Je
pense que l’appellation « Chupacabra » regroupe plusieurs spécimen étranges qui
vivent dans la région de Porto Rico. En fait le vrai chupacabra : suceur de
sang , serait un extraterrestre qui aurait a une sorte de dard qui lui servirai
de langue . Grâce à ce dard il viderait complètement le sang de ces victimes.
Type 1 : Vrai
Chupacabra
Il
a 2 gros yeux rouges, une sorte de crête d’épines jusqu’au bas du dos, des
griffes et une peau foncée . Il ferait aussi une sorte de bourdonnement
lorsqu’il attaque ces proies. Et il les viderait de leur sang grâce à un dar
pointu sortant de sa bouche.
Type
2
Une
sorte de chien galeux errant, qui aurait perdu ces poils. Un chien sauvage
malade. Il a souvent été identifié par les médias pour être le Chupacabra ,
erreur ! Il y en aurait tout une population.
Type
3
L’extraterrestre
du cas Varginha . Petit , marron , maigre , yeux rouges , 3 crêtes osseuses sur
le crâne , forte odeur … Rien à voir avec un suceur de sang . Celui-ci ainsi
que les autres du même type n’étaient que des extraterrestres qui s’étaient
écrasés ( comme a Roswell ) .Il étaient soit mort ou blessés et complètement
paniqués .
Histoire
La
légende du Chupacabra débute autour de 1992, lorsque des journaux portoricain,
El Vocero et El Nuevo Dia, commencèrent à rapporter la mort de plusieurs types
d'animaux, comme des oiseaux, des chevaux et, comme son nom l'indique, des
chèvres. À ce moment, le chupacabra était connu sous le nom de El Vampiro de
Moca puisque les premières victimes ont été trouvées dans la petite ville de
Moca. Au tout début, les membres d'un culte satanique furent suspectés d'avoir
commis ces tueries au hasard, mais ensuite, les tueries s'étendirent autour de
l'île, et plusieurs fermes rapportèrent la perte de vies animales. Les carcasses
avaient toutes une chose en commun : chaque animal trouvé avait non pas deux,
mais un seul trou dans son cou, et était vidé d'une grande partie de son sang,
mais aussi parfois d'une partie de leurs organes interne.
Le
terme chupacabra fut supposément inventé par une personnalité de la télévision
portoricaine, Silverio Pérez, qui utilisa ce nom comme une blague, mais le mot
fut également utilisé dans le roman de Michael Crichton en 1990, Jurassic Park,
qui parut avant la légende.
Peu
après les morts d'animaux à Porto Rico, d'autres morts furent rapportées dans
d'autres pays, comme en République dominicaine, en Argentine, en Bolivie, au
Chili, en Colombie, à El Salvador, à Panama, au Pérou, au Brésil, aux États-Unis
et, surtout au Mexique. À Porto Rico et à Mexico, le chupacabra devint une
légende urbaine. Les histoires de chupacabras commencèrent à paraître plusieurs
fois dans les nouvelles télévisées aux Etats-Unis, et des produits dérivés tels
que t-shirts et casquettes de baseball furent mis en vente.
Observations
du Chupacabra
Les
autorités portoricaines affirment que ces morts à répétition sont l'œuvre de
chiens sauvages, de singes ou d'autres animaux étrangers à la région et
introduits illégalement sur le territoire. Mais dans ce cas, comment expliquer
que de nombreux observateurs déclarent avoir aperçu le Chupacabra ? En effet,
il arrive fréquemment que des témoins rapportent avoir vu cette fameuse
créature, que ce soit de nuit ou en plein jour.
En
général, la créature est décrite comme ayant une tête de forme ovale, avec une
mâchoire proéminente. Elle possèderait deux gros yeux rouges, de petits trous
pour les narines, une petite bouche en forme de fente avec des crocs saillants
vers le haut et vers le bas. Elle serait couverte de poils noirs. Enfin, elle
possèderait deux petits bras, avec des mains à trois doigts, terminés par des
griffes, ainsi que deux fortes jambes à trois griffes.
Selon
les témoins, cette créature se déplacerait avec une excellente aisance et
habilité. D'ailleurs de nombreuses personnes ont tenté de la capturer et de
nombreuses battues ont eu lieu, sans succès... Enfin, de nombreux indices
permettent de faire penser que plusieurs créatures de la sorte sont présentes
sur l'île.
Mutilations animales
Les
animaux mutilés sont retrouvés avec de petits trous parfaitement circulaires
(variant de 0,6 à 1,25 centimètre) et pénétrant profondément dans le cou, ou
juste sous la mâchoire de l'animal. Dans la majorité des cas, ces trous
arrivent dans la tête de l'animal. Un de ces trous part de l'os de la mâchoire,
jusqu'au cerveau et plus précisément jusqu'au cervelet, le perforant et tuant
donc immédiatement l'animal. Ces détails semblent indiquer une technique
d'euthanasie évitant toute souffrance à l'animal durant sa mise à mort, ce qui
implique également une certaine intelligence de l'attaquant. Scientifiques et
médecins estiment donc que nous n'avons pas affaire à un animal carnivore ou un
prédateur d'une espèce connue de la science.
Tentatives d'explications
De
nombreuses hypothèses ont été avancées pour expliquer la présence de cette
mystérieuse créature et de ses victimes à répétition. Tour d'horizon des
principales théories...
Comme
vu précédemment, l'explication officielle serait que ces morts à répétition
sont l'oeuvre de chiens sauvages, de singes ou d'autres animaux étrangers à la
région et introduits illégalement sur le territoire. Cette théorie ne tient
pas, pour la simple raison qu'aucun prédateur connu sur Terre utilise de telles
méthodes pour la mise à mort de ses victimes.
Certains
pensent que des sectes religieuses ou sataniques pourraient commettre ces actes
mais les cas d'animaux mutilés sont trop nombreux pour accréditer cette
explication : aucune secte n'aurait les ressources financières nécessaires pour
mener à bien une telle opération.
Étrangement,
l'apparition du Chupacabra coïncide avec une importante vague d'observations
d'OVNI au dessus de l'île de Porto Rico. Certains ont donc fait le
rapprochement et pensent que Chupacabra et OVNI sont liés.
Enfin,
une autre hypothèse est que ces créatures observées sont le produit de
manipulations génétiques par des agences humaines.
Une
apparition dans la ville de Varginha , Brésil, est parfois attribué aux
chupacabras, mais le phénomène est le plus souvent attribué aux
extra-terrestres. En fait, certains pensent que les Chupacabras seraient originaires
d'une autre planète. En 1997 une explosion des cas d'attaques de Chupacabras se
produisit au Brésil, et furent rapportés dans les journaux brésiliens.
LE
CAS VARGINHA
Histoire racontée
par un ufologue
J'eus
connaissance de l'incident de Varginha pour la première fois quand je tombai
sur un titre curieux sur la couverture du Wall Street Journal. Il était
écrit: "Des extraterrestres puants atterrissent au Brésil" (Stinky Aliens
Land in Brazil). L'article était écrit plutôt sur un ton de plaisanterie au
début, mais sa suite sur une autre page contenait des informations qui
semblaient assez crédibles. Plus tard, après avoir consulté des collègues, j'ai
pu constater que l'article reflétait avec justesse les rapports qui venaient de
Varginha. Ces rapports motivèrent rapidement la communauté ufologique à faire
la comparaison avec l'incident de Roswell. A mon avis, l'incident de Varginha
comprend des éléments comparables.
A
ma connaissance, seuls trois enquêteurs en dehors du Brésil se sont rendus sur
les lieux: le Dr John Mack et Bob Pratt, des Etats-Unis, et Michael Hesemann,
d'Allemagne. Ils
firent tous un travail excellent et, avec l'aide d'Ubirajara, ils purent
s'entretenir avec des témoins et enregistrer une partie de leurs observations
sur vidéo cassette. Depuis l'incident de Varginha, le 20 janvier 1996, j'ai
toujours eu l'envie de m'y rendre et de chercher des preuves physiques. Bien
que je sois allé au Brésil de nombreuses fois ces dernières années, on me
dissuada toujours d'aller à l'endroit que je voulais surtout visiter!
