NOE


La genèse affirme que « Noé trouva la faveur du Seigneur... Noé fut un homme vertueux ; il fut sans blâme dans cette époque. Noé marcha avec Dieu. » Le seul autre patriarche qui, « marcha avec Dieu » fut Henok qui fut déifié pendant sa vie.

Bien que Noé n'ait pas été déifié ou rendu divin dans la littérature religieuse, son équivalent sumérien, Utnapishtim fut rendu immortel et envoyé vivre avec les dieux. Pour certaines raisons, la prêtrise hébraïque décida de ne pas immortaliser Noé.

Comme son neveu Melchisédech, Noé fut physiquement différent. Dans le Livre perdu de Lamek, de petits fragments retrouvés dans les Manuscrits de la Mer Morte, Noé fut si différent physiquement quand il est né que Lamek plaida à son père Mathusalem qui, à son tour, demanda à Henok si Noé avait été conçu par les Néfilim.

On dit à Mathusalem que Noé ne fut pas d'un des êtres divins mais fut de son propre fils Lamek. Quelle est donc cette différence physique qui dérangea tant Lamek ? Était-ce la différence qui causa une telle consternation à Noé et à ses fils après le Déluge ?

La Genèse 9 met beaucoup d'emphase sur l'incident après le Déluge quand Noé, enivré d'avoir bu trop de vin, s'écroula dans une stupeur ivre dans sa tente. Ham entra et vit son père nu et le dit à ses deux frères qui allèrent chercher du tissu pour couvrir Noé. Sachant que son fils Ham l'avait vu nu, Noé perd tout sens de raison et met une malédiction sur Ham et son fils Canaan.



On se questionne au sujet de cette réaction irrationnelle. Était-ce parce que Noé voulait cacher les vestiges de son passé extraterrestre ? La sensibilité de Noé d'être vu nu peut seulement signifier qu'il portait le signe des Néfilim.

Les relations entre les êtres humains et les Néfilim et leurs progénitures furent si tendues juste avant le Déluge qu'ils se battirent ouvertement et, tout vestige de descendance (peu être reptilienne) chez l'homme fut considéré un « insigne de honte ». Melchisédech fut emmené par la divinité pour éviter que les gens le tuent.



L’ARCHE DE NOE

« Le bateau que tu construiras, ses dimensions seront sur mesure. Égales seront sa largeur et sa longueur. Comme l'Abzou tu la scelleras ». Compte sumérien de l'Arche

LA CONCEPTION ÉTRANGE DE L'ARCHE DE NOÉ

Dans les illustrations, l'arche de Noé est habituellement représentée comme un ancien vaisseau marin avec une coque arrondie, une proue et une poupe pointue et une quille courant la pleine longueur du navire. Sur son pont, une cabine court la longueur du navire. Bien sûr, cette description est de la pure fantaisie et est fondée sur des dessins courants de la fin du Moyen-âge en Europe. Nous n'avons aucune idée précise de la forme exacte de l'arche. Dans l'ancienne littérature, on trouve seulement deux descriptions du navire mais, selon les standards des ingénieurs navals, ni une ni l'autre ne sont acceptables puisqu' ils ne sont pas en état de naviguer.

L'Ancien Testament le décrit comme une boîte rectangulaire avec des côtés droits, sans proue, ni quille et ni coque. En fait, le mot hébreu utilisé pour le vaisseau est celui d'une boîte ou d'un récipient. Cependant, on peut excuser les Hébreux pour leur fausse interprétation puisqu'ils furent un peuple agreste qui avait peu sinon aucune expérience maritime.

Mais cela n'est pas une excuse pour la description de l'arche dans le compte sumérien du Déluge. Si on croit les traducteurs, il est représenté comme un cube. Ceci n'est pas très convaincant puisque les Mésopotamiens furent une nation de marins. Les Sumériens et les peuples qui les suivirent furent bien renseignés sur les principes de construction de vaisseaux et de navigabilité. Toutes les villes sumériennes avaient accès à la mer et des vaisseaux sont souvent décrits à l'ancre dans ces ports sumériens.

