L’antigravité
est une idée qui consisterait à créer une zone ou un objet libre de toute
interaction gravitationnelle. Il ne s’agit pas de compenser la force
gravitationnelle par une force contraire pour maintenir le système en
équilibre, mais bien de supprimer toute force de gravité. L’antigravité se
traduirait par une absence de force gravitationnelle dans une zone spatiale ou
sur un objet donné, via un procédé technologique encore inconnu actuellement.
Ce concept est un thème récurrent de la science-fiction particulièrement dans
le cas de la propulsion des vaisseaux spatiaux. Cette notion d’antigravité fait
sa première apparition sous le nom de Cavorite dans l’ouvrage de H.G Wells : Le
premier Homme sur la Lune. Le terme d’antigravité est aussi parfois utilisé
pour se référer à une forme de propulsion sans réaction, autrement dit sans
expulsion à l’arrière du véhicule d’une matière dans un sens pour entraîner son
mouvement dans le sens opposé. Ce terme générique et réaliste d’antigravité
recouvre donc plusieurs principes d’essences différentes.
Il
y a plusieurs méthodes pour générer l'antigravitation, pour pomper de l'énergie
quantique du vide ou encore pour tirer de la puissance. Les modèles physiques
classiques sont bien en peine d'expliquer comment on parvient à tirer de
l'énergie libre du vide quantique. En réalité, la physique a été bien en peine
d'expliquer comment fonctionnait l'antigravitation. Ces étranges montages
d'aimants, d'enceintes électromagnétiques, d'usage des énergies dégagées par
des vortex poursuivent un but : dégager une certaine forme d'énergie, dégagée
de notre monde physique par des systèmes «catalyseurs», des ondes particulières
que l'on appellera «ondes scalaires». Les explications données ici ne sont que
les principes donnés par les théories reposant sur la conviction d'un univers
vide peuplé de particules, qui prévaut encore dans la physique
"officielle». De plus, toute la matière est contenue dans un espace vide
rempli de particules virtuelles appelées gravitons. Des particules virtuelles
sont des particules qui n'ont aucune masse apparente ou réelle et par
conséquent ne sont pas une énergie manifestée. Le graviton se compose d'un
photon (grain de lumière) et d'un antiphoton virtuels liés entre eux. Cette
«particule» de lumière s'avère receler une énergie temporelle. L'antiphoton est
un photon dont la flèche temporelle est inverse de celle du photon, sa flèche
temporelle va du futur vers le passé. Une tension d'énergie permanente
(analogiquement comparable à la tension électrique) existe entre le photon et
l'antiphoton générant des ondes électromagnétiques stationnaires dans le vide.
À chaque onde allant du passé vers le futur est associée une onde qui va du
futur vers le passé. Ces couples d'ondes temporellement inverses sont appelées
ondes longitudinales scalaires. (Ces ondes longitudinales scalaires sont une
énergie, mais faite de temps). On peut donc dire, en simplifiant beaucoup, que
dans le vide l'énergie c'est le temps et dans la matière c'est l'espace !
Lorsque des ondes longitudinales scalaires perdent une dimension de temps en
acquérant une dimension d'espace elles deviennent les ondes électromagnétiques
que nous connaissons. Par chance la nature nous offre un moyen très simple de
créer cette énergie scalaire "temporelle" : c'est la rotation, mais
pour que l'effet soit significatif il faut que ce mouvement rotatif soit
extrêmement rapide. Pour simplifier à l'extrême, on peut dire que tout
mouvement rotatif rapide transforme de l'énergie "spatiale" en
énergie "temporelle". Le temps est alors une énergie, au même titre
que la lumière. Pour créer de l'énergie scalaire «temporelle», énergie qui va
annuler la masse et l'inertie de l'appareil, il existe un moyen : celui de la
mise en rotation ultra rapide. Nous avons vu justement que ces appareils ont
pour but de mettre en rotation certaines parties du vaisseau par divers moyens
: électroaimants, champs électromagnétiques, vortex etc. Ce qu'il faut mettre
en rotation, c'est de la matière ou des champs électromagnétiques ou une
combinaison des deux.