Toutes
sortes de raisons me furent opposées: certaines personnes m'avertirent d'une
forte présence militaire dans la région, tandis que d'autres insistèrent sur le
fait que je ne trouverais rien de nouveau parce que l'investigation était
terminée.
Eh
bien, puisque le but de mon voyage était de réunir tout ce que je pouvais en
matière de preuves physiques, je décidai finalement que je ne voulais plus
accepter un 'non' comme réponse et j'insistai pour pouvoir me rendre à
Varginha.
Bien
que les arrangements pour ma visite à Varginha aient été finalisés aux
Etats-Unis, dès mon atterrissage au Brésil, j'entendis des commentaires
décourageants. "Ce sera une perte de votre temps et de vos efforts."
On
me dit en outre qu'aucun des sites d'origine ne pouvait être photographié parce
que des murs avaient été érigés contre les curieux. Des maisons et des immeubles
furent construits pour entourer d'autres lieux importants, cependant que les
habitants furent contraints par les autorités de ne pas parler aux étrangers, "surtout
ceux des Etats-Unis." Loin de diminuer mon enthousiasme, de tels discours
avaient exactement l'effet inverse. J'allais à Varginha envers et contre tout.
Au
moment où notre avion ralentissait sur la piste, je remarquai un groupe de
personnes quittant le bâtiment du terminal et se dirigeant vers nous. Je me
demandai ce qui se passait. Qui étaient ces gens? En même temps j'imaginais que
la sécurité aérienne devait être inexistante pour permettre ce genre de chose.
L'avion s'arrêta enfin et Phill et moi-même sortîmes pour descendre ensuite par
les longs escaliers mobiles qui avaient été posés contre la porte. La foule que
nous avions vue était réunie maintenant au pied de l'escalier. Que se
passait-il? Cela ne prit que quelques secondes pour résoudre le mystère. Ils
étaient là pour
m'accueillir!
La
première personne à s'approcher fut Ubirajara, qui me présenta rapidement à son
fils. D'autres mains tendues qui saisirent les miennes étaient celles du maire
de Varginha. J'étais totalement bouleversé par un tel accueil enthousiaste et
chaleureux. Nos bagages furent rapidement posés dans des véhicules qui nous attendaient.
J'étais enfin à Varginha et, bien que je ne le susse pas à ce moment-là,
c'était le début d'une investigation extrêmement fructueuse.
Le
lendemain, Phill et moi-même prîmes une voiture pour 'L'institut d'Ufologie'
d'Ubirajara. Ce fut une surprise. Je n'avais jamais anticipé quelque chose de
ce genre au Brésil. L'installation était complète avec bibliothèque et salle de
conférence pour 40 personnes. Il y avait le dernier équipement technique pour l'audiovisuel
.Ils nous firent nous sentir comme chez nous et, très rapidement, nous
commençâmes à discuter de nos projets et de stratégie. Nombre d'entretiens à la
radio ou la télévision avaient été prévus ainsi que les moyens de transport
pour visiter des lieux clés. En outre, un certain nombre de témoins d'origine
avaient accepté que je les interroge avec une caméra. Mes oreilles se
dressèrent quand on me parla également de la possibilité d'une rencontre avec
de nouveaux témoins.
J''appris
plus tard que mon statut en tant qu'enquêteur ufologique médical avait joué un
rôle significatif en persuadant des témoins de parler. Cela faisait six ans
depuis la visite de John Mack, et la crainte qui avait empêché les gens de
parler aux étrangers depuis cette période semblait avoir diminué. Cela fut en
effet une bonne nouvelle et j'étais impatient de commencer. Et puisque
Ubirajara était l'enquêteur initial, il était normal que je l'invite à initier
les séances d'entretiens. Ils furent conduits à l'Institut avec son fils,
Rudolfo, en tant qu'interprète.
Ubirajara
commença par expliquer que malgré une très grande enquête, il restait des
aspects du cas qui n'étaient toujours pas très clairs, même pour lui. A cause
des déclarations contradictoires d'un des témoins, il y a même un doute quant à
la date exacte de l'incident. Cependant, le 20 janvier 1996 reste la date retenue.