Évidemment, il y a quelque chose qui cloche dans les comptes sumériens ou dans la traduction et l'interprétation des textes fournis. Il est absurde qu'un peuple marin décrive l'arche comme un cube.


L'ARCHE DANS LA GENÈSE

Dans l'Ancien Testament, l'information à propos de la configuration de l'arche de Noé provient du chapitre 6 de la Genèse. Il existe de petites parcelles d'information dans d'autres sources religieuses. Le texte complet de la Genèse qui fournit la description de l'arche est comme suit : (Gen. 6:14-16)

« Fais-toi une arche en bois résineux, tu la feras en roseaux et tu l' enduiras de bitume en dedans et en dehors. Voici comment tu la feras : trois cents coudées pour la longueur de l'arche, cinquante coudées pour sa largeur, trente coudées pour sa hauteur. Tu feras à l'arche un toit et tu l'achèveras une coudée plus haut, tu placeras l'entrée de l 'arche sur le côté et tu feras un premier, un second et un troisième étages ».

L'arche est appelée « teba » signifiant une boîte, un coffret ou un compartiment en Hébreu. Elle est décrite comme une boîte rectangulaire avec un fond plat et des côtés droits, 300 coudées de long, 50 de large et 30 de haut. Puisqu'une coudée hébraïque représente 18 pouces [45 centimètres], ses dimensions furent 450 pieds de long [162 mètres], 75 pieds de large [27 mètres] et 45 pieds de haut [16.2 mètres] et, comme telle, elle déplaçait 43,300 tonnes.

Bien que les Hébreux aient un mot pour vaisseau, pour quelque raison, ils ont choisi de l'appeler une boîte ou un coffret. Cette boîte de Noé ne fut pas navigable et, telle que décrite, fut simplement une boîte rectangulaire sans quille, coque et autres éléments essentiels nécessaires pour naviguer en mer.

Cette boîte rectangulaire de Noé aurait ballotté sans contrôle en mer orageuse et aurait sûrement souvent renversé causant d'énormes problèmes à ses occupants. Il est possible que les Hébreux l'appelèrent une boîte ou un coffret plutôt qu'un vaisseau parce qu'ils furent un peuple de la terre et ne savaient rien de la mer ou de la navigation en rivière et encore moins de la planification et de la construction de vaisseau.

Les chroniqueurs hébreux ont peut-être pensé que le mot récipient serait plus facile à comprendre pour leurs gens pastoraux. Cela indique que la légende du Déluge fut sûrement manipulée et modifiée par les prêtres hébreux du temps pour convenir à leurs besoins.

L'histoire du Déluge fut connue mondialement et, dans le Moyen-Orient, nous la trouvons dans l'Épique de Gilgamesh qui, croit-on, fut écrite vers l'an 2000 avant J.-C. de contes sumériens retournant aux jours d' un roi appelé Gilgamesh qui gouverna au 28ème ou 29ème siècle avant J.-C.

Le tout début de la Genèse ne fut pas mis par écrit beaucoup avant l' an 1000 avant J.-C. et est apparemment une version du conte sumérien qui circula en Mésopotamie et dans le Levant soit en Akkadien ou en Sémite. Il indique que l'histoire de l'Ancien Testament subit plusieurs changements et corrections jusqu'à ce qu'il fasse partie du livre de la Genèse.

Cette « boîte » de Noé avait trois ponts et plusieurs cellules ou compartiments non spécifiés. Elle avait une porte sur son côté et une ouverture sous la ligne du toit pour laisser entrer la lumière. La phrase, « Tu feras à l'arche des lucarnes (tabatières) dans la dernière coudée en haut ; ... » fut interprété par plusieurs érudits bibliques pour signifier que Noé devait construire une ouverture pour la lumière tout autour de l'arche.

Le vaisseau fut construit de virgiliers à bois jaune (Cladrastis lutea), une expression qui est complètement non identifiée. Le mot n'a pas d'origine en Sumérien ou en Akkadien et est un mystère puisqu'il n 'apparaît nulle part ailleurs dans les Saintes Écritures. Vu ces preuves, nous suggérons qu'il ne fasse pas référence à un bois naturel mais plutôt à un bois traité, rendu imperméable semblable au bois de charpente d'aujourd'hui qui est traité sous pression.



