GENESE & DIEUX

Découverte du Nouveau Monde

Lors de leur arrivée , les tribus autochtones ne furent pas surprises a la vue des Européens malgré le fossé qui les séparés. Les arrivants avaient la peau pale , leurs costumes étaient scintillants ,ils débarquaient d’énormes navires et possédaient des armes puissantes . Pour les amérindiens , ces êtres là étaient des dieux venus des cieux

Parmi les Mayas de l'Amérique Centrale, le symbolisme du serpent fut très courant. La plupart des serpents représentés dans leur art ont des plumes, indiquant la capacité de voler. L'ancien livre Maya « Chilam Balam », raconte que les premiers habitants du Yucatán furent les Chanes ou les « Gens du Serpent », qui traversèrent la mer de l'est, menés par Itzamna, un dieu serpent.( sûrement le prince héritier Enlil) .Il fut la divinité la plus importante du panthéon des Mayas ; et comme le dieu du ciel dominant, souverain des cieux, il est un des rares dieux Mayas à ne pas être associé à la mort ou à la destruction. Itzamna fut le dieu créateur, celui qui donna le souffle de vie à l' homme.


GENESE DES PEUPLES D’AMERIQUE DU SUD

Quelques millénaires après le déluge , dans l'antique Amérique de l'âge de bronze, trois races sont attestées : les Amérindiens,  mats de peau, aux cheveux noirs, de statut humain ;  les dieux blancs, Quetzalcóatl, ou Viracocha ; et les dieux noirs, caste de guerriers nobles, de type négroïde. Ce sont les Balam Akab, Jaguars de la Nuit, des mythes aztèques et mayas. Comme les Quetzalcóatl, ou Kukulkan qui est leur nom maya. 

Le dieu méso-américain Tlaloc est souvent représenté avec la peau noire. Le Popol Vuh indique que les premières créatures de Kukulkan (Quetzalcóatl est son nom aztèque) étaient au nombre de quatre ; sans doute faut-il y voir quatre races différentes autour des Kukulkan blancs. Les "premiers hommes", créatures de Kukulkan, s'appelaient Balam Akab (Jaguar de la Nuit), Balam Quitze (Jaguar au Doux Sourire), Mahucutah (le Nom Elu) et Iqui Balam (Jaguar de la Lune). Il s'agit manifestement de la création des races. Une étude ultérieure pourrait indiquer à quelles races correspondent les quatre Jaguars.


   

Pour les Jaguars de la Nuit, la réponse est plus simple. Ils sont les hommes nobles représentés sur les têtes géantes, ils sont de la race noire, ils sont farouches et ils sont des guerriers implacables toujours prêts à donner leur vie au combat.

 L'énigme des races dans la haute antiquité amérindienne est une chose fort surprenante pour tout un chacun,
sauf s'il est archéologue. Dans ce cas, il s'en fiche totalement. Les archéologues sont des gens sérieux qui croient ce qu'on leur a dit à l'école. Ils ont intérêt sinon leur carrière est brisée .La statuaire olmèque présente aussi des scènes de rencontre entre des races non-amérindiennes, africaine, asiatique, européenne, notamment qui font apparaître clairement la civilité des rapports inter-ethniques, le respect et le développement de ces gens qui font preuve d'intérêt réciproque, de courtoisie, d'affabilité. Sur le plan esthétique, d'autre part, cette statuaire  imposante et variée dénote l'immense génie artistique de ses sculpteurs.

 Leur élévation intérieure est tout à fait perceptible, car ces œuvres nous la transmettent intacte. En leur présence, on éprouve la même impression de lumière cristalline que dans les grottes de Lascaux ou au pied du sphinx de Gizeh. Une émotion sacrée de la plus belle eau. N'en doutons pas, le peuple olmèque est un grand peuple. Graham Hancock infère que ces statues ne seraient pas olmèques, mais reçues en héritage d'un passé plus lointain. Un passé atlante, semble-t-il suggérer…

 Les bases de la religion olmèque : Rappelons que la civilisation a commencé à fleurir au cours du deuxième millénaire avant notre ère, tandis que l'arrivée des Kukulkan en Amérique aurait eu lieu huit mille ans plus tôt. Plusieurs civilisations ont pu se développer dans l'intervalle. Ce qui ferait des Balam, non pas des premiers hommes, mais des héritiers. Les descendants d'une très longue dynastie pré-diluvienne, source oubliée de nos cultures et de nos sciences. Le peuple du Serpent à Plumes, Quetzalcóatl que des chasseurs-cueilleurs primitifs vont prendre pour des dieux.

Les dieux avaient-ils la télé ? Faisaient-ils de la vidéosurveillance ? Selon le Popol Vuh, ces grands ancêtres "étaient d'une intelligence supérieure ; ils voyaient à distance et savaient tout ce qui existe au monde. Ils voyaient les choses au loin Grâce à leur miroirs fumants en obsidienne polie. Noirs et plats, ces miroirs s'emplissaient de fumée qui laissait place à une image de plus en plus nette ,sans se déplacer… Grande était leur sagesse ; leur regard portait jusqu'aux forêts, aux mers, aux montagnes et aux vallées. Ces hommes très admirables pouvaient tout savoir ; ils scrutaient les quatre pointes. C'est pourquoi le Livre d'Enoch les appelle des Veilleurs." Donc, pour eux, la terre était ronde. L'antiquité l'a toujours su. L'ignorance est venue plus tard.

 Dans les poèmes elfiques, les anciens dieux sont partis dans l'espace, nous disent les poèmes elfiques,  à bord d'un vaisseau géant, voguant vers une exo-planète du système de Sirius.. En Amérique, les Quetzalcóatl et les Viracocha sont restés longtemps en contact avec les populations locales, leurs créatures. Ils vivaient parmi eux, mais aussi ailleurs.  Où  donc ? Sous terre, nous disent les contes du Petit Peuple ,en Agartha. L'Agartha dont plusieurs couloirs souterrains sont censés circuler de l'Antarctique au Brésil et à l'Atlantide engloutie .Exactement le territoire atlante couvert par les portulans de Piri Reis.


  

Pour l'instant, disons qu'ils vivaient aussi ailleurs. Quand à la jalousie de Dieu qui punit les hommes, le Popol-Vuh nous raconte, avec d'autres mots, la même histoire. Les Kukulkan ou Gucumatz, ou Quetzalcóatl  sont jaloux de leurs créatures. Ils décident de brider les Premiers Hommes, jugeant qu'ils les avaient fait un peu trop à leur image : "Que leur vue n'atteigne que ce qui est proche ; qu'ils ne voient qu'une petite partie de la face de la terre !"



Itzamna / Quetzalcóatl / Kukulkan

« Itzem », duquel le nom d'un dieu est dérivé, devrait être traduit comme « lézard » ou
 «reptile ». En fait, Itzamnal, la ville du dieu Itzamna, signifie littéralement «la place du lézard». Il y a aussi un grand nombre de formes anthropomorphiques du dieu Itzamna où il est représenté comme demi homme et demi serpent. Le dieu serpent bienveillant est aussi trouvé, plus tard, dans la mythologie mexicaine de la civilisation aztèque qui remplaça les Mayas. Quetzalcóatl est le dieu serpent de plumes qui apporta les bienfaits de la civilisation au Mexique et enseigna à l'homme l' astronomie et les mathématiques. On peu faire la comparaison de Quetzalcóatl avec le Prince Nibirouen Nannar, le Thot égyptien et l'Hermès grec .
          
Le lac Titicaca était une vallée fertile peuplée d'hommes vivant heureux et tranquilles. Rien ne leur manquait; la terre était riche et leur procurait tout ce dont ils avaient besoin. Dans cette région, la culture indienne est restée vivante.

Le dieu Itzamna appelé ensuite Quetzalcóatl venait des étoiles grâce a son véhicule volant .



Ci-dessous , Voici la dalle symbolisant le Dieu ailé de Palanque : Kulkulkan
D’après la légende il serait venu des étoiles et y retourna .



On y voit un homme assit dans une capsule , le regarde fixé vers l’horizon . Il semble actionner quelques indéfinissables commandes . Son pied appuis sur une pédale . A l’arrière de la capsule nous voyons des tuyères crachant des faisceaux de flammes . N’est-ce pas là , la position type de l’astronaute comme on la connaît aujourd’hui ?