Le
début de l'événement
Un
témoin, Carlos de Souza, vit un objet non-identifié descendre dans un champ
près de la ville de Tres Coracoes. La base militaire de Sergeant at Arms est
située à proximité. Carlos décrivit qu'il avait vu un cylindre, apparemment
endommagé à l'arrière, qui émettait de la fumée ou de la vapeur juste avant
l'impact avec le sol.Carlos conduisit sa voiture jusqu'au lieu du crash et il
vit des morceaux de l'épave éparpillés partout. Le plus grand morceau faisait
environ la taille d'un bus Volkswagen.
Mais
des militaires aperçurent Carlos et ils lui ordonnèrent de quitter les lieux.
Il partit, mais il conduisit jusqu'à un endroit où il put se garer et regarder
discrètement à distance. Il dit avoir observé une opération de nettoyage par de
nombreux militaires. Ils traversaient continuellement le champ, certains
d'entre eux avec des détecteurs de métaux, ramassant des matériaux en avançant,
et les plaçant dans des sacs. Ils les portèrent ensuite à un camion militaire
qui attendait.
Cependant,
un morceau de métal étant trop lourd pour être porté à la main, ils firent
venir une grue pour compléter la tâche. Cela semble écarter les rumeurs selon
lesquelles tous les matériaux étaient légers. Une fois chargés, les morceaux de
l'épave furent transportés à la base militaire à proximité. Il s'avéra que
Ubirajara et son équipe trouvèrent bien des empreintes dans le sol faites par
une grue, dans le champ en question. A un endroit, la profondeur des pieds de
la grue semblait indiquer qu'elle avait en effet soulevé un objet très lourd.
Cependant la partie la plus embrouillée de cet incident est celle qui a eu lieu
à 8h30 le 13 janvier 1996 - une semaine avant la date acceptée du 20 janvier.
Les
créatures
Il
est maintenant établi qu'il y eut au moins deux créatures extraterrestres, et
peut-être jusqu'à cinq, impliquées dans les événements du 20 janvier. Une
partie de la confusion sur leur nombre exact pourrait s'expliquer par le fait
qu'une ou plusieurs des ces créatures auraient pu être observées par des
témoins différents.
Ce
matin-là, des ouvriers qui travaillaient sur le toit d'une maison virent ce
qu'ils pensèrent être une sorte d'exercice militaire dans un champ longeant un
endroit forestier. Ensuite arrivèrent des pompiers de la ville de Varginha
(également des militaires).
Un
des pompiers déclara avoir vu une créature d'apparence bizarre se tenant dans
le champ, et dont la description concordait avec celle d'autres témoins.
Les
pompiers l'approchèrent et, comme elle ne montrait aucun signe de résistance,
ils lui jetèrent un filet sur la tête et le corps. Ils la placèrent dans un
coffre en bois, l'emmenèrent dans un camion à plate-forme et la conduisirent
sous une bâche à l'École de Sergeant at Arms.
Un
homme qui faisait du jogging entre 13h et 14h déclara avoir vu environ six
militaires occupés à faire des recherches dans le même champ.
Par
curiosité, il s'arrêta pour voir de plus près. Il entendit alors un coup de feu
et peu de temps après il vit deux soldats sortir d'une partie boisée, chacun
d'eux portant sur les épaules une sorte de sac de toile. Il dit avoir vu un
mouvement dans un des sacs, comme s'il contenait quelque chose de vivant qui se
débattait pour sortir. Il n'y eut pas de mouvement apparent dans l'autre sac.
Il observa que les deux sacs furent chargés sur un camion militaire qui est
parti vers une destination inconnue.
Vers
15h ce même après-midi, trois jeunes filles rentraient à pied dans le quartier
où avaient eu lieu plus tôt ces événements étranges et inquiétants. Au moment
où elles s'approchaient d'un endroit résidentiel peu peuplé, elles remarquèrent
'une petite personne' accroupie ou à genoux par terre près d'un mur en béton Curieuses,
les filles s'approchèrent et elles se rendirent vite compte qu'elle était
différente de tout ce qu'elles avaient vu auparavant. Sa peau était brillante,
comme si elle était imbibée d'huile, et de couleur marron. Il y avait trois
bosses, petites mais visibles, qui sortaient de sa tête chauve, qui était
grande, en disproportion avec son corps, une tête qui avait deux yeux rouges et
perçants.