LES PROBLÈMES AVEC LE DESIGN DE L'ARCHE SUMÉRIENNE

La plus vieille histoire connue du Déluge se trouve dans l'Épique de Gilgamesh où Utnapishtim est dirigé à construire un vaisseau pour survivre la catastrophe qui approche. Le nom sumérien du héros est Ziusdra tel qu'énoncé dans l'Épique d'Atrahasis, le conte originel du Déluge. Utnapishtim est le nom akkadien ou sémite du héros et il est le héros de l'Épique de Gilgamesh, la version sémite mieux connue de l 'histoire du Déluge.

Dans le conte sumérien, le mot utilisé est « magurgur » ou « très grand vaisseau ». Dans la version akkadienne ou sémite de l'Épique, elle est aussi appelée un grand vaisseau de « elippu rabitu ».

Contrairement aux trois ponts de l'arche de Noé, l'arche d'Utnapishtim a sept ponts et est divisée en neuf sections ou compartiments. Elle avait aussi une porte et une sorte de fenêtre. Les traductions traditionnelles la décrivent comme étant un cube exact, avec la hauteur, la longueur et la largeur chacune de 120 coudées. Puisque la coudée akkadienne fut de 20 pouces [46 centimètres], chaque côté du cube parfait du vaisseau aurait mesuré 200 pieds [72 mètres].

De nouveau, nous avons ce problème d'absence de navigabilité. Bien que les érudits aient insisté à traduire la configuration de l'arche d' Uthnapishtim comme un cube parfait, la logique nous dit que ce design n'a aucun sens pratique.


En mer orageuse, un cube serait très instable et roulerait sans cesse. Les occupants seraient vraiment instables ! Avec sa cargaison humaine et animale, il semble que sa stabilité serait le facteur le plus important dans son design et sa construction.

Dans son étude « The Gilgamesh Epic and Old Testament Parallels », le distingué savant Aleksander Heidel souligna le problème d' interprétation où certains érudits croient qu'un design circulaire de l'arche serait beaucoup plus pratique et que le texte se prête facilement à cette interprétation. Cependant, leurs vues furent sommairement rejetées par d'autres érudits.

Dans le texte, il n'est pas clair si le chiffre de 200 pieds pour la largeur du bateau s'applique au diamètre ou au rayon du vaisseau. Si le dernier est vrai, le vaisseau serait alors de 400 pieds [144 mètres] de diamètre et 200 pieds en hauteur ou en largeur. De plus, le conte sumérien ne mentionne pas de cube mais dit simplement « égale sera sa largeur et sa longueur ». Ceci s'applique également à un design circulaire.

Si un design circulaire est postulé, alors les neuf compartiments seraient disposées comme les rayons d'une roue, en forme de quasi triangles. Un design de type ellipsoïde tel les submersibles modernes aurait été plus sensé et le doterait de stabilité dans les mers violentes.

Le conte sumérien révèle aussi que le dieu Shamash [prince Outou, commandant de l'espace nibirouen] joua un rôle clef mais non identifié dans sa construction aussi bien que dans l'avertissement à Utnapishtim quand lancer le vaisseau. Puisque Enki fut le Dieu sumérien de la construction navale et logiquement, le conseiller sur la construction du vaisseau, par la tradition, il aurait dû être celui qui dirigeait Utnapishtim plutôt que Shamash, le dieu et l'astronaute en chef qui fut responsable des fusées et véhicules spatiaux.

Cette assistance divine est aussi notée dans l'ancien document religieux le Livre éthiopien d'Henok où l'arche fut conçue par la divinité et construite par un groupe d'anges qui vraisemblablement sont les astronautes ingénieurs de Shamash.La forme circulaire de l'arche avec une rangée de fenêtres le long du sommet et conçue par l'astronaute chef Shamash résulterait, en toute probabilité, en un vaisseau de forme ovale ou de soucoupe. Il y a aussi des preuves que l'arche d'Utnapishtim fut propulsée par une sorte de tringle faisant partie d'un système de propulsion, la rendant ainsi manoeuvrable et capable de maintenir sa stabilité en mer orageuse.



Source : http://graal.over-blog.com/categorie-129470.html



Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire