62 enfants d’une
école de la banlieue d’Harare, au Zimbabwe, furent témoins de l’atterrissage
d’une soucoupe volante et virent deux êtres en sortir. Ces témoignages ont été
filmées et étudiés par le célèbre psychiatre John Mack, lequel a conclu que ce
que les enfants avaient vu était bien réel et non le fruit de leur imagination.
C’est à Ruwa,
Zimbabwe, que se trouve l’école de Arial, située à 20 kilomètres de la capitale
Harare. Comme à l’ordinaire, ce 16 septembre 1994, les enfants jouent
dans la cour d’école tandis que les professeurs profitent de la pause pour
tenir un conseil dans la salle de réunion. Le jeu des enfants est
interrompu quand une » soucoupe volante » se pose près de la zone
de récréation pour y débarquer d’étranges humanoïdes. Des élèves se
précipitent dans la salle de réunion pour avertir les adultes. Colin Mackie, le
directeur de l’établissement, témoigne de l’absence d’intérêt du corps
enseignant :
" Nous
étions en pleine réunion. Aucun enseignant n’aperçut quoi que soit. Quelques
élèves prirent des collègues à parti pour leur signaler cette étrange présence.
Mais nous n’y prêtions aucune attention. J’ai commencé à prendre l’affaire au
sérieux quand des parents d’élèves vinrent me voir et inspecter les lieux de
l’incident " .
Pas moins de 62
élèves âgés de 8 à 12 ans observent la » soucoupe volante » et les
deux » extraterrestres « , dont les descriptions se recoupent. Ce
n’était pas un humain. Je ne sais pas ce que c’était, mais il avait une grosse
tête et de gros yeux noirs et portait une combinaison noire «, se rappelle une
élève.
Après enquête, John
Mack, professeur de psychiatrie à Harvard, atteste de la sincérité des témoins.
Les occupants de l’OVNI auraient adressé une communication télépathique aux
enfants. Interrogée sur les raisons de cette visite » extraterrestre «,
une élève explique que les » extraterrestres » » nous
communiquèrent l’imminence de la fin du monde. Ils veulent nous faire prendre
conscience que nous détruisons la planète. Ces idées me sont venues comme cela
dans la tête. L’humanoïde ne parlait pas. Il s’exprimait avec ses yeux. Il
avait l’air » horrible « .
Effrayée, la
fillette décrit sa vision d’horreur, communiquée par les » êtres »
:
» C’était
comme si tous les arbres du monde agonisaient, qu’il n’y avait plus d’air
respirable et que les gens allaient tous mourir « .
Plusieurs élèves
furent interrogés par Cynthia Hind, ufologue africaine, en présence de Colin
Mackie :
» Je peux
vous assurer que les élèves n’auraient jamais osé raconter des sottises en
présence du directeur de l’école, qu’ils craignent par dessus tout « .
L’enquête de
John Mack
Je me souviens encore de
la façon dont une petite fille m’avait décrite la scène, rapporte Dominique,
elle disait que c’était comme si les êtres sautillaient , en se dirigeant vers
eux.
Je me souviens quand John
leur a demandé :
- Comment appellerais-tu
ces êtres que tu as vu ?
La petite fille a répondu
:
– Je les appellerai
» ALIENS «, je les appellerai Extraterrestres.
En Septembre 1994, dans
cette école d’Araré, au Zimbabwe, plusieurs enfants furent témoins de
l’atterrissage de plusieurs objets, et virent deux êtres en sortir, Dominique
et John les avaient rencontré, les enfants, leurs parents et les professeurs
encore sous le choc.
John, justement spécialiste en psychiatrie infantile, avait longuement questionné les enfants.
John, justement spécialiste en psychiatrie infantile, avait longuement questionné les enfants.
- Oui le bruit qu’on a
entendu dans l’air.
- Tu as entendu un bruit
dans l’air, c’est bien ça ? Ca ressemblait à quoi ? Un rugissement, un
bourdonnement, un ronflement, quel était ce genre de bruit ?
- C’est comme si quelque
chose, jouait de la flûte.
Une autre petite fille :
- J’ai été effrayée
moi-même.
- Effrayée parce que tu as
vu quelque chose toi-même !
- Oui, j’ai vu un petit
objet survoler, il était assez grand en fait, et il y en avait des petits tout
autour.
- On a vu quelque chose argenté, alors on a couru très vite jusqu’à la cabane, et on a vu un truc argenté et un homme debout à côté.
– Ca faisait quoi quand il te regardait
?
– J’ai eu peur.
–
Ca faisait peur ? qu’est-ce qu’il y avait qui faisait peur ?
– J’ai eu peur parce que je n’ai jamais vu
une personne comme ça avant.
– Tu as vu les yeux ? –
Ils étaient comme ça, (et la petite fille décrit des yeux en amandes allant sur
les côtés du front).