Croyant
qu'il s'agissait du diable, une des filles hurla et rentra chez elle en
courant. Une autre s'attarda un instant et remarqua que la créature avait
tourné la tête. Dans un entretien ultérieur, elle me dit que pour un bref
moment leurs yeux se rencontrèrent, au point qu'elle ressentit instinctivement
de la pitié et plein de remords pour l'entité.
Je
réussis à interviewer deux des trois filles, Valquiria et Liliane. La
troisième, Katia, qui était mariée, avait quitté la ville. Aucune des filles
n'avait parlé avec Katia jusqu'à peu de temps après ma visite. Valquiria et
Liliane réagirent différemment pendant mon entretien. Toutes les deux
exprimèrent des sentiments de terreur, mais l'une d'elles, je m'abstiens de
dire laquelle, ressentit des émotions profondes. Elle me dit qu'elle fut
convaincue que la créature n'était pas un animal, mais un "être" avec
une grande intelligence. Je la priai plusieurs fois de réfléchir, et de se
demander si elle avait pu se tromper, que peut-être ce qu'elle avait vu en
réalité était un animal, en dépit de son état de détresse et de son apparence débraillée.
Elle tint avec véhémence à son histoire.
Plus
tard dans la même soirée, entre 18h et 18h15, et dans le même lieu
géographique, il y eut un autre événement rapporté. Il s'agissait de deux
officiers de la police militaire qui, en traversant un carrefour dans leur
véhicule, virent une créature étrange qui traversait la route.
Leur
description correspond exactement aux autres créatures observées plus tôt ce
jour-là. Un des officiers quitta son véhicule et s'approcha de la créature qui
ne fit aucun effort pour résister ou s'enfuir. Il la plaça sur la banquette
arrière de la voiture et s'assit à côté d'elle pendant que son collègue
reprenait le volant. Pensant que la créature avait besoin d'attention médicale,
ils l'amenèrent à une petite clinique rurale. Cependant, ce n'était qu'un poste
de premiers secours, et le manque d'équipement convainquit les policiers de
transporter la créature à un petit hôpital privé situé dans la ville. J'ai pu
déterminer que la créature fut soignée pour une fracture multiple de la jambe,
à l'Hospital Regional. Elle y resta pendant environ 24 heures.
L'entité
fut ensuite transportée à l'Humanitas Hospital, beaucoup plus grand. Au
moment du transfert, on dit que la créature était vivante et dans une condition
médicale satisfaisante. Malheureusement, il paraît qu'elle décéda plus tard
lors de son séjour dans cet établissement. On me dit cependant que le personnel
médical lui administra une grande quantité d'oxygène. Même si cela était fait
avec les meilleures intentions, peut-être pour soulager une détresse
respiratoire, il y a des personnes qui pensent que cela a pu être la cause de
son décès.
Selon
les témoignages de personnes qui les avaient vus, le lendemain, deux ou
peut-être trois véhicules civils, un Hummer militaire, et plusieurs
camions militaires s'approchèrent en marche arrière d'une porte arrière de
l'hôpital. Elles rapportèrent avoir vu une caisse en forme de cercueil avec le
couvercle ouvert, chargée sur un camion à plate-forme. Le couvercle fut ensuite
fermé avant que le camion et les véhicules d'escorte s'en aillent à la base Sergeant
at Arms.
D'autres
détails dans ce cas seront familiers à la plupart d'entre vous, mais les voici
en résumé: la destination finale des corps fut une université à Campinas (Unicamp)
dans l'Etat de Sao Paulo; on y aurait effectué une autopsie dans une
installation souterraine construite pendant la guerre civile brésilienne; selon
une rumeur, l'autopsie fut faite par un pathologiste mondialement connu, celui
qui avait identifié les os du criminel de guerre nazi, Josef Mengele; on prétend
qu'un certain nombre de personnels américains y assista et que la dépouille fut
finalement transportée aux Etats-Unis.
Un
nouveau témoignage
J'ai
eu la chance de pouvoir faire un entretien avec vidéo d'un témoin qui n'avait
jamais accepté d'être interrogé auparavant. C'était l'épouse d'un agent de la
police militaire. Il s'avéra que c'était le même policier qui avait accompagné
une des créatures sur le siège arrière de sa voiture. Sa mort fut soudaine et mystérieuse,
et elle survint dans les quinze jours suivant son exposition à l'entité. De
nombreuses personnes me dirent que ses symptômes ressemblaient à ceux du virus
meurtrier de l'Ebola.C'était une dame très discrète et douce qui ne parlait pas
un mot d'anglais. Bien que nous ayons un interprète, il devenait rapidement
évident à tout le monde présent qu'elle n'avait pas l'intention de nous donner
la moindre information. L'entretien, tel qu'il était, a duré à peine 10
minutes.Cependant, il était assez long pour me donner l'impression durable que
voici: celle d'une femme terrifiée. Elle ne pouvait même pas expliquer pourquoi
son mari avait été emmené d'urgence à l'hôpital ni parler de ses symptômes.
Elle dit n'avoir jamais reçu de certificat de décès ni aucune forme de
compensation, ni de la part de l'armée, ni du gouvernement. J''arrivai à la
conclusion que cette femme avait été intimidée pour l'empêcher de parler. Les
enquêteurs de la région pourraient peut-être vérifier son histoire avec une recherche
des archives, des relevés de compte bancaire, etc…)
Trois
mois après l'événement initial du 20 janvier 1996, une habitante de la ville se
trouvait avec son mari à une réception qui eut lieu au Zoo de Varginha. A un
moment donné, elle est sortie pour allumer une cigarette et fut choquée de voir
une créature humanoïde la regardant de l'autre côté d'un grillage, à une distance
d'à peine un ou deux mètres. Elle cria et rentra en courant pour chercher son
mari. Cependant, quand ils revinrent, la créature avait disparu. La description
qu'elle fit plus tard de la créature correspondait aux précédentes. Mais avec
une exception: cette créature particulière portait un casque et il était de
couleur dorée. J'eus ensuite l'honneur d'être invité à la caserne des pompiers
de Varginha. Il me fut interdit de prendre des photos ou de filmer, selon la
loi brésilienne, mais on me fit visiter les lieux et je pus voir leur
matériel
et leur camion, le même apparemment qui fut utilisé pour la capture de l'une
des créatures. Il s'avéra que toute l'équipe qui était impliquée dans
l'incident fut mutée une semaine plus tard. Cependant deux pompiers parmi
l'équipe actuelle dirent qu'ils étaient toujours en contact avec eux, nous
devons donc espérer qu'un jour nous pourrons retrouver la trace d'un ou deux
d'entre eux et les interroger.
Le
témoignage médical
Il
y a des moments où je suis convaincu que ma place dans ce sujet est ordonnée
par quelque force supérieure. J'ai certainement quelqu'un à remercier après
avoir appris qu'un petit nombre de personnels médicaux acceptait de me parler,
mais hors caméra, d'une 'créature' qu'ils avaient soignée en 1996. Après m'être
remis du choc initial, nous arrangeâmes en hâte un rendez-vous. Au moment et au
lieu prévu, nous nous retrouvâmes face à face pour la première fois. J'avais
avec moi un interprète, et j'avais le sentiment que ceci allait être un moment
déterminant de cette enquête.
Au
début, ce groupe de personnes se comporta comme s'il était trop terrifié pour
me faire part de quoi que ce soit. Je gagnai lentement leur confiance, les
personnels médicaux se concertant entre eux, et l'histoire se révéla
progressivement. Ils nièrent catégoriquement les rumeurs qui disaient qu'une
autopsie avait été faite sur l'une des créatures dans un hôpital de la ville.
Je
voulais savoir comment ils pouvaient en être si sûrs, et quel fut leur rôle
dans tout cet événement. Ils me dirent que ce qu'ils allaient me raconter
venait de la part de leurs amis. Cependant, au fur et à mesure de la
progression de l'entretien, leurs manières et leurs émotions trahirent une implication
beaucoup plus profonde. Ils n'avaient pas entendu parler de ces choses par
quelqu'un d'autre, ils y avaient participé personnellement.