  
Il est à noter que la divinité d'Amérique Centrale Quetzalcoatl était,selon les descriptions, de grande taille, à peau blanche et barbue.( Comme les Elohims ) parfois avec des ailes aussi ! C’est a dire , rien a voir avec les populations locales .





OREJONA


Selon une tradition, Orejona aurait débarqué d’un astronef aussi brillant que le soleil.
Elle avait des mains à quatre doigts et un crâne allongé en pain de sucre, ce qui est en corrélation évidente avec les crânes géants et allongés de la même façon trouvées à Tiahuanaco et qui sont exposés actuellement dans un musée de La Paz.

Un aussi fantastique mystère évoque irrésistiblement une race d’êtres supérieurs, non originaires de notre Terre !
    
     

L'énigmatique Rénovateur de la Religion du Soleil inca ; M. Beltran Garcia, biologiste espagnol et descendant direct de Garcilaso de La Vega, le grand historien de la Conquête ; tenait de son aïeul des documents inédits relatifs aux traditions andines. La Porte du Soleil, en elle-même, n'était qu'un témoignage incomplet. Les traditions andines, en elles-mêmes, n'étaient qu'une affabulation. Le tout, juxtaposé, faisait succéder aux interprétations des mythologies et des traditions américaines, égyptiennes, grecques et même babyloniennes, une explication enfin acceptable.

L'histoire, qui s'arrêtait aux dernières dynasties pharaoniques, venait de faire un bond dans le passé et se prolongeait maintenant jusqu'au dixième millénaire avant notre ère, sinon plus loin.

Voici ce que révélaient les documents secrets de Garcilaso de La Vega, traduits et commentés par M.Beltran :

TRADUCTION LITTERALE :

Les écrits pictographiques de Tiahuanaco disent que dans l'ère des tapirs géants, des êtres humains très évolués et d'un sang différent du nôtre, trouvèrent à leur convenance le lac le plus haut de la Terre (Titicaca). Au cours de leur voyage interplanétaire, les pilotes lancèrent leurs excréments sans atterrir et donnèrent au lac la forme d'un être humain couché sur le dos. Ils n'oublièrent pas le nombril, endroit où se poserait notre première Mère, chargée de l'insémination de l'intelligence humaine. Cette légende, hier, nous aurait fait sourire. Aujourd'hui nos hommes-grenouilles copient artificiellement les doigts palmés des colons de Tiahuanaco. Des indigènes andins vivent à des altitudes où le Blanc ne pourrait s'acclimater, ce
qui est la preuve qu'il peut exister un autre sang. Dans leurs puissants télescopes, les visiteurs sidéraux cherchèrent donc une altitude et un lac favorables à leur organisme et à leur vie amphibie. A noter que pour ruiner la tradition et discréditer le lac dans l'esprit des Andins, les cartes géographiques le représentèrent jusqu'en 1912 avec une forme presque ronde. Au nom légitime du lac : Titi (lac du mystère et du soleil), on ajouta le suffixe caca qui, dans beaucoup de langues, signifie excrément.

Ainsi donc, les documents du descendant de Garcilaso de La Vega faisaient état d'une Eve d'origine extraterrestre et d'engins interplanétaires. Ils donnaient aussi des précisions étonnantes :

A l'ère tertiaire (il y a environ 5 millions d'années), alors que nul être humain n'existait encore sur notre planète peuplée uniquement d'animaux fantastiques, un aéronef  brillant comme l'or vint se poser sur l'île du Soleil du lac Titicaca. De cet aéronef descendit une femme ressemblant aux femmes actuelles pour tout le corps des pieds jusqu'aux seins ; mais elle avait la tête en forme de cône, de grandes oreilles et des mains palmées à quatre doigts. Son nom était " Orejona " (grandes oreilles) et elle venait de la planète Vénus où l'atmosphère est à peu près analogue à celle de la Terre. Ses mains palmées indiquaient que l'eau existait en abondance sur sa planète originelle et jouait un rôle primordial dans la vie des Vénusiens. Orejona marchait
verticalement comme nous, elle était douée d'intelligence et sans doute avait-elle l'intention de créer une humanité terrestre, car elle eut des relations avec un tapir, animal grognant marchant à quatre pattes. Elle engendra plusieurs enfants. Cette progéniture née d'un croisement monstrueux naissait avec deux mamelles, une intelligence amoindrie, mais les organes reproducteurs restaient ceux du tapir-cochon. La race était fixée. Un jour, sa mission accomplie, ou peut-être lasse de la Terre, et désireuse de revenir sur Vénus où elle pouvait avoir un compagnon à son image, Orejona reprit son vol en astronef. Ses enfants par la suite,
procréèrent, se vouant surtout au destin de leur père tapir, mais dans la région de Titicaca une tribu demeurée fidèle à la mémoire d'Orejona développa son intelligence, conserva ses rites religieux et fut le point de départ des civilisations pré-inca.



Viracocha

Dans les Andes, ce deuxième toit du monde, il y a des milliers d'années, vint un Christ à la peau blanche et à la barbe blonde. Son histoire est une autre histoire sainte.

 Toutes les anciennes légendes des peuples des Andes sont hantées par un personnage nimbé de mystère. Il se distingue des Andins par sa haute taille, sa barbe et sa peau claire. Connu sous un grand nombre de noms différents d'un bout à l'autre de la Cordillère, il s'agit toujours du même personnage bien reconnaissable, Tiki Viracocha, Écume de Mer, un maître de la science et de la magie qui était venu pour remettre le monde en ordre suite à de terribles bouleversements qui avaient tout ravagé.

 Selon Thor Heyerdahl (Early man and the ocean, 1978) le personnage mythique de Viracocha existe dans une mutlitude de civilisations préeuropéennes d'Amérique du Sud et Centrale. Selon les différentes légendes de ces peuples, ce personnage aurait été de grande taille, de peau claire, avec une longue barbe et une grande toge, d'un style similaire à un moine. Il aurait suivi une route allant du Nord vers le Sud, civilisant suivant ces légendes les différents peuples qui se trouvaient sur son passage et leur donnant des valeurs et des techniques, les faisant passer du statut de sauvage à celui d'homme civilisé. Viracocha se présentait comme étant le fils du soleil.
Juste avant sa venue, il y eut un terrible déluge qui submergea la terre entière et anéantit la quasi-totalité de l'humanité. Viracocha apparut comme un sauveur. "Il parlait aux hommes avec amour et douceur, les appelant mes fils,  les engageant à s'aimer les uns les autres et à se montrer charitables. Son nom était Kon Tiki Viracocha. Mais on l'appelle aussi Huaracocha, Thunupa, Taapac, Tupaca ou Illa. Partout où il passait, il soignait tous ceux qui étaient malades et rendait la vue aux aveugles.

Il alla dans de nombreuses directions, ordonnant de nombreux travaux. Avant sa venue, les hommes vivaient dans l'anarchie ; nombre d'entre eux allaient nus comme des sauvages ; ils n'avaient pas de maisons et vivaient dans des grottes, qu'ils quittaient de temps à autre pour aller chasser et cueillir ce qu'ils pouvaient dans la nature." Ecume de Mer était aussi le maître de la Foudre. Il commandait aux orages ; les deux barres qu'il tient en mains représentent deux éclairs, ou plutôt deux lance-éclairs.

Est-ce lui qui a fait construire les andenes, ces terrasses qui ont donné leur nom à toute la Cordillère ? "Un jour, Ecume de Mer a surgi d'un lac avec quelques acolytes. Les hommes blancs aux cheveux blonds ont tout enseigné aux indigènes, les faisant passer en l'espace d'une génération d'un statut quasi animal à une civilisation morale, policée et civilisée. En particulier, les anciens péruviens se souvenaient des Viracocha comme les introducteurs d'arts divers, médecine, métallurgie, agriculture, élevage, écriture ...oubliée par la suite ! Ils leur ont aussi donné "une maîtrise poussée des techniques de l'ingénierie et de l'architecture." 