– Ou était la partie pointue ?
– Ou était la partie pointue ?
Elle met le doigt sur le côté du front en disant,
là-haut.
- Que ressentais-tu quand tu regardais ces yeux ?
– Ca faisait peur.
– Pourquoi ça faisait peur ?
– Les yeux étaient malfaisants.
– Pourquoi qu’est-ce qui était malfaisants en eux, dis ce que tu entends par malfaisants ?
– Ils étaient malfaisants parce qu’ils n’arrêtaient pas de me fixer.
– Te fixer, comme pour faire quoi ?
– Comme s’ils voulaient me venir me prendre.
– Comme s’ils voulaient venir te prendre c’est le sentiment que tu a eu ?
– Oui.
– Ils voulaient que vous alliez avec lui ? Tu avais le sentiment que tu voulais aller avec lui ?
– Non.
– Quelle a été ta réaction quand tu as senti qu’il voulait que tu ailles avec lui ?
– J’ai juste avancé et j’ai commencé à pleurer.
– Pourquoi penses-tu qu’ils veulent que nous soyons effrayés ?
– Parce qu’on ne fait pas attention à notre planète, à l’air.
– Est-ce une idée que tu avais déjà, que l’on ne fait pas attention à l’air et à la planète, ou cette idée t’es venue quand tu as eu cette expérience ?
– Quand j’ai eu cette expérience.
– Et comment cette idée t’es venue de cette expérience, quand tu as eu cette expérience ?
– J’ai eu ce sentiment horrible à l’intérieur.
– Parle moi de ce sentiment horrible.
– C’était comme si tous les arbres étaient abattus, qu’il n’y avait plus d’air et les gens mouraient.
– Tu avais ces pensées avant cette expérience ?
– Non.
– Comment ces pensées te sont venues, elles te sont venues depuis le vaisseau ou ?
– De l’homme.
– L’homme t’a dit ces choses, comment t’a t-il transmis ça ?
– Il n’a jamais rien dit c’est juste son visage, ses yeux.
– Quelle est la sensation que tu as eu de ses yeux ?
– Qu’il était intéressé.
– Ca faisait peur.
– Pourquoi ça faisait peur ?
– Les yeux étaient malfaisants.
– Pourquoi qu’est-ce qui était malfaisants en eux, dis ce que tu entends par malfaisants ?
– Ils étaient malfaisants parce qu’ils n’arrêtaient pas de me fixer.
– Te fixer, comme pour faire quoi ?
– Comme s’ils voulaient me venir me prendre.
– Comme s’ils voulaient venir te prendre c’est le sentiment que tu a eu ?
– Oui.
– Ils voulaient que vous alliez avec lui ? Tu avais le sentiment que tu voulais aller avec lui ?
– Non.
– Quelle a été ta réaction quand tu as senti qu’il voulait que tu ailles avec lui ?
– J’ai juste avancé et j’ai commencé à pleurer.
– Pourquoi penses-tu qu’ils veulent que nous soyons effrayés ?
– Parce qu’on ne fait pas attention à notre planète, à l’air.
– Est-ce une idée que tu avais déjà, que l’on ne fait pas attention à l’air et à la planète, ou cette idée t’es venue quand tu as eu cette expérience ?
– Quand j’ai eu cette expérience.
– Et comment cette idée t’es venue de cette expérience, quand tu as eu cette expérience ?
– J’ai eu ce sentiment horrible à l’intérieur.
– Parle moi de ce sentiment horrible.
– C’était comme si tous les arbres étaient abattus, qu’il n’y avait plus d’air et les gens mouraient.
– Tu avais ces pensées avant cette expérience ?
– Non.
– Comment ces pensées te sont venues, elles te sont venues depuis le vaisseau ou ?
– De l’homme.
– L’homme t’a dit ces choses, comment t’a t-il transmis ça ?
– Il n’a jamais rien dit c’est juste son visage, ses yeux.
– Quelle est la sensation que tu as eu de ses yeux ?
– Qu’il était intéressé.
Le professeur ensuite :
- Ils sont arrivés en courant, et tellement paniqués,
même si on l’avait voulu, on n’aurait jamais réussi à les faire courir tous
ensembles comme ça. On a essayé je ne sais combien de fois, ils ont jailli ici
comme si ils avaient vu un serpent. On était en réunion de professeurs, on les
a entendu hurler et ils étaient là. Les enfants ne peuvent pas inventer tout
ça.
Autre professeur :
- J’ai compris qu’ils avaient vu quelque chose, mais je
n’étais pas prête à accepter que ce soit quelque chose de surnaturel.
Des enfants dessinant ce qu’ils ont vu :
- Ils avaient des yeux noirs et des pupilles blanches.
- Il était à coté de l’objet argenté ?
– Non il était dessus.
– Il t’a regardé ?
