ARTEFACTS / OOPARTS


La physique relativiste admet tout à fait  la possibilité de parcourir le temps comme une dimension ordinaire. Une machine baptisée chronoviseur aurait été réalisée au siècle dernier. Rien n'interdirait donc que nos descendants puissent aller visiter le lointain passé de notre planète, en y laissant empreintes, clous, vis, ou autres artefacts. Et rien n'interdirait que nous, avant leur naissance, nous trouvions ces bidules qu'ils laisseront traîner  il y a  super longtemps. D'ailleurs, les ovnis sont peut-être des voyageurs temporels issus d'un lointain futur de notre planète ?


MARTEAU ET CLOU DE FER EN ECOSSE : 360 a 460 millions d’années

Découverte à MyInfield en Ecosse d’un clou en fer et un marteau inséré dans la roche au milieu du XIXe siècle, en 1845. Dans un bloc de pierre de la carrière de Kingoodie. La tête du clou mesurait 2,5 centimètres. Elle était en contact avec une couche de gravier et légèrement corrodée, alors que le reste du clou était prisonnier de la roche.


Le marteau est inséré dans un bloque d’Arenaria. L’Arenaria, datée par le docteur à W. Med du Centre de Recherche Géologiques Britannique, remonte à une période comprise entre les 360 et les 460 millions d’années.

POT DE FER DE L’OKLAHOMA : 312 millions d’années

En 1912, à Thomas ( Oklahoma ), deux ouvriers employés de l’usine électrique municipale de Thomas, alimentant le four d’une centrale avec du charbon, en brisèrent un énorme morceau qui contenait un pot en fer. Ce pot de fer a été examiné par plusieurs experts. Selon Robert O. Fay de l’Oklahoma Geological Survey, le charbon de la mine de Wilburton a environ 312 millions d’années.




BAGUETTES CRANTEE a Vladivostok ( 300 millions d’annes )
"Une baguette métallique crantée, pressée dans du charbon, a été retrouvée par un habitant de Vladivostok, alors qu'il était en train d'allumer le feu dans sa cheminée. Il a montré son étonnante trouvaille aux scientifiques du Primorié (dont la capitale est Vladivostok). Ils ont conclu, après une analyse scrupuleuse, que l'objet datait d'il y a 300 millions d'années et qu'il avait été fabriqué par un être humain. Ils n'ont cependant pas pu déterminer qui l'avait fabriqué exactement."  



L'étrange artefact pressé dans du charbon est loin d'être un cas unique. Le premier objet de ce type, un vase, a été découvert en 1851 au Massachusetts lors des explosions des carrières. Ce vase en argent et en zinc pressé dans du charbon remonte à la période du Cambrien, commencée il y a 500 millions d'années. En 1912, en Oklahoma, un petit chaudron de 312 millions d'années a été, lui aussi, trouvé dans du charbon. En 1974, un objet inconnu en aluminium a été découvert dans les grès d'une carrière en Roumanie.


La pièce, qui ressemblait à un marteau ou au support d'une des jambes du train d'atterrissage du module lunaire Apollo "n'a pas pu pas être confectionnée par un être humain, car elle remonte au Jurassique", ont confessé les scientifiques non sans naïveté.


Pour eux, tout ce qui n'est pas conforme à leur credo sacré n'est pas scientifique. On en rirait si la chose n'était pas si tragique pour l'avenir de la connaissance. Dans l'article suivant, le lecteur trouvera l'étude d'un certain nombre de ces artefacts hors d'âge, pour la plupart récusés par les scientifiques « oxydantaux ». On comprend que toutes ces trouvailles surprenantes laissent les scientifiques sans voix, car elles sapent tous les fondements possibles de la conception de la science moderne. Mais on est gêné par leur mauvaise foi qui préfère l'ignorance à cette remise en question.

Dans un tel contexte, l'inexplicable artefact de Vladivostok n'a guère dérangé les scientifiques. Le charbon dans lequel cet objet a été trouvé a pu être daté de 300 millions d'années, d'où ils ont conclu tranquillement que la pièce métallique devait avoir le même âge. A mon tour d'être surpris ! Mais enfin, il n'y avait pas d'homme, d'après la science, il y a trois cent millions d'années ? Exact, répondent-ils, cette pièce métallique n'a donc pas été faite par l'homme.

Il est vrai que les savants russes nous ont habitué de longue date à une ébouriffante largeur d'esprit : dans l'affaire des nano-objets de l'Oural, ils ont émis sérieusement l'hypothèse que ces objets usinés minuscules aient pu provenir d'un accident d'ovni. Pour les Russes, l'hypothèse extraterrestre n'est pas extravagante. Et cette fois encore, ils ont recours à la même explication.


"Lorsque les scientifiques ont délicatement brisé le charbon, ils ont découvert un objet léger et souple d'une longueur de 7 centimètres, composé à 98 % d'aluminium et à 2 % de magnésium. On peut rarement rencontrer de l'aluminium pur dans la nature, donc les chercheurs ont supposé que la pièce a été fabriquée de manière artificielle. D'un autre côté, cet alliage peu commun leur a permis de comprendre comment l'objet a pu rester dans un tel état de conservation après tout ce temps. Sous sa forme pure, l'aluminium est recouvert d'une solide couche d'oxydes, qui lui permet de résister à la corrosion. Ainsi, l'alliage d'aluminium à 98 % supporte de hautes températures et un milieu naturel agressif.

Les scientifiques se demandent si cet aluminium vient de l'espace. Grâce à l'étude des météorites, la science a appris l'existence de l'extra-terrestre aluminium 26 qui se désintègre en magnésium 26. Les 2 % de magnésium présents dans l'alliage prouveraient justement la provenance spatiale de cet objet. Toutefois, d'autres recherches sont nécessaires pour prouver cette hypothèse.


La dernière chose qui a étonné les scientifiques est la ressemblance de cette pièce avec une crémaillère. Il est difficile d'imaginer que la nature ait pu concevoir un objet avec six crans parfaits et des intervalles aussi réguliers. De plus, l'espace entre chaque cran était étrangement large par rapport aux crans eux-mêmes. Il est possible que cette crémaillère fût une partie d'un mécanisme complexe. Ce genre de pièces est utilisé dans des microscopes modernes.


Une question survient : comment une pièce si complexe a-t-elle pu être conçue par un être humain il y a plusieurs millions d'années ?" L'article ajoute ceci : "Lorsque l'information sur cette découverte s'est répandue, certains ont émis l'hypothèse que la crémaillère appartenait aux OVNIs. Cependant, les chercheurs russes préfèrent ne pas tirer de conclusions hâtives et effectuer des études supplémentaires." 


 A force de trouver des objets manufacturés, usinés dans des métaux complexes, datant des dinosaures, les scientifiques vont avoir du mal à parler encore de singularités. Quand les singularités sont plus nombreuses que la théorie le prévoit, ce ne sont plus des exceptions, mais la règle. Alors il faut changer la théorie. Quant aux savants russes, à force de recourir à l'hypothèse ovni, ils devront admettre que la terre du Jurassique était couverte d'extra-terrestres. Des extraterrestres qui vivent sur terre, ce ne sont plus des extraterrestres...








LA PIERRE DE DAShKA
La carte du créateur estimée à 120 millions d'années


Docteur en sciences physiques et en mathématiques, professeur à l'Université d'état de Bachkirie, Alexandre Chuvyrov et son étudiant chinois Huan Hun, décidèrent, en 1995, d'étudier l'hypothèse d'une migration ancienne possible des chinois en Sibérie et en Oural. Au gré de leurs expéditions en Bachkirie, ils trouvèrent plusieurs gravures rupestres en vieux chinois ( traitant surtout de commerce, de mariage et de décès ), confirmant ainsi leur hypothèse.

Une fantastique découverte par les scientifiques de l'Université de la République Russe de Bachkirie :

Une tablette en pierre représentant une carte en relief de l'Oural, estimée à 120 millions d'années ! Pendant leurs recherches, ils découvrirent dans les archives du Gouverneur général d'Ufa des notes du 18ème siècle qui rapportaient l'existence d'environ 200 tablettes de pierre gravées inhabituelles près du village de Chandar, dans la région de Nurimanov. D'autres notes indiquaient qu'aux 17ème-18ème siècles, des expéditions de scientifiques russes dans l'Oural avaient étudié 200 tablettes blanches comportant des signes et des motifs.

D'autres notes encore, indiquaient qu'au début du 20ème siècle, l'archéologue A. Schmidt avait également vu ces tablettes blanches en Bachkirie. Puis, en 1998, le Pr Chuvyrov et son équipe se mirent en quête... mais sans succès ; à tel point qu'ils commençaient à penser que tout cela n'était que légende. C'est alors que le 21 juillet 1999, Vladimir Kraïnov, ex-président du conseil local de l'agriculture, révéla au Pr Chuvyrov l'existence d'une tablette enfouie dans sa cour.

        
Une semaine plus tard, les travaux commencèrent pour extraire la pierre de Dashka qui fut emmenée à l'Université d'Ufa pour étude. Après l'avoir nettoyée, les scientifiques n'en crurent pas leurs yeux: La pierre est en fait une carte tridimensionnelle de la région de l'Oural.
La pierre de Dashka pèse près d'une tonne et mesure 1m 48 de hauteur pour 1m 06 de large et fait 16 cm d'épaisseur. Elle est composée de trois couches :

-  La base, épaisse de 14 cm est en dolomite.
- La deuxième couche, ( la plus intéressante ), sur laquelle "l'image" est gravée, est en diopside, mais la
technologie de son "traitement" nous est encore inconnue...
- La troisième couche, épaisse de 2 mm, est en porcelaine de calcium et assure donc la protection de la carte
contre tout impact extérieur.
Son passage aux rayons X a révélé qu'elle était d'origine artificielle. Cette pierre a été usinée à l'aide d'outils de précision, son relief n'a pas pu être exécuté par un graveur de pierre. Elle ferait partie d'un "puzzle" de 340 m x 340 m, et le Pr Chuvyrov pense pouvoir localiser 4 autres éléments de l'ensemble..

Comme le relief général de la Bachkirie n'a pas trop changé en quelques millions d'années, ils parvinrent assez rapidement à identifier le mont d'Ufa et surtout son canyon, tout ceci en tenant compte de la géologie locale ainsi que des mouvements tectoniques. A l'aide de spécialistes en cartographie, physique, géologie etc., les différentes rivières de l'Oural ainsi que la faille d'Ufa à Sterlitimak, etc. furent identifiées. Tout ceci confirme la grande ancienneté de la carte à l'échelle 1 : 1,1 km.

En plus des rivières de la région, la carte montre un système géant d'irrigation avec notamment deux systèmes de canaux de 500 m de large, 12 barrages entre 300 et 500 m de large pour 10 km de long et 3 km de profondeur chacun. Ces barrages servant à alimenter les différents réseaux ont nécessité l'extraction d'au moins 1024 m3 de terre. En comparaison, le canal de la Volga au Don semblerait n'être qu'une simple éraflure. La Belaya actuelle semble avoir été à l'origine une rivière artificielle.

Les scientifiques ont pensé tout d'abord que cette carte pouvait être l'œuvre des anciens chinois à cause des inscriptions verticales qui figurent sur la tablette. Mais les inscriptions n'ont pu être déchiffrées même si le Pr Chuvyrov pense qu'un des symboles représente la latitude d'Ufa. Le Pr Chuvyrov et son équipe pensèrent également que la carte datait de 3000 ans, mais plus son étude avançait, plus son âge grandissait. Les datations au radiocarbone ont donné des résultats erratiques et non concluants. Une analyse plus fine de la pierre a révélé la présence en son sein de deux coquillages caractéristiques, l'un de 50 millions d'années, l'autre de 120 millions d'années. Mais rien ne permet de dire que ces coquillages n'étaient pas déjà à l'état de fossile lors de la création de la carte.

Le Pr Chuvyrov et son équipe pensent que cette carte a été fabriquée alors que le pôle magnétique était situé en Terre François Joseph il y a 120 millions d'années !

De nombreuses questions concernant cette pierre restent en suspens, non seulement en ce qui concerne sa datation mais également sur ses auteurs et sa fonction ? Selon le Centre de Cartographie Historique du Wisconsin, USA, qui a étudié les éléments de la pierre de Dashka, cette carte de navigation n'a pu être effectuée qu'à partir de relevés aériens. Ce type de travail est en cours au Etats-Unis. Il nécessite un traitement informatique puissant et l'utilisation de données satellitaires. Les américains prévoient l'achèvement de ces travaux d'ici 2010.

Il semble que ceux qui vivaient à cette époque et qui ont construit cette carte n'utilisaient que les voies maritimes ou aériennes car il n'y a aucune trace de route. Les auteurs de cette carte ( une civilisation antérieure disparue ? ) n'habitaient peut-être pas à cet endroit mais prévoyaient-ils une colonisation ? Le Pr Chuvyrov est évidemment très circonspect quant aux auteurs de cette carte : "Je n'aime pas parler d'OVNI ou d'extraterrestres. Appelons donc l'auteur de cette carte simplement ''le créateur".


vis en fer : 300 millions d'années


À l'été de 1998, les scientifiques russes qui enquêtaient sur une superficie 300 km au sud de Moscou, pour chercher des restes d'une météorite, ont découvert un morceau de roche qui renfermait une vis de fer. Les géologues estiment que l'âge de la roche est de 300 à 320 millions années.
La datation aurait été validée par la présence de silicium en grande quantité dans le bloc de roche dans laquelle la vis a été retrouvée, ce qui prouverait sa grande ancienneté.


Plusieurs scientifiques auraient étudié cette vis et auraient démontré que la vis avait été contenue dans des sédiments qui se seraient transformés en roche au cours des millions d’années qui se seraient écoulées. De plus, les analyses auraient montré que la vis a bien été fabriquée et n’est pas une formation naturelle...
Il semble à cette date que tous les scientifiques en question ont renoncé à aller plus loin dans leur découverte, très rapidement...




Vis effilée au Nevada : 21 millions d’années

En 1865, un morceau de feldspath, retiré d’une mine de Treasure City ( Nevada ), contenait les restes oxydés d’une vis effilée. La pierre est âgée de 21 millions d’années.


