L'âge de l'Homme



 Homo erectus, notre plus vieil ancêtre ? Les anthropologues ont beau l'affirmer, ce n'est pas de la science. Ce n'est qu'une opinion, assez peu fondée en vérité. De nombreux fossiles d'Homo sapiens pourraient lui être très antérieurs.

 "L'âge réel de l'homme est une chose que l'on ne peut même pas imaginer. Une évidence biologique s'impose : il n'est en aucun cas d'extraction récente, son lignage est extrêmement ancien. L'origine de l'homme est nimbée de mystère : les chaînons manquants n'y manquent pas ! La branche centrale des primates n'a pas cessé de se développer, éons après éons. Mais la continuité des branches latérales nous échappe dans plus d'une douzaine d'occasions dans l'histoire du monde.

Or ce sont les seules dont nous connaissions les formes antérieures."

 Voilà le bilan de nos connaissances scientifiques. Ce texte a été écrit il y a plus de soixante-dix ans. Or dans ce long intervalle de temps, l'état de nos connaissances scientifiques sur notre origine n'a guère progressé. Une théorie qui s'avère infructueuse, tôt ou tard, doit être abandonnée si l'on se soucie d'efficacité, ce qui n'est pas le cas des émules de Darwin...

 L'extrême ancienneté de l'homme, hypothèse  fondée en vérité, est un énorme pavé dans la mare des paléoanthropologues. Déjà, bravant Darwin et sa théorie de l'évolution, certains francs-tireurs pensent que les hominidés sont postérieurs à l'homme. Nous avons en tout cas une origine beaucoup plus lointaine que dans leur version officielle, celle de Wikipédia et des vieilles chouettes sur leurs perchoirs universitaires. Pourtant, malgré les freins idéologiques, notre ancienneté a pris du galon en trois siècles. La Bruyère écrivait : "Tout est dit, et l’on vient trop tard depuis plus de sept mille ans qu’il y a des hommes et qui pensent" (source)L'Homo sapiens sapiens n'avait alors que 7 millénaires d'ancienneté, on lui en donne à présent 150. La science  est encore loin du compte mais patience, la vérité finit toujours par s'imposer...

 ...même aux scientifiques !!

 En dépit du culte de Darwin, de nombreux fossiles d'H sapiens ont été découverts dans des couches géologiques datées de plusieurs centaines de milliers d'années. Mais à cause du culte de Darwin, comme l'âge de ces fossiles dénonçait le dogme, ils ont été perdus, cédés à des collectionneurs ou enfouis dnas les "enfers" des musées. David Childress cite des fossiles d’homme moderne vieux de 300.000 ans, 500.000 ans, et même un million d'années. D'autres auteurs vont jusqu'à 5 millions d'années et plus.

 Le site Les Découvertes Impossibles, fidèle à sa vocation de découvreur, nous livre ce nouveau scoop : "En 1842, un crâne humain, mal préservé, est trouvé dans du lignite vieux de 15 à 50 millions d'années. Cet objet fait partie de la collection de l'Académie Minière deFreiberg. En juillet 2005 M. Mohammed Zaraouit a découvert dans une carrière de marbre à Tafilalet, dans une couche géologique du dévonien un petit crâne fossilisé d'un primate qui devait être bipède et âgé de 360 millions d'années !"  


Des magazines comme Nexus ou Top Secret diffusent régulièrement des infos de ce type. Témoins ces traces de pas humains vieilles de 200 millions d'années. Le fossile montre l'empreinte d'une semelle de chaussure moderne. On voit distinctement la marque plus profonde du talon. Ces traces ahurissantes sont toujours visibles sur le site de la Paluxy River près de Glen Rose, Texas, USA. En 1988, L'Erreur de Darwin cite des découvertes bluffantes.



Face à de telles évidences, un vertige nous saisit. Non seulement Darwin se serait trompé au sujet de nos origines, qu'il importe de reculer considérablement, mais on est encore une fois sidéré de constater à quel point l'histoire se répète : des semelles de chaussures modernes il y a 200 millions d'années ! Alors, quand est-ce que toute l'histoire a vraiment commencé ? La science va-t-elle reculer notre origine de plus en plus loin dans le temps, jusqu'à toucher ses limites, celles de la matière ?


 De là à affirmer que l'homme actuel ne descend ni du singe, ni d'aucun hominidé connu, le pas a déjà été franchi. Darwin n'a pas pu se tromper partout, ni ses émules paléo-anthropologues depuis 150 ans. Les dates d'apparition des autres hominidés sont peut-être justes. Auquel cas, ni l'Homo erectus ni l'Homo faber ne seraient nos ancêtres, mais d'autres espèces apparues beaucoup plus tardivement que nous. A une époque où la science était développée ? Qu'on le veuille ou non, ces semelles à talon ont de quoi dégommer tous nos clichés sur la préhistoire.

 Il semble y avoir eu, à des époques reculées, des civilisations comme la nôtre. Des nations assez développées pour que leurs généticiens puissent créer des sous-êtres qui travailleraient pour eux. Ne riez pas, l'encyclopédie assyrienne dit que ce scénario s'est déjà produit : des dieux ont fabriqué une variété d'êtres à leur service. Et ces larbins des dieux, c'est nous. D'où le danger de tenir pour acquises les théories et les croyances de la science.

 Dans chaque discipline scientifique, le poids des honnêtes gens semble insuffisant par rapport à celui des caciques. Mais ces vestiges décoiffants soulèvent une foule d'autres questions inouïes, dont la plus pressante concerne notre âge en tant qu'espèce. La science garde un silence assourdissant, empêtrée qu'elle est dans ses contradictions et ses crédos qui n'ont rien à envier aux œillères créationnistes.

 La paléo-anthropologie va-t-elle connaître sa révolution quantique ? Rejoignant la métaphysique par le biais de la théorie des champs, osera-t-elle s'aventurer dans des confins de plus en plus flous, de plus en plus ontologiques ? En ces temps improbables où le temps n'était pas, à l'aube du monde où l'esprit s'est incarné, ivre d'une puissance qu'il découvre en se confrontant avec la matière. L'esprit créateur a pris toutes sortes de corps physiques, mélangeant parfois l'homme et l'animal, usant de tailles démesurées. Mais qui est l'esprit créateur ? Un être à notre image. Un Homme qui est en nous. "Il n'y a pas de différence de nature entre l'homme et dieu. Juste une différence de degré."


 Même si nous l'oublions souvent, nous sommes des êtres de lumière, et cette lumière-là n'est pas du domaine de la science. Edgar Cayce évoque ces temps précédant l'arrivée d'Adam sur terre, quand les hommes étaient des projections de pensées, quand le corps, moins matériel que le corps actuel, comportait les deux sexes.


 Il date cette première incarnation de dix millions cinq cent mille ans. Alors d'où viennent ces traces de pas vieilles de 200 millions d'années ? Peut-on être sûr de ces dates ? En face de tels espaces d'éternité, la raison raisonnante n'est sans doute pas l'outil d'investigation adéquat. Ni la démarche scientifique, ni aucun dogmatisme. "Pour découvrir quelque chose sur l'homme, il faut aller voir le mythologue, tranquille collectionneur de fiction cosmique, qui n'a pas été pris vraiment au sérieux jusqu'à présent.

 Lui seul nous donnera le sens véritable des récits qui nous ont été transmis depuis des temps immémoriaux."  Depuis l'époque où ce texte a été écrit, le statut du mythologue, hélas, ne s'est pas amélioré. Pire : les tout-puissants néo-darwiniens nous vouent aux gémonies. Fantaisie et parti-pris seraient nos dogmes. Assurés d'être plus scientifiques que ces nouveaux prêtres, les mythologues s'en tiendront à leur spécialité.



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