– Oui il m’a foutu les jetons j’ai arrêté de le regarder.
– Il t’a foutu les jetons ?
– Là sur ton dessin on le voit debout.
– Oui je l’ai dessiné debout parce que je ne sais pas le dessiner assis (et l’enfant rigole).
– Non il était dessus.
– Il t’a regardé ?
– Oui il m’a foutu les jetons j’ai arrêté de le regarder.
– Il t’a foutu les jetons ?
– Là sur ton dessin on le voit debout.
– Oui je l’ai dessiné debout parce que je ne sais pas le dessiner assis (et l’enfant rigole).
Une enfant au tableau
dessinant ce qu’elle a vu :
- Je pensais que c’était
la fin du monde, peut-être qu’ils venaient nous dire que c’était la fin du
monde.
Ils parlent de leurs
expérience, de ces événements comme une personne parle de quelque chose qui lui
est arrivée, lorsque vous parlez avec une personne psychotique, et qu’il vous
raconte des choses, vous sentez que ces choses ne sont jamais arrivées.
Je sais que ce sont des
choses que cette personne veut me faire croire, il ment et déforme la réalité,
il n’y a rien de comparable ici, ce sont des personnes saines, qui me parlent,
de quelque chose dont ils se rendent bien compte que ça parait faux et ils ont
conscience de cela, et ils se posent plein de questions, ils décrivent quelque
chose de réel et d’intense ; la qualité de la façon dont ils en parlent et
celle d’une personne parlant d’une expérience qu’il lui est vraiment arrivée.
Voici d'autres desseins
des enfants :
John a découvert que de
l’Afrique au Brésil, de l’Australie à la Turquie, tous décrivent les mêmes
êtres.
Suite de l’affaire
Le réalisateur américain
de films Randall Nickerson est actuellement en visite au sud de
l’Afrique pour faire un documentaire qui succède à l’incident qui est survenu à
l’Ecole Ariel à Ruwa, au Zimbabwe, en 1994, lorsque 62 enfants âgés entre 8 et
12 ans ont rapporté avoir vu un OVNI et des « êtres étranges » durant
leur pause du matin.
Ces enfants sont
maintenant de jeunes adultes dispersés à travers le monde. Nickerson les
recherche pour les interviewer sur leur expérience. “Leurs histoires n’ont
pas du tout changé”, a-t-il dit. “Ce qui n’aurait pas été lé cas
s’ils avaient tout inventé”.
Alors que s’est-il
réellement passé ce jour de 1994 à l’école de Ruwa juste à l’Est
d’Harare ? “C’était pendant la pause du matin et ils étaient dans la
cour d’école en train de jouer”, a dit Nickerson. “Ils virent un
vaisseau argenté principal et il y en avait quatre autres autour de
lui”, a dit Nickerson. “Il est descendu sur une colline derrière la
cour d’école qui était au-delà des limites. La limite était la bordure de la
cour d’école, puis il y avait des broussailles jusqu’à la colline.
“Ils ont couru jusqu’à la
bordure de la cour d’école pour voir ce qu’était cette chose. Ils ont vu cette
petite créature marcher au-dessus du vaisseau tandis qu’une autre descendait
voir les enfants. Elle était toute en noire, avec un costume très serré. Les
enfants ont dit qu’il avait de gros yeux « comme des ballons de
rugby ».
(Note : les yeux constituent
la caractéristique principale des » Gris « . En forme d’amande, ils
occupent toute la largeur du faciès. Enormes, ils ne possèdent ni iris, ni
pupille, ni cornée. Les yeux des aliens jouent un rôle important dans la
transmission télépathique avec les abductés. Il permettent non seulement de
lire les pensées des kidnappés mais aussi de transmettre des impressions, des
suggestions ou des injonctions. En fixant des abductés, les » Gris
» peuvent mettre à nu le passé, le présent et le futur du captif, tout en
évoquant des émotions de grande intensité. C’est pourquoi les abductés essaient
d’éviter le contact avec ces yeux, décrits comme une » ouverture sur
l’infini « . En fixant les kidnappés dans les yeux, les aliens
communiquent sur la situation périlleuse de la Terre. Ainsi, selon Emma, une
abductée : » Alors que l’entité me fixait, ma » conscience »
me suggéra que nous faisons du mal à la Terre « ).
Les enfants ont eu un
contact visuel direct avec la créature. Il semble y avoir eu une sorte de
communication avec les enfants sur l’état du monde, ce que nous faisons à la
planète, la destruction que nous causons, bien que tous les enfants n’ont pas
eu ce message. Certains enfants étaient traumatisés, d’autres excités. Les
jeunes enfants qui étaient les plus traumatisés étaient au devant du groupe.
UFO / OVNI - Zimbabwe - 1994
Source : http://www.echo-zen.com/zimbabwe-1994/
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