Le dernier principe expliquant l’antigravité
est l'annulation de la masse et de l'inertie d'un corps : c’est l'annulation de
la pression d'onde des oscillations élastoniques du "vide" sur ce
corps. Nous savons également qu'à une exclusion près (l'inertie du milieu
gazeux), les élastons du "vide" se comportent comme les molécules
d'un gaz parfait. Il existe principalement deux solutions pour réduire la
pression d'un gaz autour d'un corps. La première, l'effet Magnus, consiste à
mettre ce corps en rotation. Dans un gaz au repos, cette rotation accélère les
molécules d'air à la surface du corps et génère un gradient de pression dans ce
gaz. Les molécules proches de la surface du corps étant les plus rapides sont
moins compressées que les molécules plus éloignées de cette surface, donc plus
lentes. Cette dépression des molécules les plus rapides est due à la loi de
conservation de l'énergie qui impose une relation constante entre vitesse et
pression pour conserver l'énergie totale du système. Une couche de
"vide" ou tout au moins de moindre pression est ainsi créée autour
d'un corps en rotation. Plus le corps tourne vite, plus la pression diminue
dans la couche limite. Il s'agit d'une méthode de dépression dynamique. Si l'on
opte pour ce type de technique, on mettra en rotation un champ "magnétique"
dont la fréquence de rotation (nombre de tours par seconde) sera un sous
multiple de la fréquence de résonance des élastons dans le champ. L'effet
pourra être amplifié en mettant en rotation deux champs "magnétiques"
superposés et tournant en sens inverse. Ce dernier procédé, en plus d'être plus
efficace, présente l'avantage de supprimer le couple de rotation du champ. La
deuxième est la méthode de dépression statique du vide. Il s’agit de faire
osciller des élastons en phase soustractive (oscillation photonique) dans une
cavité résonnante accordée. La cavité résonante pouvant être
"virtuelle" ou "réelle" : une cavité virtuelle est crée par
deux antennes dont les faisceaux d'onde convergent en un point distant
quelconque et une cavité réelle est créée en entourant un corps d'une double
coque réfléchissante, de forme quelconque à condition d'être toujours courbe et
d'espacement constant. Pour la cavité virtuelle, la modulation des antennes est
telle que leurs ondes créent un volume d'ondes en phase soustractive, accordées
à la fréquence élastonique locale, au point de convergence. Un volume
d'antigravité est créé en ce point, tout corps s'y trouvant perdant sa masse et
son inertie. Le point de convergence des sources peut être déplacé à souhait,
permettant de déplacer un corps à distance dans un "faisceau antigravitationnel". Pour la cavité
réelle, les deux sources oscillantes sont placées en deux points opposés. Les
deux sources créent ainsi un champ d'ondes stationnaires accordées, en phase soustractive, à la fréquence
locale des élastons.
Il
est aussi possible de générer une dépression élastonique hybride, c'est à dire
à la fois dynamique et statique. Si les deux champs "magnétiques" en
rotation ne tournent pas à la même vitesse ils génèrent entre les deux champs
superposés un champ d'ondes stationnaires dû à la rupture par torsion des
champs. Si les fréquences d'ondes dynamiques des champs tournants et la
fréquence du champ de torsion stationnaire sont accordées en phase soustractive
avec les élastons entourant le corps, on aura un système antigravitationnel
encore plus performant. Ce champ statique, créé entre deux champs tournants,
est appelé zone de "rupture de champ magnétique" Les champs
magnétiques tournants peuvent être générés de plusieurs façons. La plus simple
consiste à faire tourner un champ "électrostatique" en mettant en
rotation mécanique le condensateur générant cette charge
"électrostatique". Donc pour annuler la masse et l'inertie d'un
corps, il suffit donc de créer autour de celui-ci une surface ou un volume de
dépression des élastons du "vide" par un procédé analogue à l'une des
deux méthodes précédemment décrites. Le seuil de masse et d'inertie nulle est
atteint lorsque la fréquence des élastons, dans le volume dépressionnaire entourant
le corps, a suffisamment baissé. Cela revient à augmenter la longueur d'onde
des élastons à une longueur d'onde égale au plus grand diamètre du corps dont
on veut annuler la masse et l'inertie.
Pour
comprendre les principes étudiés précédemment, il faut recourir à l’expérience
de John Searl (ingénieur britannique) qui en 1968 créa un GES (Générateur à
effet Searl) et accomplit par la même occasion le premier vol d’une soucoupe
volante civile, montrant ainsi aux yeux du monde que la surunité et
l’antigravité ne relevaient pas de la science-fiction. Son GES est constitué
d’une série de trois anneaux sur lesquels circulent des patins. Ces anneaux et
ces patins forment un engin magnétique qui, seul, produit un mouvement initial
et une grande quantité d’électricité.
Il
s’agit d’un engin magnétique complexe que Searl conçoit d’abord pour produire
de l’électricité. Lorsqu’il commence à augmenter la charge entrante pour
mesurer le rendement du générateur, ce dernier se met à agir à l’inverse de
tout autre moteur : au lieu de chauffer et de se décharger à mesure qu’augmente
sa charge, il se refroidit et accélère jusqu’à ce que les deux charges
(entrantes et sortantes) soient égales. Plus la charge augmente, plus la
température descend jusqu’à atteindre un état supraconducteur à environ - 270°C
! À ce moment, le générateur produit autour de lui un champ gravitationnel et
quitte le sol. Un vide s’est produit autour de l’engin et la puissance, déjà de
dix millions de volts, augmente. Après quelques minutes de vol hésitant, l’énergie
sortante et le champ gravitationnel augmentent encore, l’engin part vers
l’espace. Par la suite, le professeur Searl développe des moyens pour contrôler
l’énergie sortante et la vitesse de son générateur. Il continue de travailler
sur le potentiel de vol du GES et met au point un modèle capable de surpasser
tous les engins aériens et spatiaux contemporains. Quarante ans plus tard, deux
chercheurs russes (Vladimir Roschin et Sergei Godin) ont déposé le brevet
international d’un système surunitaire accessible à tous. Ils ont mis au point
un système capable de léviter :c'est le phénomène de lévitation magnétique.
C’est une nouvelle physique. Il ouvre des perspectives sur une nouvelle
technologie aérospatiale et remet au goût du jour les fameux travaux de Searl.
Ce brevet présente un système magnétique composé d’aimants de terres rares
capable de convertir diverses formes d’énergie, dès lors qu’un certain régime
de fonctionnement critique est atteint. Ceci s’accompagne de variations locales
du poids de la structure totale, d’une diminution de la température de l’air
environnante, et de la formation «de murs magnétiques» concentriques au-dessus
de l’installation expérimentale. Il est conçu par ailleurs pour servir de
générateur électrique de courant continu.
Lorsque
l'on utilise le principe pour annuler la masse d'un corps, le vide restitue en
retour des quantités énormes d'énergie électromagnétique que l'on peut
récupérer facilement afin d'alimenter le moteur antigravitationnel. Un véhicule
antigravitationnel n'a donc besoin d'aucune source d'énergie propre pour voler
et peut se déplacer éternellement. Il faut savoir enfin, que le champ
antigravitationnel créée autour des atomes du véhicule étant une sorte de vrai
vide dans le vide, le vaisseau ne subi aucun frottement de l'air extérieur
(quelle que soit sa vitesse) et de plus est complètement protégé des radiations
extérieures. Par conséquent, ce type de système s'auto entretient et il ne faut
trouver qu'une certaine quantité d'énergie pour la mise en marche du générateur
d’énergie. Les vitesses atteintes sont très importantes (pour revenir à
l’expérience du professeur Searl, son Ges frôla la vitesse de la lumière. Il a
calculé que la durée du vol New York – Londres serait de vingt minutes, de
Londres à l’Allemagne, cinq minutes, et jusqu’à l’Australie ou le Japon, cela
prendrait trente minutes)puisque le vaisseau se trouve enfermé dans une sorte
de bulle antigravitationnelle et n'est pas soumis à des pertes d'énergie
causées par les frottements de l'air. Donc plus l’engin va vite, plus il
produit de l’énergie. Cette phrase d’un scientifique américain le prouve : « Il
s'agit d'exploiter une théorie selon laquelle un objet se déplaçant à 57,7% de
la vitesse de la lumière fera apparaître un champ antigravitationnel devant
lui. »
Cependant
même si cette propulsion est considérée comme idéale, les chances de la voir un
jour propulser des vaisseaux dans l’espace sont encore minimes. Par exemple,
les procédés de dépression élastonique précédemment décrits (dynamiques et
statiques) annulent la masse et l'inertie mais n'assurent pas la propulsion.
Pour créer un ou plusieurs vecteurs de poussée il faut supprimer localement la
dépression des élastons autour du véhicule. Cela peut être fait en émettant un
faisceau local d'ondes en phase additive dans le champ de dépression
élastonique. Ces ondes se propagent dans une direction opposée à la direction
de propulsion souhaitée. Il s'agit d'une méthode dynamique de surpression
élastonique. On peut aussi utiliser un condensateur électrostatique qui créera
un champ local de surpression élastonique. Un minimum de trois sources (placées
sous le véhicule) est nécessaire pour orienter et propulser le véhicule sur
tous les axes. Donc les procédés de dépression du vide annulant l’inertie et la
masse d’un corps sont encore trop complexes pour être réalisables.
Autre
exemple, une piste explorée par le centre Marshall de la NASA dans le cadre du
programme Breakthrough Propulsion Physics (BPP) et concernant l’antigravité et
son utilisation comme source d’énergie potentielle pour la propulsion. Deux
expériences ont été réalisées en cinq ans. Il s’agissait de mesurer une
hypothétique minuscule variation du champ gravitationnel à proximité d’un
supraconducteur tournant dans un champ magnétique. Cette variation, si elle
avait été détectée, aurait confirmé la réalité d’une interaction
électromagnéto- gravitationnelle. Ce fut un échec. Assurément, ici aussi, la
route vers les étoiles semble encore fort longue et quasiment impossible.
Donc
la propulsion par antigravité n’est pas près de sortir officiellement de
l’ombre dans les années à venir car il faudrait déjà que l'antigravité existe,
soit observée et soit productible. Ces contraintes font de la propulsion par
antigravité un mythe encore introuvable pour tous les scientifiques, physiciens
ou chercheurs du monde.
Bonjour,
RépondreSupprimerJe ne comprend pas votre conclusion, puisque vous dites que John Searl y est arrivé avec sa démonstration et le vol de la première soooucoooupe volante ????
Il faudrait savoir !!!
Ce commentaire a été supprimé par l'auteur.
Supprimerhttps://youtu.be/qJhPUXcZams
RépondreSupprimeron peut interférer des ondes scalaires à distance pour ensuite produire par interférence des ondes électromagnétiques. Ainsi on transporte de l'énergie électromagnétique à distance, sans qu'elle soit perceptible le long de son chemin.La résonance synchronisé est la Seuil où les particules de matière et d’antimatière s’annulent et libèrent un immense flux de photons et ses rayons photoniques comme énergie de propulsion.Alors, Otis Car à et son VESSAU "OTC1" a été bon et bien utilisé par L'Armé Américain! Ils ont écarté Otis Car par des fausses accusation , et il a fini en prison ,tout étant Inoscent https://Youtu.be/qJhPUXcZams
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