Objet métallique en forme de cloche : Plusieurs millions d’années

En dynamitant une roche solide à 5 m au dessous du niveau du sol, un objet métallique en forme de cloche haut de quatre pouces et demi, large de six et demi à la base, de deux et demi au sommet, épais de 1/8è pouce, a été retrouvé. Une enquête à son propos conclut à une antiquité considérable : la roche dynamitée était vieille de plusieurs millions d'années.



LES SPHERES D’afrique du sud : 3 millions d’années


En Afrique du Sud, au Transvaal Occidental, près d’Ottosdal, les mineurs ont remonté depuis 30 ans, près de 200 objets métalliques sphéroïdaux. Les professeurs de géologie, J.R. Mac Iver ( de l’université de Witwaterstand à Johannesburg ) et A. Bisshoff ( de l’université de Potsshefstroom ) ont étudié ces globes aplatis d’un diamètre moyen de 2,5 à 10 centimètres.
  
Ces sphéroïdes sont de couleur bleu acier avec des reflets rouges et tachetés de petits filaments blancs. Ils sont en acier au nickel, que l’on ne trouve pas à l’état naturel, ce ne sont donc pas des météorites ! Certains, accidentellement cassés, sont remplis d’un matériau spongieux qui se transforme en poussière au contact de l’air. Ces globes sont extraits d’une couche rocheuse datée géologiquement de 2,8 à 3 milliards d’années ( confirmé à l’aide de techniques de datation isotopiques ) ! Ils sont exposés au musée sud-africain de Klerksdorp, où le conservateur R. Marx a remarqué que mystérieusement, alors qu’ils sont enfermés dans leur vitrine, ils tournent lentement sur leur axe!






Une Poupée de pierre : 2 millions d'années

    
En Juillet 1889 a été découvert à Nampa, Idaho, USA, une petite figurine humaine lors d'une opération de forage d'un puits. Cela a causé un intense intérêt scientifique à l'époque. Incontestablement faite par des mains humaines, elle a été trouvée à une profondeur de 320 pieds (97,5 mètres), ce qui placerait son âge bien avant l'arrivée de l'homme dans cette partie du monde... La découverte n'a jamais été contestée, sauf pour dire que c'était impossible...
" Une petite figurine d'argile humaine recouvert d'oxyde de fer a été trouvée dans un puits de forage en 1889. Les enregistrements du forage montrent ainsi que pour atteindre la couche à partir de laquelle la figurine a été découverte, ils avaient pénétré la première cinquantaine de pieds (15 m) du sol, puis 15 pieds de basalte (4.6 m), puis des lits alternés d'argile et de sables mouvants jusqu'à une profondeur de 300 pieds (91,4 m), lorsque la pompe à sable a commencé à ramener des boules d'argile densément recouvertes d'oxyde de fer (certaines avaient plus de 2 pouces de diamètre - 5 cm). Dans la partie inférieure encore à cette couche, il y avait des preuves d'une surface de terrain enterrée là où de la terre végétale a été trouvée. A ce point, la figurine a été trouvée. A quelques pieds plus loin le lit de roches a été atteint. " - 
Son âge a été estimé (à l'époque) à 2 millions d'années - impossible.


LE VASE EN ALLIAGE ZINC-ARGENT : 1 million d’années



Le « Dorchester Pot - Le numéro de Juin de la revue Scientific American ( Vol 7 , 1851 p.298 ), rapporte qu'un « vase métallique » avait été dynamité hors d'une solide roche sur Meeting Hill à Dorchester, Massachusetts. L'histoire dit, « en remettant les deux parties ensemble, il a formé un récipient en forme de cloche, de 4 ½ pouces de haut, 6 ½ pouces à la base , 2 ½ pouces en haut et environ un huitième de pouce d'épaisseur " (1 pouce = 2,54 cm). Le corps du récipient était semblable à la couleur du zinc, ou d'un métal d'une composition incluant une partie considérable d'argent. Le vase est décoré, sculpté et incrusté de façon exquise.
La chose étrange cependant, est qu'il est remonté d'environ 15 pieds (4,57 m) au-dessous de la surface et était profondément ancré dans la roche. Cela indique qu'il était là depuis un temps extrêmement long.



Au fil des années il a été examiné par des experts, y compris le Musée des Beaux-Arts de Boston, qui exploite un laboratoire d'analyse des étapes de l'art, construit en collaboration avec le MIT. Les analyses ont été exécutées par une batterie complète de tests pendant 2 ans, qui n'ont pas réussi à confirmer son origine. Cependant, les géologues ont daté la matrice rocheuse où le vase a été trouvé à 1.000.000 d'années et les tests à l'acide sur le vase confirment que ceux-ci pourraient être des paramètres de temps crédibles.


Clou de fer en Californie : 1 million d’années

En 1845, à Springfield, monsieur De Witt brisa accidentellement un morceau de quartz aurifère qu’il avait ramené de Californie. A l’intérieur, se trouvait un clou en fer forgé de 5 centimètres, légèrement corrodé, absolument droit avec une tête parfaitement formée. La pierre est âgée d’un million d’années.

La Bougie de Coso : 500 000 ans





Nous sommes le 13 février 1961, Wallace Lane, Virginia MAXEY, et Mike Mikesell, les trois propriétaires d’un magasin de minéraux qui prospectaient dans la région des monts de Coso vont faire une découverte très étrange. Cette découverte fut plus tard appelé l’Artefact de Coso…

De retour dans leur magasin avec plusieurs échantillons, ils commencèrent à tailler les pierres et en découpant une des pierres en deux la lame se brisa. A l’intérieur on découvrit un cylindre de céramique incrusté dans un manchon de bois pétrifié. Les deux éléments étant reliés par des fragments de cuivres. Au milieu du cylindre se trouvait une tige métallique d’environ deux millimètres de diamètre.La pierre était composée d’argile pétrifiée, de plusieurs fossiles de coquillage et aussi d’un clou et d’une rondelle. Il y a aussi une importante quantité d’oxyde de fer. La pierre fut montré à un géologue qui affirma qu’il aurait fallut environ cinq cent mille ans afin que la nature puisse englober et pétrifier cet objet. Quant à l’objet en lui-même difficile de savoir ce que c’est. Certaines personnes pensent à un objet d’une civilisation très ancienne, comme les Atlantes, qui aurait pu concevoir cet artefact. D’autres pensent à un voyageur venu du futur qui aurait laissé cet objet par erreur avant de repartir dans son époque. Pour d’autres cet objet ressemble étrangement à une bougie d’allumage, tel celle des voitures. D’ailleurs plusieurs spécialistes automobiles semblent avoir identifié les bougies des voitures de marque Ford modèle T qui avait été vendu à de nombreux exemplaire dans les années 1920.

 
Les explications sur ce fait que cela pourrait être une bougie de voitures seraient que dans la plupart des cas, la corrosion se forme rapidement sur ce genre d’objet, et dans un environnement adéquat une concrétion se forme rapidement autour. Ce qui pourrait expliquer, si la bougie date des années vingt, pourquoi elle aurait été prise dans ce bloque. Des radios furent prise où l’on peut voir un peu mieux ce qui se cache à l’intérieur de cette concrétion.