 Incroyable Viracocha ! Il agit comme Jésus-Christ ou quelque prophète charitable. Il prêche l'amour universel et veut mettre fin aux sacrifices humains. Il enseigne des sciences et des techniques insoupçonnées aux chasseurs-cueilleurs préhistoriques, qui, bien sûr, l'adorent. Quel chic type ! Et il guérit ceux qui parmi eux sont malades. Ecoutons plutôt le portrait qu'en fait Graham Hancock. Hancock est à Tiahuanaco, devant le portrait de Viracocha sculpté dans un bloc de pierre rouge :
 "Tel un disciple aux pieds de son maître, je m'assis sur le sol du temple disparu et contemplai le visage énigmatique. Bien qu'il soit presque effacé, on peut voir qu'il représentait un homme en paix avec lui-même et aux pouvoirs très étendus. Le front est haut, dégagé, les yeux sont ronds, grands ouverts. A côté de la tête, des animaux étranges ont été sculptés dans la pierre : ce sont de gros mammifères préhistoriques avec des queues et des membres massifs.


En contemplant cette magnifique sculpture, l'image qui me vient à l'esprit est celle d'un Viracocha magicien, ou sorcier, une sorte de Merlin l'Enchanteur paré de magnifiques et étranges vêtements, faisant s'abattre le feu du ciel sur la terre." 

 Et c'est exactement ce qu'il fut. Un magicien. Un guérisseur. Un saint homme. Un faiseur de miracles. On comprend la stupeur et le chagrin que son départ a causé.
 On comprend pourquoi les peuples des Andes ont espéré son retour par delà les siècles et les millénaires. Comme les Chrétiens attendent le retour du christ. Mais c'est le diable qui est revenu sous les traits du bon dieu. Pizarre mit fin au mythe dans un bain de sang.




 Le dieu civilisateur des Incas ressemble en tous point à Quetzalcoatl, celui des Aztèques. La seule différence tient dans son nom, qui signifie Serpent à Plumes. Ces noms étranges décrivent sans doute un savoir-faire, un signe particulier.

Le Quetzal est un oiseau. Coatl, le serpent, peut nager dans l'onde. Les Quetzalcoatl étaient-ils ceux qui se déplacent dans des avions submersibles ? Ceux qui volent et  nagent sous l'eau grâce à leurs engins magiques ?…

 A l'autre bout du monde, en Inde, le Mahâbhârata nous parle des envahisseurs de l'empire de Rama,  les Asvins. Ils possédaient un avion spécial qui pouvait naviguer sous l'eau et dans le ciel. Si le sens du Serpent à Plumes peut se comprendre ainsi, qu'en est-il d'Ecume de Mer ?
 Ce nom singulier pourrait-il décrire la même chose ? Quand un nageur sort de l'eau, peut-être fait-il quelques bulles, mais pas d'écume. Par contre, quand un avion submersible sort de l'eau, il le fait dans une gerbe d'écume. On imagine bien que l'apparition d'un engin jaillissant hors d'un lac soit de nature à frapper les sauvages. Ils l'auraient nommé Ecume de Mer, celui qui est sorti du lac Titikaka dans une gerbe d'écume. Que la présence technologique à cette époque ne vous choque pas, elle est fréquente.

 Electricité, calculateur, ovni, bombe atomique, télescope, beaucoup de nos inventions "modernes" ont déjà existé dans un lointain passé. L'Ecclésiaste ne dit pas autre chose.
 Dans un de ses imposants ouvrages, Anton Parks nous donne son étymologie du nom d'Enki, le dieu créateur de Sumer. Pour Parks, Ki désigne la troisième planète du système solaire, la nôtre. Enki appartenait au peuple extraterrestre des Anunna. Ceux des Anunna qui sont venus ici-bas furent nommés les AnunnaKi, les Anunna de la Terre.

 De la même façon le nom d'Enki [en-terre] signifierait : Celui qui est entré dans le Ki, dans les profondeurs de la Terre.  En effet, on se souvient comment Enki, chassé par son pseudo frère Enlil, s'est réfugié dans le monde souterrain de l'Abzu. Or que nous disent les Andins ? Leur dieu blanc est sorti des profondeurs d'un lac. Il s'appelait Tiki. Ti veut dire maison, cité, comme dans Ti-huanaco, la cité sacrée, divine. Ki c'est la terre et ses profondeurs dont il sort et dans laquelle il rentrera au moment du départ.

 Tiki, Enki, on est plus que tenté de penser qu'il s'agit du même dieu.

 Enki a donc laissé Sumer et l'Europe sous la responsabilité du « Saddam » Enlil - le grand Satan, c'est à dire l'Administrateur et non le diable comme on nous l'a fait croire. Pendant ce temps, utilisant la voie souterraine, Enki gagne les Amériques où il entreprend de démarrer une civilisation jumelle. Enki est un fondateur, un pionnier, tandis que son pseudo frère Enlil représente la seconde génération, qui doit faire prospérer l'œuvre et à ce titre se méfie des pères pionniers.
Un jour à Manta (Equateur) il marcha vers l'ouest et il entra dans les eaux du Pacifique, en promettant de revenir un jour. Les Incas pensaient que Viracocha s'était éloigné en laissant le travail quotidien du monde sous la surveillance des autres divinités qu'il avait créées.
                     





TLALOC


Tlaloc appartient à la deuxième génération des dieux civilisateurs, la première étant celle de Quetzalcoatl, le Serpent à Plumes. Tlaloc est le patron de la foudre, de la pluie qui ruisselle et de la fertilité. Cette triple étiquette correspond tout à fait à notre vision des Cités des cimes, ce paradis terrestre où la foudre rendait la vie plus facile. Tlaloc était le big boss des centrales fulgurales du secteur, tout simplement.
Comme Lugh l'était à Avebury, ou Chac à Ollantaytambo, ou Osiris à Abydos. Il semble que les dieux d'avant aient construit des machines à transformer les hommes en dieu, grâce à la foudre. Outre que ce baptême du feu leur donnait l'éveil, la longévité et tous les pouvoirs divins, la foudre enrichissait l'eau d'irrigation des andenes,ces innombrables terrasses que Tlaloc, Chac ou le dieu du ruissellement local, avait sagement fait bâtir sur les pentes abruptes de son paradis, pour le plus grand bénéfice de l'agriculture.


Quiconque a observé les animaux après un orage sait combien ils apprécient l'eau qui a reçu la foudre. Si on leur donne le choix, mêmes nos chiens familiers préféreront toujours boire de l'eau de foudre plutôt que cette saleté qui coule au robinet. Il y a une bonne raison à cela : l'eau de foudre communique à ceui qui la boit son énergie particulière. Les dieux d'avant ont enrichi de grandes quatités d'eau, pour leur consommation, celle de leur bêtes, et celle de leurs plantes. Les eaux d'irrigation, vibrées par la foudre et enrichies par les nitrates qu'elle y développe, produisaient des récoltes abondantes et variées, qui faisaient des envieux dans les vallées où des chasseurs primitifs trouvaient à peine de quoi survivre. D'où la croyance Aztèque que seuls quelques élus auraient droit au paradis de Tlaloc. Si Tlaloc est le dieu de la Pluie qui ruisselle, il est aussi le dieu de la foudre et de la fertilité. Car si l'eau n'est pas "bénie" par la foudre, la terre sera moins fertile.

Il était vénéré comme le dieu qui transforme, qui change les hommes, et qui renouvelle la nature. Avec ses compagnons divins, les Tlaloques, il vivait dans le Tlalocan, paradis terrestre au sommet des montagnes, où nourriture, eau et fleurs abondaient.

 Attendez voir ?! Un paradis terrestre situé en altitude, habité par des dieux civilisateurs, où règne l'abondance d'eau, de vivres et de fleurs... Voilà qui nous rappelle un autre paradis semblable, celui de la légende Sumérienne, de l'autre côté de l'Atlantique, sur les montagnes du Kurdistan...


Comment se fait-il que deux "légendes" exactement semblables se soient développées si loin, à une époque où - en principe !! - les communications n'existaient pas, ni les traversées transatlantiques... Une réponse vraisemblable est qu'il ne s'agit pas de légendes imaginaires, mais de faits réels, relocalisés pour mieux frapper les imaginations et racontés sur un mode naïf pour les mêmes raisons.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire