parks, est le nom que les Anounna
donnaient à notre planète.
C'est pourquoi ceux des Anunna qui
s'installèrent sur Terre furent appelés Annunaki, les Anounna
du KI. Enki est donc le prince du KI, ou encore celui qui est dans les
profondeurs du KI. Ce monde des profondeurs peut aussi faire référence aux
anciennes mines. Avant le déluge, ces mines étaient
exploitées systématiquement pour disposer des énormes quantités de minerai
nécessaires au développement d'une civilisation. Après le déluge, au contraire,
l'exploitation des mines fut abandonnée.
Les anciennes galeries furent utilisées comme
prisons, voire comme oubliettes. « Après le Déluge, les mines d'or
d'Afrique du Sud étaient inondées, la main d'œuvre et l'encadrement décimés ne
pouvaient rien y faire. Dans les décennies qui suivirent, les Guerres des Pyramides
achevèrent de désorganiser l'Afrique. Le duc Nergal, maître des mines, fut
démis de ses fonctions ; le prince Enki prit la relève. Sa première décision
fut de déplacer toute l'opération dans la région du lac
Titicaca et de Nazca au Pérou. »
Enki serait-il le Tiki-Viracocha
des Andes? Pour notre auteur, la cause est entendue. Voilà qui expliquerait la
similitude entre les deux personnages : ils sont tous deux des dieux
civilisateurs, qui ont apportés le développement aux hommes à demi
sauvages, en leur enseignant les nombres, les sciences, les artisanats, la mode et
le maquillage, la médecine, la cuisine, la civilité et la douceur. Tiki est le
premier dieu des Andes, et dans Tiki comme dans Enki il y a le nom sumérien de
notre planète, le KI.
Ainsi Enki apparaît comme le maître des
mondes inférieurs, et aussi celui qui va sous l'eau. Dans les Andes, la légende
de Tiki
Viracocha dit qu'il était blanc, barbu, et qu'il est sorti des eaux du lac
Titicaca. Maitre des mondes inferieurs, tout comme Satan de l’enfer, ne
serait-ce pas la même personne, le même dieu chassé du ciel pour avoir aidé
l’Homme .
En Mésopotamie, on connaît Enki sous le nom de
Oannès, et la légende dit qu'il avait le corps couvert d'écailles, qu'il
sortait du fond des eaux pour enseigner les hommes, et que chaque nuit, il
devait regagner les profondeurs marines pour dormir. Les Hindous croient que
Brahma, leur dieu créateur, était à l'origine un
poisson. Et ce n'est pas tout. Le peuple Dogon du Mali entretient le souvenir d'un
dieu poisson, Nommo, offrant les mêmes caractéristiques que le dieu-poisson de
Mésopotamie, Oannès.
ENKI,
L'OANNES DES LÉGENDES BABYLONIENNES
Les
traditions de l'ancienne Mésopotamie racontent l'histoire d'un ancêtre amphibie
qui enseignait les arts et les métiers de la civilisation à l'espèce humaine.
Écrite durant le troisième siècle avant J.-C. par le prêtre babylonien
Bérossus, elle décrit les origines de la civilisation selon ses aïeux.
Bien
que les travaux de Bérossus aient été perdus, un grand nombre de fragments
furent conservé par plusieurs écrivains contemporains tels qu'Apollodore,
Aleksander Polyhistor et Abydens, un des disciples d'Aristote qui écrit aussi
l'histoire de l'Assyrie, maintenant perdue.
Le
récit raconte qu'un groupe de créatures sorties du Golfe Persique appelé «
Annedoti » fut conduit par Oannes. Ils furent représentées comme des créatures
amphibies possédant une tête humaine, un corps et une queue de poisson, mais
avec des jambes humaines. Conduites par Oannes, ces créatures enseignèrent à
l'homme toutes les anciennes connaissances. Selon la légende, Oannes enseigna à
l'homme comment construire des villes, fonder des temples, compiler des lois,
inspecter les terres et comment cultiver de la nourriture. Il leur apprit aussi
les mathématiques, les sciences et tous les différents arts.
Apollodore
fit référence à Oannes et à l'Annedoti comme « Musarus ». Le mot « Musarus »
signifie en Grec, « une abomination » comme « Annedoti » signifie « ceux qui
sont répulsifs ». En d'autres termes, les créatures à qui on donne le crédit
d'avoir fondé la civilisation furent décrites par les Babyloniens qui les
révéraient, comme des « abominations répulsives ».
Si
la tradition avait été inventée, une attitude plus normale serait de glorifier
ces créatures comme des dieux splendides et des héros. Mais le fait qu'ils
choisirent de décrire leurs ancêtres de cette façon démontre l'authenticité du
récit. Selon la tradition babylonienne, ils devaient leur connaissance à des
créatures qui vinrent de la mer et qui furent dégoûtantes et repoussantes à
regarder.
Encore
plus important, l'Oannes de Bérossus et d'Apollodore a une ressemblance
frappante au Sumérien Enki qui fonda la civilisation mésopotamienne et apporta
les arts et les sciences à l'espèce humaine. Enki vivait dans son palais d'eau
ou Abzou localisé sur le bord du Golfe Persique. L'Abzou d'Enki fut scellé et
fut vraisemblablement submersible. On disait qu'Oannes retournait à sa demeure
aqueuse pour passer la nuit.
Même
le terme Annedoti est semblable au peuple d'Enki --les Annunaki. Le terme grec
eut peut-être son origine des Sumériens et fut plus tard utilisé comme
description d'une race qui fut à la fois reptilienne et répugnante.
OUTOU,
CHEF DES INSTALLATIONS SPATIALES
Outou
ou « le Brillant » fut un petit-fils d'Enlil et, avec Inanna, fut un jumeau né
à Nannar. La ville d'Outou dans les temps antédiluviens fut la plate-forme
spatiale à Sippar, d'où les vaisseaux cargos chargés de métaux faisaient la
navette au vaisseau orbitant.
Après
le Déluge, Sippar demeura sa ville sacrée, bien qu'il ait déplacé ses activités
spatiales à l'ouest à la terre de Liban où Baalbek devint la nouvelle
plate-forme spatiale. Dans les terres occidentales, il fut connu par son nom
sémite de Shamash. La ville de Baalbek fut appelée Beth-Shamash dans l'Ancien
Testament, ou en d' autres termes, la « maison de Shamash ».
Le
symbole de Shamash fut une étoile à quatre pointes contre un disque avec les
rayons. Plus tard, le disque solaire ailé fut associé à Shamash.
Il
devint éventuellement connu comme le Dieu de la Justice dans le panthéon
babylonien, tel que démontré sur une tablette datant de 900 avant J.-C. trouvé
à Sippar. Shamash fut adoré comme le dieu du soleil qui traversa les cieux quotidiennement
et « celui dont on ne pouvait cacher aucun secret », probablement parce que son
vaisseau surveillait tout ce qui se déroulait sur la surface. Dans cette
tablette, deux dieux cornus dans le « ciel » tiennent des cordons divins qui
sont liés à l'autel de Shamash. Les cordons représentent son lien ou le vol de
sa navette entre le Ciel et la Terre. Comme celui qui tenait les cordons
divins, on disait qu'il traversait les cieux et « mesurait les liens de la
Terre ».
Shamash
fut souvent représenté avec les ailes signifiant son rôle comme astronaute
principal des Anounnaki. Un relief assyrien du palais d'Assourbanipal II à
Nimroud le démontre dans une roue ailée planant sur l'arbre symbolique de la
Vie. Il est encadré par deux nobles et deux astronautes ailés, chacun portant
les symboles de l' immortalité --la pomme de pin et le « situla » ou seau
d'eau.
NANNAR,
SOUVERAIN LÉGITIME DE LA MÉSOPOTAMIE
Né
du viol de Ninlil, NAN-NAR (Le Brillant) fut le fils favori d' Enlil. Après le
Déluge, il fut assigné toutes les terres de la Mésopotamie, la Syrie et la
Palestine. Sa ville sacrée fut Ur ou « ville capitale » et son symbole sacré
fut la lune en forme de croissant. Ce symbole domina tellement les temps
post-diluviens qu'il fut plus tard adopté par Islam, comme la croix de Shamash
fut adoptée par les Chrétiens.
NINHOURSAG,
CHEF-OFFICIER MÉDICALE
NIN-KHUR-SAG
ou « Dame du Sommet de la Montagne » fut la quatrième des dieux aînés
sumériens. Elle fut la demi-soeur d'Enki et d'Enlil. Plutôt, Ninhoursag fut de
plus haut rang qu'Enki et précéda son nom lorsqu'ils parurent ensemble.
Éventuellement, son rang fut réduit et disparut pratiquement du panthéon comme
influence majeure ou efficace
Il
se peut qu'elle fût éclipsée par la montée en étoile d'Inanna ou Ishtar qui
s'introduisit dans toutes les affaires sumériennes et occidentales. Dans les
terres occidentales telle la Palestine, la Syrie et le Liban, Ishtar apparut
sous divers rôles. Comme déesse mère, elle déplaça Ninhoursag. Son rôle fut
celui de la déesse du sexe ou de l'amour. Elle fut aussi connue pour son rôle
militant comme la déesse des guerriers.
Ninhoursag
est aussi connue par un grand nombre d'autres noms tels que NIN-TI (la dame qui
donne la Vie), NIN-MAH (la dame exaltée), MAM-MU (la déesse de la création), un
nom d'où vient le mot maman. On donna à Ninhoursag la ville antédiluvienne de
Shourouppak où elle régna comme médecin-chef et infirmière-chef pour les
membres de l'expédition. Son emblème sacré fut le cordon ombilical et le couteau
qui le coupait.
Enki
et Ninhoursag dirigeaient des expériences biologiques dans les laboratoires sur
sa ziggourat à Shourouppak et dans le vaisseau des quartiers généraux d'Enki
qui menèrent à la création du premier homme primitif appelé « lulu ». Ce fut un
hybride mammifère-reptilien. Cela fut accompli à la demande explicite d'Enlil
qui voulait une créature capable de prendre en charge le travail difficile
maintenant exécuté par les enfants d'Anou.
Suivant
des formules et des processus fournis par Enki, Ninhoursag produit un ouvrier,
mais avec une défaillance majeure --il ne pouvait pas se reproduire. En allant
encore plus loin et en modifiant cet être primitif en lui donnant des
caractéristiques mammifères prédominantes, Enki et Ninhoursag dépassèrent leur
consigne.
En
croisant le « lulu » avec l'homme primitif sauvage de la période --l 'homme de
Neandertal-- ils formèrent un nouveau type d'ouvrier, l'homme moderne ou
Homo-sapiens, connu comme l'homme de Cro-Magnon. Ce fut cette activité qui
causa la colère d 'Enlil.
INANNA/ISHTAR,
DÉESSE DE L'AMOUR ET DU TROUBLE
IN-ANNA
ou « la bien-aimée d'Anou » fut la jumelle de Shamash et petite-fille d'Anou.
Puisque Anou descendit sur la Terre seulement qu' à l'occasion pour visiter sa
ville sacrée d'Ourouk, Inanna réussit à le convaincre de la laisser gouverner
cette ville pendant son absence ! Plus tard, elle devint la divinité
protectrice d'Agade juste avant sa destruction.
Mieux
connu par son nom sémite d'Ishtar, elle fut représentée comme une déesse
puissante pendant la période post-diluvienne, dans les terres occidentales
aussi bien qu'en Mésopotamie. Son symbole sacré, l 'étoile à huit pointes, est
toujours prédominant parmi les symboles des dieux souverains.
En raison de son sexe, Inanna ou Ishtar ne pouvaient pas gouverner légalement, mais elle réussit cependant à s'injecter partout dans la politique. Un poème décrit sa descente au monde inférieur pour tenter de saisir le pouvoir de sa sœur aînée Éreskigal.
Un
autre Mythe raconte comment elle réussit à déjouer Enki pour qu'il lui donne
quelques-unes des Tablettes de la Destinée ou MEs qui lui donnèrent l'autorité
et les moyens de s'installer comme souveraine d'Ourouk. Dans le célèbre «
Épique de Gilgamesh », elle offre ses faveurs au héros qui repousse ses
avances, la rendant furieuse au point qu'elle tenta de le détruire.
L'image
présentée par la littérature sumérienne et babylonienne n'est pas
uniforme--d'un côté, celle de la déesse de l'amour et d'un autre, celle d'une
guerrière militante. Elle perturba non seulement les affaires de la Mésopotamie
mais elle domina aussi le panthéon des terres occidentales de la Palestine, du
Liban, de la Syrie et de l' Anatolie où elle fut connue sous plusieurs noms tel
qu'Ishtar, Ashtoreth, Astarté, Asherah, et Anat amont parmi d'autres.
Inanna
fut le prototype des deux, déesse de l'amour et déesse des guerriers dans la
région méditerranéenne et plus tard devint le modèle pour les deux déesses
grecques, Pallas Athéna et Aphrodite.
ISHKOUR,
SEIGNEUR D'ANATOLIE ET DIEU DE L'ANCIEN TESTAMENT
Le
plus jeune fils d'Enlil, ISH-KOUR ou « Celui des Terres Montagneuses » fut
assigné l'Anatolie comme domaine. Ishkour tenta de s'immiscer dans la politique
de la Mésopotamie, mais principalement, il limita ses activités à tenter
d'étendre sa sphère d'influence et de contrôle sur la Palestine ou Canaan.
Mieux
connu par son nom sémite Adad, il fut le dieu du tonnerre et des éclairs. Il
est souvent représenté tenant le symbole de l'éclair bifurqué. Adad, fut en
toute probabilité le Yahvé (Jéhovah) de l' Ancien Testament qui tenta en
premier lieu d'utiliser Abraham et plus tard, Moïse, pour étendre sa sphère
d'influence sur la terre de Canaan. Ce rôle est encore discuté
LES ANNUNAKI DANS LE PANTHEON SUMERIEN
C’est grâce aux druides Wallans, les seigneurs
des bois, que fut introduite sur les îles britanniques la culture de Barat
An-na, femme du dieu sumérien Anu et mère d’Enki (Seigneur-Adon-Baal). Son nom
fut raccourcit en « Britanna ». Dans le royaume phénicien, elle était
représentée assise au bord de la mer, tenant une torche de feu, et à côté
d’elle se trouvait un coquillage rond portant la croix de la Rosi-crucis. Sa
torche est devenue un phare et la Rosi-crucis de son coquillage a été modifié
pour devenir l’Union Jack. Mais après tout ce temps, elle est toujours la
Déesse Mère du pays, la Dame de la pierre de feu : Britannia.
Les sumériens adoraient des centaines de dieux
et de déesses qui jouaient un rôle crucial aussi bien au niveau collectif qu'au
niveau personnel . Les sumériens établissaient des liens privilégiés avec un ou
plusieurs dieux de leur choix. Il ressort de l'étude de leurs textes ou de
leurs stèles que ces habitants de Mésopotamie n'hésitaient pas à se tourner
vers leurs dieux pour obtenir assistance et protection concernant une foule de
choses fort variées. Les récits bibliques des 11 premiers chapitres de la
Genèse sont inspirés des légendes et mythes sumériens.
On constate 3 sortes de divinités qui montrent
un sentiment de communion intense avec la nature :
-Les dieux correspondants aux diverses parties
du monde (le ciel, la terre, les enfers).
-Les divinités astrales (soleil, lune, étoiles).
-Les forces de la nature (foudre, ouragan, et
les dieux de la fécondité).
L’amour entre les dieux était la source de
toutes vies sur terre, et les poètes sumériens le décrivaient de façon très
explicite. C’est évidemment Inanna qui inspire les images les plus érotiques.
Mais à l’image d’un souverain, la communication avec les plus grands dieux
étant difficile, les sumériens préféraient s’adresser à des dieux plus proches
.A chaque nouvel an, les dieux fixaient le sort des 12 prochains mois. Cette
fête, à-ki-til, régénère le monde, le purge. Les temples, imago mundi,
sont très importants. Leur plan, comme
celui des cités, est inspiré par les dieux aux
souverains.
LES
TABLETTES DE LA DESTINÉE
Le
contrôle sur les opérations des villes et des activités de l'espèce humaine fut
exercé à travers un système de directives et de formules appelées les « MEs »
en Sumérien. La signification exacte du mot est perdue dans l'antiquité, mais
il semble dénoter un ensemble de règles assigné à chaque entité et phénomène
pour l'assurer d'un succès opérationnel. Quelquefois, ils paraissent être des
objets physiques que quelqu'un pourrait prendre et apporter. La possession d'un
ME donnait un contrôle absolu d'un certain aspect de la vie ou du comportement.
Peut-être qu'ils furent quelque chose comme un cerveau d'ordinateur dans lequel
des données et des ordres opérationnels furent inscrits pour activer une pièce
d'équipement. Dans le Mythe « Enki et l'ordre mondial », les MEs semblent
contrôler un avion sous l'ordre d'Enki. Dans cette histoire, Enki est décrit
comme le « Seigneur qui conduit les grands MEs ».Les MEs furent en la
possession d'Enki et furent partagés graduellement et modérément pour en faire
bénéficier l'espèce humaine. Notre source fondamentale d'information est
l'histoire « d'Inanna et Enki » où la civilisation est divisée en plus de 100
éléments, chacun exigeant un ME pour le garder en fonction.
Quelque
60 sont lisibles dans ce Mythe et ils incluent, par exemple, la royauté, le
bureau sacerdotal, la sagesse, la paix, la consultation, le jugement, le
mensonge, l'art, les instruments de musique, les armes, la diffamation, la
prostitution, la loi et la destruction des villes.
Ce
Mythe concerne le succès de la tentative d'Inanna d'extraire quelques-uns des
MEs d'Enki. Selon l'histoire, Enki avait préparé un repas somptueux pour la
belle et ambitieuse petite-fille d'Anou. Voyant qu'Enki but trop de vin et
devint enivré, Inanna vit sa chance et demanda sept des MEs les plus
importants, et il y consentit sottement.Ces MEs représentaient les fonctions
nécessaires pour administrer une ville, telles que, comment diriger un temple,
l'art de la guerre et des armes, la musique et les arts, l'écriture et les
mathématiques, et plusieurs métiers concernant le bois et les métaux. Plus
tard, lorsque Enki reprit ses esprits, il se rendit compte de ce qu'il fit et
envoya son chambellan en « bateau du ciel » poursuivre Inanna et rapporter les
MEs. Inanna réussit à déjouer le messager d'Enki et arriva à sa ville d'Ourouk
à l'acclamation de l'ensemble des habitants. Inanna se vanta que, pour toutes
fins pratiques, elle fut maintenant une souveraine car elle avait l'autorité
officielle d'un monarque.
Ces
MEs ne conféreraient non seulement l'autorité au propriétaire mais le pouvoir
absolu en plus, rendant ainsi le propriétaire de certain MEs imprenable par les
armes. Cet attribut est décrit dans l'histoire sumérienne, « Le Mythe de Zu ».
Comme dieu servant de serviteur à Enlil, Zu complota une révolution au palais
en tentant de saisir le contrôle des Tablettes de la Destinée qu'Enlil avait
laissé sans surveillance. Il fut suggéré précédemment que le responsable qui
entreprit le coup d'État fut Nannar/Sin.
Pendant
qu'Enlil prenait un bain, Zu conçut l'idée de voler les MEs ou Tablettes de la
destinée, pensant que ces décrets divins lui donneraient le contrôle sur les
Anounnaki et l'espèce humaine, et le placeraient en tête du panthéon.Zu
accomplit ce geste et s'échappa avec les Tablettes. Le panthéon subit un
désordre complet par rapport à ce développement. Enlil déclara que quelqu'un
devrait trouver les MEs pour empêcher Zu d'usurper l'autorité des dieux.Mais il
semble que le contrôle des MEs rendit Zu imprenable en lui donnant la capacité
de dévier et neutraliser toutes les armes envoyées contre lui. Des flèches
explosives semblant être comme des missiles furent lancés contre lui mais il
les dévia par une sorte de champ magnétique protecteur autour de la « montagne
» qu'il avait fortifiée.Enfin, Enki conçut une nouvelle arme spéciale dans son
laboratoire. Il le donna à Ninourta, l'aide militaire d'Enlil qui finalement
battit Zu et l'emmena au vaisseau pour subir son procès. Donc, ici fini la pire
menace jamais éprouvée par les dieux sumériens souverains.
La
présence de symboles d'autorité est mentionnée dans les Saintes Écritures où il
est souvent affirmé que la possession des certains « noms divins » conférait un
pouvoir extraordinaire. Les MEs des Sumériens sont-ils les noms divins des
Saintes Écritures ?
Selon
« l'Apocalypse hébraïque d'Henok », lorsque Henok, le patriarche antédiluvien,
fut déifié à sa montée à la « demeure céleste », on lui donna « soixante-dix
noms ». Appelé aussi « le premier livre d' énok », on croit que ce document est
en provenance de la communauté juive de Babylonie et est attribué au Rabbin
Ismaël, le renommé savant palestinien qui mourut en 132 après J.-C.
Ces
soixante-dix noms conférèrent le pouvoir et l'autorité à Henok. Il fut second à
la divinité principale. Les « noms divins » donnèrent le pouvoir à Henok de
détruire les rois, d'élever ceux qui furent humbles, de subjuguer les
souverains, de conférer la sagesse, de faire des jugements et de « contrôler la
procession du temps et des saisons ». Vraisemblablement, ce dernier point
signifiait l'autorité pour ajuster le calendrier quand nécessaire, tel que
quand une catastrophe mondiale rendait les vieux calendriers obsolètes.
Les
rois sumériens hybrides, pères fondateurs des lignées de la fraternité
babylonienne sont surtout les vrais descendants de ce qu'ils nomment la
noblesse noire, la “black nobility”, cette noblesse indo-européenne qui s'est
installée par la suite en Europe sous les traits de la noblesse mérovingienne.
Cette noblesse sumérienne serait donc les ancêtres des castes aristocratiques
qui gouvernent aujourd'hui l'Europe (famille royale britannique mais également
les familles belges, hollandaises, etc. de souche allemande ou bavaroise). Ces
dieux Annunaki n'ont pas vraiment quitté la terre mais manipuleraient encore
les destinées humaines par le biais des 13 lignées sanguines «Illuminati» (nom
d'une société secrète née en Bavière au 18 e siècle) qui plongent toutes leurs
racines dans les dieux et Rois sumériens. Nous étudierons ensuite qui sont les
Illuminati .
Sources :
http://eden-saga.com/fr/sumer-anton-parks-olympiens-elohim-kharsag-hydraulique-esclaves-les-anounna-du-ki.html
http://universality.info/mambo/r/Dieux.html
http://eden-saga.com/fr/mythologie-sumer-mesopotamie-dogons-andes-oannes-tiki-viracocha-promethee-ea-enki.html
Sources :
http://eden-saga.com/fr/sumer-anton-parks-olympiens-elohim-kharsag-hydraulique-esclaves-les-anounna-du-ki.html
http://universality.info/mambo/r/Dieux.html
http://eden-saga.com/fr/mythologie-sumer-mesopotamie-dogons-andes-oannes-tiki-viracocha-promethee-ea-enki.html
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