 

Quelques années plus tard en 1969, l’objet fut vendu 25000 $. Hélas depuis plus aucune trace…
Difficile de conclure sur cette histoire, le manque d’analyse et le fait qu’il ai disparut ne peut vraiment nous donner aucune explication, peut être que si il refait un jour surface on pourra en savoir plus…

    
















Artefacts métalliques spiralés : 20 000 a 318 000 ans



Ce cas a été étudié et expliqué comme tel: ces pièces sont des déchets de fabrication d’une usine soviétique oubliée, qui ont été enterrés là, et les découvreurs russes de l’emplacement se sont trompé dans la datation de la couche “géologique”, qui était une couche artificielle. Les spirales de tungstène par exemple sont des filaments de tungstène pour des ampoules ordinaires. Cette explication a convaincu pratiquement tout le monde…


A partir de 1991, des prospecteurs d’or, puis des expéditions scientifiques ( mandatées par l’institut central de recherche scientifique de géologie et de prospection de métaux précieux et non-ferreux de Moscou ), ont découvert des objets, métalliques, spiralés pour la plupart, dont la taille varie de 3 centimètres pour les plus gros à 3/1 000e de millimètre !

Des milliers de ces artefacts ont été trouvés sur de nombreux sites dans la partie orientale des montagnes de l’Oural, sur les rives de plusieurs cours d’eau dans des couches sédimenteuses datant du pléistocène supérieur, à des profondeurs variant de 3 à 12 mètres.  



Ces objets ont été étudiés par l’Académie des Sciences russe de Syktyvka, Moscou et St Petersbourg, ainsi que par un institut scientifique d’Helsinki en Finlande : Les plus gros de ces objets sont en cuivre, tandis que les plus petits sont en tungstène ( point de fusion de 3410°c. ) ou en molybdène ( point de fusion de 2650°c. ).

D'où viennent-ils ? A quoi servaient-ils ? Les chercheurs russes en ont retrouvé des milliers. Hors de toute zone habitée, de tout vestige ou autre trace humaine. Pourquoi ces objets minuscules sont-ils si nombreux dans seulement quelques centaines de mètres carrés ? Leur concentration peut faire penser à un accident : l'explosion d'une machine, par exemple. Un crash à l'atterrissage. Un engin volant, à cette époque ? Usiné dans des métaux rares, nécessitant des fours à très haute température ?
En fonction du site et de la profondeur où ils ont été trouvés, l’âge de ces objets est estimé entre 20 000 et 318 000 ans !L’Institut de Moscou a publié un rapport d’expertise n° 18/485 du 29/11/96 qui conclut : “Les données obtenues permettent d’envisager la possibilité d’une technologie d’origine extra-terrestre.”

Préféreraient-ils le ridicule au sacrilège ? Pourquoi ne pas envisager une technologie bien terrestre, en effet ? Il y a 20.000 ans ou plus, mais oui, pourquoi refuser cette hypothèse a priori ? Certains auteurs ont estimé que des civilisations développées ont existé sur terre il y a des millions d'années. Même en restant dans le cadre étroit fixé par nos préhistoriens, l'énorme étendue du néolithique laisse le temps à l'homme, ingénieux par nature, de développer plusieurs civilisations comme la nôtre.




OBJET EN CUIVRE EN ILLINOIS 150 000 ans

En 1851, dans le Comté de Whiteside (Illinois), deux objets en cuivre ont été remontés d’une profondeur de 36 mètres lors d’un forage. Ils ressemblaient à un hameçon et à une bague, âgés d’environ 150.000 ans.


Pièce en alliage de cuivre en Illinois : entre 100.000 et 150.000 ans
En août 1870, à Lawn Ridge près de Peoria (Illinois), avec deux autres compagnons, J.W. Moffit trouva une pièce dans les gravats du puits artésien qu’ils étaient en train de forer. Le Professeur A. Winchell étudia l’objet composé d’un alliage de cuivre non identifié à l’époque. Malgré la morsure du temps, la pièce ronde présentait des arêtes bien découpées et une épaisseur remarquablement uniforme. Le dessin, représentant un visage féminin surmonté d’une couronne, semblait avoir été gravé à l’acide. Sur l’autre face, un animal aux longues oreilles pointues avec une longue queue effilochée, était accompagné d’un autre ressemblant à un cheval. Sur le pourtour des deux faces, les caractères d’une écriture inconnue se laissaient deviner. Trouvée à plus de 30 mètres de profondeur, elle pourrait être âgée de 100.000 à 150.000 ans.




Clou de fer au Pérou : entre 75 000 et 100 000 ans.
Au XVIe siècle, en 1572, un clou en fer fut trouvé dans la roche d'une mine du Pérou, il mesurait 18 centimètres. Il fut offert au Vice-roi espagnol du Pérou comme souvenir. La couche géologique dont il a été extrait est estimée entre 75 000 et 100 000 ans.

Une lentille polie : 2000 ans

Au British Museum se trouve une lentille comme l’on fabrique aujourd’hui avec les outils de la plus haute précision. On ne fabriqua des lentilles polies en Europe qu’au 16eme siècle pourtant celle-ci fut découverte au Proche-Orient et elle a 2000ans
    

Une pile de 2000ans
En Irak , au Musée de Bagdad , nous retrouvons plusieurs petits vases d’argile datant de l’époque du christ, peu être même plus ancien.
   


    
On y introduit un petit tuyau de cuivre dans le col étroit , une tige faite d’un alliage de différents métaux y est inséré et s’y l’on y ajoute de l’acide chloridrique le dispositif produit un courant électrique. Il s’agit sans aucun doute d’une cellule électrique primitive. Pourtant le conte Volta n’inventa la cellule électrique que 1500ans plus tard.
La pile primitive a été testé avec un Voltmètre pour calculé sa puissance électrique




La Pierre Lanzhou


Un objet vraiment incroyable a récemment mis en lumière sous la forme d' une pierre rare avec une barre de métal fileté à l'intérieur qui a été récemment découvert par un M. Zhilin Wang en Chine près de la région Marzong montagne à la frontière des provinces du Gansu et du Xijiang (la région des pyramides chinoises).
La pierre mystérieuse est en forme de poire, d'environ 6 x 8 cm, très dure et pèse 466 grammes. Incroyablement, la roche est d'un type qui est totalement inconnu, suggérant que cela pourrait en fait être une météorite. Cependant, ce n'est pas seulement en raison de sa matière inconnue que l'objet a attiré énormément l'attention de nombreux géologues et collectionneurs du monde entier, mais aussi à cause de l'artefact étrange qu'il contient en son sein.
Comme indiqué dans le ' Lanzhou Matin Nouvelles " du 26 Juin 2002 :
" Plus de 10 géologues et physiciens internationaux du Bureau national des ressources foncières de la province du Gansu, le Colored Metal Survey Bureau de la province du Gansu, l'Institut de recherches de géologie et des minéraux de l'Académie chinoise, Lanzhou Direction, et de l'École des Ressources et de l'Environnement de Lanzhou Collège se sont réunis pour étudier l'origine de cette pierre mystérieuse.
Après une discussion à propos de sa possibilité d'être faite par l'homme et les raisons possibles de sa formation, les scientifiques l'ont étiqueté à l'unanimité comme étant l'une des pierres les plus précieuses en Chine et dans le monde pour la collecte, la recherche et les études archéologiques. "
Au cours de la discussion, les scientifiques ont proposé plusieurs hypothèses sur la formation de cette pierre, mais tous l'ont trouvé incroyable. La barre de métal filetée est étroitement enfermée dans la matière lithique noire. Ni l'entrée de la barre dans la pierre, ni le bout de la barre exposée ne semblent être faites par l'homme.
Quoi que puisse être cette pierre et l'objet fileté, cela reste toujours des objets a comprendre en ce moment, mais si c'est bien une météorite, il nous a fourni incontestable la preuve que nous ne sommes pas seuls...

Statuettes de cosmonautes
En Equateur, on a retrouvé ces statuettes, œuvres d’un "clairvoyant" ou bien reproductions de "visiteurs" ?



   

Sculpture d’Itzama




Découverte vers le nord-ouest du Yucatan et sa côte, dans un endroit appelé Tzekelna, il y avait une sculpture très remarquable, à l'affiche aujourd'hui au musée de Merida. Sculptée à partir d'un gros bloc de pierre, la statue qui est toujours fixé par son arrière, représente un homme aux des traits du visage marqués, qui peut-être porte un casque.


Son corps est recouvert d'une robe moulante, squameuse ou des côtes. Sous le bras plié, tenant un objet que le musée identifie comme " la forme géométrique d'une étoile de cinq points " (à gauche). Sur le ventre, sanglé, est disposé d'un dispositif circulaire étrange, que les experts estiment, pour une raison quelconque, identifié comme étant ceux qui ont créés les dieux de l'eau.
Dans un endroit proche appelé Oxkintoc, ils ont trouvé de grandes sculptures de divinités qui faisaient parties d'énormes blocs de pierre. Les archéologues supposent qu'ils auraient servi sous forme de colonnes de soutien structurel dans les temples.
L'une d'elles (à droite) semble la femelle homologue du dieu décrit ci-dessus. Son costume écailleux apparaît également dans plusieurs statues et statuettes de Jaina, une île située près de la côte du nord-ouest du Yucatan, où s'éleva un temple très insolite.
L'île aurait servi de nécropole sacrée parce que, selon la légende, a été le lieu du dernier repos d’Itzama.


L’astronef d’Ourartou




Cet artéfact se trouve au Istanbul Archaeology Museum en Turquie et mesure 23 centimètres de long, 9,5 cm de haut, 8 cm de large, soit 5,7 cm de long, 3,8 cm de haut et 3,5 cm de large.
Le chercheur Sitchin a passé des années à traquer les artefacts, jusqu'à ce qu'il trouve cela au Musée d' Archéologie d'Istanbul. Il a été découvert à Toprakkale, une ville connue dans l'Antiquité comme Tuspa, où le royaume d'Ourartou régna brièvement il y a plus de 2500 ans. Les conservateurs du musée ont décidé que ce petit artefact devait être un faux, car il diffère du style de l'époque, et plus important encore, il ressemble à une capsule spatiale... Ils raisonnaient que puisqu'il n'y avait pas de capsules spatiales dans les temps anciens, ce devait être un faux moderne, une farce, faite de plâtre de Paris et de poudre de marbre...
Cependant, lors de la visite de Sitchin à Istanbul et au musée en Septembre 1997, il a rencontré le directeur, le Dr Pasinli, qui a pris l'artefact dans un tiroir, et a permis à Sitchin de l'examiner et photographier. Il semblait à Sitchin être taillé dans une pierre de cendres volcaniques poreuses, avec des détails très précis.
Dr. Pasinli a demandé à Sitchin ce qu'il en pensait. Il n'est pas hors de son contexte, a dit Sitchin au directeur et ses collègues, lorsque vous comparez à des objets divers qui semblent également représenter une ancienne civilisation utilisant l'espace.


Dans " Les Royaumes Perdus " de Sitchin, vous trouverez des illustrations d'objets qui peuvent représenter des astronautes barbus et des navires-roquettes en provenance du Mexique et du Liban, ce qui pourrait être une fusée sur une plate-forme d'atterrissage.
Il a conseillé aux directeurs de musées de permettre aux spectateurs de décider eux-mêmes ce qu'il en est, tout en affirmant leur propre doute sur l'authenticité de l'objet. Ce fut suffisant pour convaincre les conservateurs de mettre enfin l'objet sur l'affichage public...
Mais les conclusions du ministère des Arts et du Mémorial de la culture et des analyses pétrographiques du département chimie du Musée auraient prouvé que ces théories ne sont pas en accord avec la réalité historique. " Il y a diverses informations contradictoires concernant la façon dont l'artefact est parvenu au musée.
L'une des théories est qu'un marchand d'antiquités l'a apporté au musée. Le directeur général du Musée, Ph. D. Alpay Pasinli dit que l'artefact ne pouvait pas avoir trois mille ans, mais plutôt environ 25 ans, au plus.
Pasinli dit que nous devons nous rappeler que la presse occidentale a convaincu son public que le module spatial était de trois mille ans d'âge, il a ajouté qu'ils ont confirmé que cet artefact a été fait de plâtre et de poussière de marbre à travers les résultats des analyses. (on note aussi qu'il est très étrange qu'il ait fallut attendre 20 ans et de multiples visites de scientifiques pour trouver du simple plâtre moderne... je soupçonne personnellement un échange de l'artéfact contre un faux...).



Les Statuettes Dogu



- En 900 avant J.C., statue japonaise à scaphandre "fermé par deux gros boulons", trouvée à Tokomai. (J1)
- En 5 000 avant J.C., au Japon, des artisans primitifs de la tribu Dogu ont façonné ces statuettes en bronze... à grands yeux...

    


Un artéfact rejeté trop rapidement


En 1998, l'ingénieur électricien John J.Williams, lors d'une randonnée, trouve une mystérieuse roche comportant ce qui ressemble à un morceau de métal encastré sur sa surface. En fait, cela ressemble assez à un composant électronique humain, mais il est complètement encastré dans la roche et seule sa surface est visible, avec 3 petites tiges, ou broches apparentes :



Des premières études préliminaires furent faites par des amis du découvreur et lui-même, notamment un géologue. L'artéfact a l'apparence d'un composant électronique intégré dans une roche naturelle, une pierre de granit très dure, composée de gros cristaux de quartz ou de cristaux de rhyolite, y compris de très faibles pourcentages de mica qui existait déjà au moment de la formation de la roche. Le géologue a dit que c'était probablement de la rhyolite d'un âge minimum de 55.000 ans. Un autre ingénieur a examiné le quartz et a dit que ce materiau était plus dur que du quartz, peut-être bien du diamant. La pierre n'est pas une accrétion, une concrétion, de la pierre ponde ou un fossile. Elle ne contient pas de résines connues, de ciments, de colles, d'adhésifs, de mortier, de calcaire ou d'autres agents de liaison autres que de la rhyolite ou du quartz. En outre, il ressemble à un connecteur XLR électronique ou un autre composant très semblable et ne révèle aucune trace d'avoir été collé ou soudé. En fait une étude géologique aurait établi un âge approximatif de 100.000 ans pour cet artéfact.
Il montre une faible attraction magnétique, et des relevés de compteur ohms ont révélé qu'il présente une résistance proche de celle d'un circuit ouvert.
Avec une marge d'erreur de 0.2 mm, la roche fait 61 mm de longueur, 38 mm de large (au plus large) et 22 mm d'épaisseur ( sans la broche/tiges/griffes). En utilisant une balance précise, le poids a été mesuré à 2.5 onces (70.87 grammes). Une fiche à trois broches est contenue par une matrice d'une origine complètement indéterminable. La pièce d'un diamètre de 0,3 pouces (7.62 mm) ne semble pas être fabriquée en bois, en plastique, en caoutchouc, en métal ou autre matériau reconnaissable.
Une pierre encastrée avec une fiche à trois broches est d'environ 100.000 ans. Crédits photo: John J. Williams
Williams a utilisé un puissant rayon X qui révèle que le composant de la matrice s'étend dans une structure opaque interne au sein de la pierre. Les Tiges intégrées à l'espèce de broches sont réalisées en une sorte de matériau conducteur de l'électricité (que je suppose être en métal) et ont un aspect d'acier.


Le composant de la base ronde est un matériau du type céramique ou de roc blanchâtre, et n'est certainement pas en plastique, en caoutchouc, en bois ou matériau de type métallique (relativement rare dans la plupart des types de composants électriques modernes synthétiques, à base de céramique, les composants sont normalement limités en haute température, ont un rayonnement élevé, une haute tension, une puissance élevée, et / ou une très longue capacité d'utilisation).


Le composant lui-même est d'environ 8 mm de diamètre, ses repères/tiges sont d'environ 3 mm de hauteur, l'espacement entre les repères est d'environ 2,5 mm, et l'épaisseur de tige est d'environ 1 mm (à nouveau, le tout avec 0,2 mm de marge d'erreur). L'arrondissement des extrémités des tiges indiquent une certaine usure à long terme, de sorte que les trois millimètres ne pourraient bien ne pas être leur longueur d'origine. Toutes les broches semblent être de la même taille (un grand-angle sur un appareil photo numérique déforme la taille relative des objets plus proches aux plus lointains).
Bien qu'il n'y ait aucune indication qu'il y ait eu un quatrième axe ou tout autre type de modulation, la base du composant est âprement ébréchée, là où un quatrième axe aurait pu être situé si jamais il y avait en avait eu un, et la marque sur le rocher lui-même conduit à la zone ébréchée, indiquant qu'à un certain moment, le rocher et sa composante ont reçu un coup fort. La zone écaillée est profonde et inclinée.
Les lectures de tension (quelle que soit la polarité de connexion) indiquent soit un circuit ouvert ou une impédance très élevée entre les broches (de type FET ou d'un type de tube technique (par exemple de type MOSFET technologie) ? Certains circuits inconnus organiques ou biologiques qui auraient pourri ? Brisé à l'intérieur des circuits ? Il a été également injecté divers signaux électroniques à travers les broches sans qu'aucune réponse ou réaction n'ait été détectée. Certains ont émis l'hypothèse que le composant est un connecteur XLR. L'auteur a fait beaucoup de recherches de composants à ce sujet, et ce n'est pas une prise XLR ou tout autre connecteur que je connaisse. En dépit de la publicité mondiale importante sur le rocher depuis le printemps 2003, et une énorme quantité d'apports des partisans et des sceptiques de carrière, personne n'a été en mesure d'identifier le composant intégré ou l'assemblage de roche lui-même par une marque et par un modèle/pièce comme étant fabriqué par l'homme moderne!
Il n'y a aucune indication de ciment, colle ou d'adhésif que ce soit sur ou près de la composante à lumière visible, aux rayons X et aux examens à la lumière noire. Il y a une légère attraction magnétique (en utilisant un aimant 10-lb pull rare earth magnet), sur le composant, et au fond de la roche sous le composant. En utilisant une petite unité classique de géologue de type "blacklight Spec-Tec" (modèle HD-1, de Spectrum Technologies), "L" en réglage (ondes longues), il n'y a pas de changement perceptible de la couleur soit dans le composant de base ou dans les broches. Toutefois, en vertu d'un blacklight industriel à grande puissance, le composant de base semble être d'un rose vif avec un peu de phosphorescence et un étrange "onglet" rouge, non visible en lumière visible, apparaît sur le bord du composant. Ni le rocher, ni son composant n'apparaissent briller dans le noir, sous la lumière visible, n'émettent pas des sons, de la lumière ou des ondes radio, ou se fait sentir inhabituellement chaud ou froid, ou quelque chose qui bouge à l'intérieur de celui-ci. Ni le compteur Geiger (Victoreen modèle CDV-717), ni un compteur Geiger utilisé par un laboratoire professionnel de matériaux qui a testé le rocher n'ont détecté aucune radiation émanant du rocher.
Le rocher a été fortement érodé, probablement par de l'eau qui a coulé sur lui pendant 100 ou 1000 ans (la roche ne se trouvait nulle part près d'un lit actuel de rivière ou anciennement connu d'un lit de rivière à proximité, même si il pleut beaucoup dans la région). L'examen microscopique des broches du composant comme le montrent les images indique également une forte érosion des broches dans un sens (mais pas de corrosion), indiquant que le composant a également été exposé à un courant marin dans une position stable pendant une longue période de temps. La question est que si l'artéfact a été sur Terre pendant au moins 1000 années - peut-être même des millions d'années - pourquoi ne pas avoir ses broches totalement éliminées par la corrosion ou usées ?
Des gouttes fondues d'un matériau de type métallique à la périphérie du composant indiquent qu'un objet métallique à proximité de la pierre a été soumis à des températures élevées pour provoquer la fusion du métal et des éclaboussures de métal en fusion ou des pulvérisation cathodiques sur l'élément incorporé (crash d'OVNI ? site dune guerre spatiale alienne ? exposition volcanique ?). Il n'y a à priori aucune trace de cratère de météorite ou de volcaniqme dans la région. En outre, l'examen des nombreux bouchons synthétiques modernes au microscope électronique, y compris les prises XLR modernes, ne montre aucun signe de taches minuscules de métal sur leurs surfaces de base - qui sont des preuves plus convaincantes que l'élément incorporé ne peut pas être causées par l'homme moderne. Aussi, il est possible que les tempertures élevées qui ont produit ces taches métalliques, ont aussi fait fondre les broches métalliques du composant ? Il n'existe aucune preuve que les éclats de métal provenaient du composant lui-même. La théorie de l'auteur est que les broches métalliques sont dans un métal différent de celui des gouttes de métal - un métal avec une température de fusion plus élevée et résistant à l'usure et résistant à la corrosion. Peut-être un métal qui n'est pas encore connue de l'homme moderne ? Peut-être un composant très résistant, résistant à l'usure et résistant à la corrosion qui, si il était reproduit, pourrait révolutionner nos industries - un super-métal ou un super-alliage métallique ? Pourtant, aucun scientifique digne de confiance de tous les pays n'a montré le moindre intérêt pour ça ! a noter que des roches de types similaires à celle-ci ont été trouvées, par exemple, un étrange composant électrique de type connecteur est enterré dans le centre d'une géode en Californie...
Les questions restent posées : Pourquoi une fiche à trois broches a été intégrée dans une roche? Quel est le but qu'un tel objet aurait suivi ?
Le composant de la matrice s'étend dans une structure opaque interne à l'intérieur de la pierre, des traces de métal fondu, usure des tiges

Est-ce un objet d'origine extraterrestre ou peut-être un produit très avancé, témoignant des compétences technologiques d'une civilisation préhistorique perdue dans le temps ? Malheureusement, malgré la mise à disposition gratuitement de la pierre par le découvreur depuis 1998 pour toute analyse sérieuse par des scientifiques officiels, personne ne s'est manifesté au Nouveau-Mexique (où habite le découvreur) : l'artéfact a été automatiquement rejeté par la science sans aucun examen sérieux, personne ne voulant investir dans des analyses assez coûteuses (ça rappelle largement le manque de soutien scientifique constaté sur l'expédition sur les anomalies en Mer Baltique...). Williams est d'ailleurs lui-même retraité et assez fragile question santé, peut-être aussi assez désabusé par les a-prioris et pré-jugements humains quand quelque chose ne correspond pas à ses idées ou concepts de base hérités...



Lors d'une conférence des groupes sceptiques américains (23 au 26/10/2003), l'objet est évidemment vivement critiqué et soupçonné d'être une fraude et un canular. Willams est présent est tente d'approcher le Dr. Ken Frazier (Géologue et éditeur du "Skeptical Inquirer"), qui avait publié deux articles de ses auteurs attaquant l'artéfact de Williams. Il leur propose de justifier leurs propos en analysant honnêtement l'artéfact, mais les sceptiques (comme souvent !) refusent de prouver eux-mêmes leurs hypothèses ou contre-propositions. Aussi bien le CSICOP que le Skeptical Inquirer ne jugent pas utile d'analyser l'artéfact et le classent d'office comme "canular". Williams leur dit alors de faire appliquer la loi "psychic frauds and racketeers" du nouveau-Mexique et de porter officiellement plainte, la justice fera peut-être analyser la pièce... les sceptiques ne répondront jamais et banieront tout simplement tout contact avec le découvreur, sans bien sûr porter plainte ou autre...
Aux dernières nouvelles, l'objet est toujours disponible, peut être analysé par quiconque paie les frais entièrement (avec la seule exigence du maintient de la propriété de l'objet à la famille du découvreur et sa présence lors des analyses), et est aussi achetable pour la modique somme de... 500.000 dollars... (plutôt une plaisanterie - à moins qu'une autre vraie preuve surgisse un jour et fasse réhausser sa valeur éventuelle...).



Le mystérieux artéfact d’Aiud


En 1974, environ à deux kilomètres à l'est de la ville de Aiud, Roumanie, sous une dizaine de mètres d'épais dépôts de la rivière Mures, trois objets ont été trouvés, dont l'un s'est avéré être un objet énigmatique.

Deux des objets ont révélés être des os, mais l'objet en forme de hache était fait de métal, d'aluminium. Les deux fragments d'os ont pu être facilement identifiés, et proviennent d'un mastodonte - une sorte d'éléphant préhistorique - qui s'est éteint il y a plus d'un million d'années. Le plus mystérieux était que l'objet de Aiud était clairement identifiable comme étant artificiel.

L'objet a une longueur d'environ 20 centimètres et comporte deux côtés munis de trous ronds, qui correspondent au "centre" du corps. En outre, il a à une extrémité un «amincissement», qui n'est pas sans rappeler la lame d'une excavatrice moderne.
Le corps a également été soumis à une analyse spécifique, dont entre autres, le Dr I. Niederkorn de l'Institut de recherche et de conception non minerais ferreux et des métaux (ICPMMN) faites à Magurele. Il a été constaté que l'objet était un alliage composé de 12 éléments différents. 89 pour cent - qui est l'ingrédient principal - est fait d'aluminium. Les éléments suivants ont pu être détecté dans l'objet : 6,2% de cuivre / silicium 2,84% / 1,81% de zinc / plomb 0,41% / 0,33% d'étain / 0,2% de zirconium / 0,11% de cadmium (découvert en 1817) / 0,0024% de nickel (découvert en 1751) / 0,0023% de cobalt (découvert en 1735) / bismuth (découvert en 1753) 0,0003% / 0,0002% d'argent et des traces de Galium.
 
En particulier, la composante principale de l'aluminium est déroutante. L'aluminium a été conquis pour la première fois (à priori) par un effort technique considérable, découvert en 1825 par HC Oested, ce n'est que depuis la fin du 19ième siècle qu'il est produit commercialement. Cela nécessite des températures de près de 1.000 degrés.

Mais ce qui est encore plus un casse-tête, que le fait que ce soit une production artificielle découverte à une dizaine de mètres de profondeur dans le voisinage immédiat d'os d'un million d'années minimum, c'est que l'objet en question est couvert par une lourde couche d'oxyde sur un millimètre d'épaisseur. Toutefois, l'alluminium est connu pour, sous l'action de l'oxygène, c'est-à-dire de l'air, former assez rapidement une couche très mince d'oxyde. Mais une couche d'oxyde de surface d'environ un millimètre d'épaisseur est non seulement inconnue et unique, mais nécessite une très très longue exposition de l'objet à l'oxygène. En langage clair, cela signifie que l'âge de l'objet de Aiud semble aller au-delà des limites de la compréhension... En fait, les métallurgistes établissent que l'objet date de 250.000 ans. 
 

En 1992, le roumain Florian Gheorghita dans le magazine, "Ancient Skies" parle aux AAS (Archeology, Astronautic and Seti) pour la première fois de cette découverte. Il doit tenir compte non seulement que l'objet mystérieux d'origine inconnue et d'âge inconnu a maintenant disparu, mais il a aussi osé une spéculation sur l'origine et la signification de l'objet à partir de l'hypothèse paléo-SETI. Il a pensé qu'il pourrait être, peut-être une sorte de "Lander", une machine volante extraterrestre qui a perdu son atterrisseur. Il voulait dire, en référence à un "ingénieur en aéronautique" qui a mis cette idée dans le monde, qu'une tige de retenue placé pile dans les trous reconnaissables, utilisée de manière prolongée, pourrait provoquer les traces d'abrasions et de rayures visibles sur la face inférieure. Le croquis ci-dessous montrant cette idée. Par hasard et des circonstances chanceuses, l'enquêteur Michael Hesemann du magazine 2000 Plus a été mis sur la piste de l'objet de Aiud en 1994.


Michael Hesemann

A cette époque, il était à Debrecen, en Hongrie, pour participer à une conférence. Puis Hesemann a été invité à donner des conférences à Cluj en Transylvanie. Parmi son auditoire s'était aussi trouvé quelqu'un qui pourrait lui montrer l'objet, et c'est ainsi que Hesemann réussit en Septembre 1995 à maintenir l'élément souhaité dans ses mains.


   
Les nouvelles analyses en 1995, faites à Londres et en Suisse infirment le fait que les os soient ceux d'un jeune mastodonte, mais plutôt ceux d'un rhinocéros moins ancien, mais tout de même datés de entre -80.000 et -10.000 ans. (Gh. Lazarovici).

Mr Marian Pasla confirme pour la Suisse qu'un morceau de l'objet est examiné à Lausanne. Les experts suisses confirment la même composition que le laboratoire de Magurele, et confirment également que cet alliage particuliern'est pas un standard actuel ni du passé, ni utilisé. Sur l'âge de la couche d'oxyde, le prof. Stoicovici arrive à la conclusion que celle-ci a au minimum 300 à 400 ans d'existence (toujours trop tôt pour l'invention de l'alluminium et autres composants !), mais, en accord avec les autres spécialistes, est d'accord pour dire que l'objet en lui-même pourrait avoir des dizaines de milliers d'années...

Dans son magazine (n ° 108), il signale qu'il ferait "dans les prochaines semaines un rapport nourrit à ses collègues chercheurs roumains, et s'attend à ce que de nouvelles preuves soient trouvées". Malheureusement, à cet égard aucune autre publication n'est venue... black out !



Tout ce qu'on peut confirmer, c'est que Hesemann a bien retrouvé l'objet (voir photos), mais s'agit-il bien du même objet ou d'un autre, du même type ? En effet, si vous regardez bien les schémas du premier objet trouvé et ses descriptions, comme l'esquisse de F. Gheorghita de 1992, aucune des extrémités ne présente des angles saillants comme l'objet photographié. On sait aussi qu'une utilisation de cet objet comme un marteau ou une hache est exclue... encore une énigme et un artéfact caché en attente de... 




On peut aussi remarquer que ce n'est pas la première fois que des objets métalliques et "hors de leur temps" ont été découverts, principalement au fond de vieilles mines... des têtes de marteaux pris dans des pierres millénaires, des clous pris dans des concrétions datées de la préhistoire... ces objets laissent des traces (photographies et témoignages), mais disparaissent très rapidemment de la sphère scientifique et même physiquement tout court... fakes ? (ça commence à faire beaucoup trop), collectionneurs ? (plus probable), maintient d'un secret ou études secrètes par état/autre ? (très possible aussi sur la longueur et la non-réapparition de certaines pièces très connues...)



LE DISQUE DE NEBRA
Un objet spectaculaire au cœur de l'Europe

Le disque de Nebra est un disque de bronze pesant à peu près 2 kg et d'environ 30 cm de diamètre. Il a été mis au jour illégalement, par des fouilleurs clandestins, en juillet 1999 à Nebra-sur-Unstrut -Saxe-Anhalt (Allemagne)- constituant avec d'autres objets un dépôt cultuel. Il daterait d'environ 1600 avant notre ère (faciès de transition Bronze ancien/Bronze moyen -Bronze A / Bronze B-). Il est conservé au Musée régional de Préhistoire de Halle, en Allemagne.




La BBC a réalisé un film (diffusé sur Arte en juillet 2006) faisant une très large part à l'interprétation ésotérico-religieuse du disque (barque solaire) quasiment sans tenir compte des aspects scientifiques en tronquant les déclarations des savants allemands. Différents points à connotation scientifique ont toutefois été cités et développés dans le film.

DESCRIPTION

Il se présente sous la forme d'une plaque circulaire sur laquelle se détachent, en plaques d'or incrustées, des points supposés être des corps célestes (la lune représentée en disque central ou en croissant ; les Pléiades, constellation, représentée par sept étoiles groupées...) et d'autres motifs en feuille d'or.
Il pourrait s'agir d'une représentation du ciel pour un observateur qui se serait situé en Allemagne à l'apparition des Pléiades il y a 3600 ans. Ce serait jusqu'à ce jour la représentation la plus ancienne de la voûte céleste jamais retrouvée. L'archéologue allemand Harald Melle la qualifie de « ciel étoilé automnal ».

Au solstice d'été à Nebra, le soleil se couche derrière le Brocken. Ce fait, non négligeable, permet d'imaginer une orientation possible du disque lors de son utilisation. On y distingue aussi sur le côté droit un arc de 82 degrés (et la trace d'un autre disparu, sur le côté gauche) qui pourrait représenter l'écart entre les points de l'horizon où le soleil se lève, ou se couche, aux solstices d'été et d'hiver. La valeur de cet angle correspond relativement bien à la latitude du lieu de la découverte. Un autre élément intéressant du site de Nebra est qu'au solstice d'été, le soleil se couche derrière le sommet du Brocken, sommet le plus haut de la partie nord de l'Allemagne, situé à environ 80 km au Nord-Ouest de là. Cet élément permet d'imaginer un alignement possible du disque avec l'arc latéral subsistant orienté vers l'Ouest.

De l'autre côté du disque, à l'opposé, un autre arc représenterait soit une barque solaire (voir Char solaire de Trundholm), soit la Voie lactée. Le nombre des « étoiles » visibles sur le disque dans son état actuel est inférieur au nombre d'origine, car le « segment de latitude droit » a été superposé à une époque ultérieure et en masque deux

AUTHENTICITE ET DATATION

Le disque est un objet si spectaculaire que certains archéologues ont pu supposer qu'il aurait été fabriqué par un faussaire. Une étude microscopique de sa patine révèle qu'il est incontestablement extrêmement ancien : la taille des cristaux d'oxydation est proportionnelle à la lenteur de leur formation, et ceux du disque seraient beaucoup trop importants pour être d'origine artificielle. La fabrication du disque dans la région de sa découverte est confirmée par une étude isotopique du plomb radioactif contenu dans le cuivre du disque.

En effet chaque gisement a une signature isotopique particulière. Le cuivre provient des gisements alpins exploités à l'âge du bronze en Autriche. D'autres objets, des bracelets et des épées de bronze, ont été exhumées par les découvreurs au même endroit que le disque, une étude comparative avec d'autres épées de l'âge du bronze semblables et datées précisément grâce au carbone 14, permet de dater approximativement le disque vers l'an 1600 av. J.-C.

L'image veillerait probablement à perpétuer les enseignements sur l'astronomie. C'était une sorte d'aide-mémoire. La tradition orale se devait de maintenir les connaissances sur la nature et les saisons. Cette connaissance était essentielle pour les semailles : les Pléiades en effet, accompagnent la nouvelle lune au-dessus de l'horizon tous les 10 mars (=semailles) et ceci se reproduisait les soirs de pleine lune des 17 octobre (=fin des moissons ?).

Selon l'astronome Rahlf Hansen du planétarium de Hambourg, les diverses tailles des croissants de la lune permettent de corriger la longueur de l'année : lorsque le croissant de la nouvelle lune apparaissait près de l'amas des Pléiades seulement au 3e jour du mois de printemps par lequel l'année commençait (32 jours après le début de l'année et plus épais que les années normales), on devait compter cette année-là un mois de 29,5 jours, ce qui permettait de faire correspondre l'année solaire de 365 jours avec l'année lunaire de 354 jours. Le chiffre 32 est représenté par le nombre d'étoiles sur le disque.

Le nombre 32 aurait une signification supplémentaire : 32 années solaires correspondent à 33 années lunaires. Si le disque plein en or représente le soleil, les 32 « étoiles » seraient des soleils en miniature, 33 au total si l'on y rajoute le disque plein, ce qui correspondrait au cycle de 33 années lunaires. L'interprétation précédente du Dr Schlosser selon laquelle le disque plein en or représenterait la pleine lune reste valable : il représente le soleil et la lune.

Les sciences et la religion étant probablement indissociées à cette époque, le disque serait en quelque sorte une encyclopédie astronomique recueillant plusieurs des savoirs de l'âge du Bronze propres à cette région de l'Europe. Les astronomes de cette époque auraient donc eu des connaissances astronomiques plus avancées que ce que l'on croyait jusqu'à maintenant, la première description de cette règle étant décrite sur un texte babylonien (le Mul Apin) datant du VIe siècle av. J.-C. ou VIIe siècle av. J.-C.




Sources : http://secretebase.free.fr/civilisations/technologies/decouvertes/decouvertes.htm


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