Voici
ce qu'ils m'ont dit:
1 – Le 20 janvier 1996, une entité
de type humanoïde fut emmenée à l'hôpital, escortée par un contingent militaire.
2 – L'entité souffrait d'une
fracture multiple de la jambe (je ne pus pas savoir quelle jambe, droite ou gauche).
3 – Ils décrivirent l'entité comme
mesurant moins de 1m50. Sa peau était de couleur marron, et brillante ou huileuse.
Ils décrivirent sa peau comme réticulée avec les contours visibles de grandes
cellules, ressemblant à une peau reptilienne, mais lisse. Ils ne pouvaient pas
sentir au toucher de parties saillantes qui indiqueraient vraiment la présence
d'écailles. Ils ne discernèrent pas d'odeur particulière.
4 – La tête était grande en
proportion du reste du corps, avec trois arêtes osseuses en parallèle et aucun cheveu.
Deux de ces arêtes se situaient de chaque côté du crâne allant de l'avant à l'arrière,
et l'autre était au centre.
5 – Les yeux étaient grands, de
couleur rouge et légèrement relevés sur les côtés extérieurs. Ils décrivirent les
yeux comme 'exigeants' quand ils les regardaient directement. Ils semblaient
aussi brillants et humides.
6 – Aux mains il y avait 4 doigts,
longs et flexibles. Chaque doigt pouvait s'articuler avec les autres. Il n'y avait
pas de poignet évident.
7 – Les pieds étaient étranges,
avec trois orteils centraux et courts sur le devant du pied tandis que sur un côté
se trouvait un autre appendice de type préhensile qui se tournait vers le bas
dans une position de repos. A l'extrémité de cet appendice se trouvait une
griffe qui mesurait entre 2 et 2,5cm. La description du pied s'avère concorder
avec l'empreinte trouvée dans de la terre molle où Katia, Valkiria et Liliane
avaient vu une créature à genoux ou accroupie à côté du mur.
8 – Les os furent décrits comme
étant de couleur semblable aux nôtres, mais ils avaient de nombreuses perforations
et une force de tension qui les rendaient beaucoup plus forts que les os
humains. Ils me dirent qu'ils ressemblaient aux os affectés par l'ostéoporose,
ce qui est anormal dans un os humain. On me dit également que l'os se guérit
dans les 24 heures suivant la réduction des fractures. Les tissus superficiels
et de la peau se guérirent également dans ce temps.
9 – Le sang fut décrit comme étant
similaire en couleur et consistance au nôtre, mais le microscope révéla un
nombre bien supérieur de plaquettes. Le sang coagulait presque instantanément
après être sorti des vaisseaux.
10 – La créature fut décrite comme
ayant une série de vaisseaux sanguins saillants sous la peau de ses épaules, un
peu comme nos varices, seulement ils ne se prolongeaient pas jusqu'au cou. Ce
groupe de personnel médical dit également que quand ils regardèrent directement
l'entité dans les yeux, ils se trouvèrent incapables de détourner leur regard.
L'entité
'téléchargea' télépathiquement une quantité importante d'informations, y
compris certaines concernant les humains. Ils n'en donnaient pas beaucoup de
détails et je n'allais pas insister. Une des choses qu'ils m'apprirent
cependant, c'était qu'en cas de blessure les entités étaient capables de
s'auto-guérir, soit individuellement ou en tant que groupe. Elles n'avaient pas
besoin d'hôpitaux. Ils décrivirent l'entité comme intelligente, et ils
ressentirent chez elle un grand souci concernant notre survie sur la Terre. A
un moment dans l'avenir, j'espère être invité à revenir dans ce pays
merveilleux et enchanteur et aller plus loin dans l'enquête sur ce cas. J'ai la
conviction qu'une forme de preuve physique de cet incident attend qu'on la
découvre. Si j'ai la chance de l'obtenir, soyez assurés qu'elle sera traitée en
tant que science dure.
Source : http://www.ovni.ch/guest/leir.htm
Source : http://www.ovni.ch/guest/leir.htm
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