Certains
scientifiques sont aujourd’hui persuadés que la Lune n’a pas toujours été notre
satellite. Différents mythes et légendes rapportent que jadis, il n’y avait pas
de Lune dans le ciel. La Lune serait apparue au moment du Grand Déluge. C’est
ce que pensaient les habitants du sud de la Grèce antique, et différents peuples
africains. On a cependant retrouvé des traces de flux et de reflux de marées
dans ces régions. Or, comme chacun sait, c’est la Lune qui provoque ces flux et
ces reflux. Ceci semblerait a priori contredire la théorie de l’absence de Lune
avant le Déluge. Mais rien ne permet d’affirmer qu’un autre corps céleste
n’assurait pas alors cette fonction de régulation des océans qui est
aujourd’hui dévolue à la Lune. Selon d’autres sources, il y aurait jadis eu
deux voire plusieurs lunes dans le ciel (Vénus?), mais l’influence qu’elles
auraient pu avoir sur la mer est impossible à établir.
Les
Mayas ont laissé des documents d’après lesquels c’est Vénus et non pas la Lune
qui brillait la nuit au dessus de leurs têtes. Car Vénus devait certainement
avoir un aspect très différent autrefois. Il y avait à Rome un historien qui
était persuadé que le Déluge avait été provoqué par un changement d’orbite de Vénus.
Et selon de nombreux mythes et légendes, la Lune serait apparue dans le ciel
après la dissipation des ténèbres consécutifs au Déluge.L’astronome allemand
Gesterkorn pense que son âge est à peu près égal à la moitié de celui de la
Terre. Selon sa théorie, après sa création, la Lune aurait commencé par orbiter
loin de la Terre, et c’est un autre corps céleste qui, en passant à proximité,
l’aurait contrainte à changer d’orbite, puis elle aurait fini par se retrouver
« emprisonnée » dans la zone d’attraction terrestre.C’est alors que la Lune
aurait acquis son influence sur l’élément eau. L’approche de la Lune se serait traduite
par des marées gigantesques, des éruptions volcaniques et des tremblements de
Terre. Les vagues avaient probablement la taille de montagnes, les volcans
crachaient du feu et l’eau était en ébullition. Et le nouveau satellite de la
Terre fut sans doute à l’origine du Déluge.
Il
existe de nombreuses autres théories concernant la formation de la Lune. L’une
d’entre elles considère notre satellite comme une création des aliénigènes (=
extraterrestres n’appartenant pas à une race humanoïde). Selon cette théorie,
c’est un endroit où des aliénigènes disposeraient de bases, de centres de communication,
et ce genre de choses. Il y en a même qui sont persuadés que la Lune est un
ovni gigantesque camouflé en planète morte.
La
menace des météorites est devenue un thème à la mode. Il y a des films sur ce
sujet, des articles et des études scientifiques, des émissions télévisées
consacrées à ce qui pourrait arriver si un météorite entrait en collision avec
la Terre. Les météorites sont petits en comparaison des planètes, mais il en
existe de très gros, dont l’impact suffirait à détruire toute trace de vie sur
la Terre.
Il
semble logique de supposer que les corps célestes de petite taille soient des
fragments d’éléments plus gros. C’est pourquoi les météorites pourraient être
des morceaux de planètes. L’astrophysicien Anatoly Chernyaeyv estime que c’est
exactement ce qui s’est produit lors de la collision du météorite Tunguska avec
la Terre. Selon sa théorie, une partie de la Terre s’est jadis dissociée
d’elle-même et elle est partie dans le ciel. Mais elle n’a pas réussi à sortir
du champ de gravitation terrestre et elle est retombée sur la Terre. Bien sûr,
il est absolument impossible de prouver la véracité d’une telle théorie, car
s’il y a jamais eu des témoins d’un tel phénomène, ils sont de toutes façons
tous morts depuis longtemps. Mais selon cette approche des choses, la Lune
pourrait n’être qu’un fragment de la Terre, qui n’aurait pas réussi à échapper
à la gravitation terrestre.
DE
LA VIE SUR LA LUNE
La
surface de la Lune ne semble pas inhabitable, et peut-être des créatures
vivent-elles à l’intérieur même de notre satellite. Que font les humains
lorsqu’ils veulent se protéger de la menace nucléaire ou de toute autre
catastrophe d’origine humaine ? Ils construisent des abris souterrains. Il
existe ainsi sur la Terre de nombreux abris ; ils sont profonds, résistants et
vastes. Les technologies actuelles permettent d’envisager la survie sous la
Terre durant des décennies et même, pourquoi pas, des siècles. Inutile de
préciser que ces abris n’ont pas été construits pour l’ensemble de la
population, mais seulement pour une élite !!! (Certain seront fini pour 2012 !
) .Il est impossible que la Lune ait été utilisée comme station spatiale par
différentes créatures. Les rares personnes qui ont eu le privilège de marcher
sur la Lune y ont observé des choses vraiment étranges, comme par exemple des
traces de chenilles de véhicules et de petits objets en verre orange. L’un des
astronautes d’Apollo a même déclaré avoir aperçu des ovni.
La
NASA détient une impressionnante série de photos à ce sujet. La plupart ont été
classées top-secret et ne sont pas diffusées, mais même les documents dont nous
disposons prouvent que certaines régions de la Lune ne ressemblent pas du tout
à ces paysages froids, désolés et inhospitaliers que l’on a cherché à nous montrer.
Il est maintenant établi qu’il y a des constructions sur la Lune ; il y a des
ponts, des tours, des bâtiments, et des dômes gigantesques. Tous ces édifices
semblent accréditer la thèse selon laquelle la Lune a été colonisée et qu‘elle
est encore habitée aujourd’hui.
Le
grand quotidien russe «Pravda» (la vérité) a rapporté le 5 octobre 2002 que des
traces de civilisation auraient été découvertes sur la Lune, incluant celles de
la présence de villes habitées ! Sous prétexte que nous ne serions pas encore
psychologiquement aptes à le digérer, ceux qui nous gouvernent semblent avoir décidé
une fois pour toutes qu’il valait mieux cacher la vérité aux populations de la
Terre. En Europe comme aux Etats-Unis, nous nous trouvons ainsi une nouvelle
fois confrontés au black-out imposé par l’entreprise de désinformation qui
gouverne le monde. Car il semble qu’il existe des villes non seulement « sur »
la Lune, mais aussi « dans » la Lune. Ce sont en réalité des bases dont
certaines seraient peuplées d’humains et d’autres d’extraterrestres !
DES
STRUCTURES GEOMETRIQUES
Formes
étranges sur la lune
Les
formes géométriques très structurées ressemblant à un demi porte-avions colossal
de prés de 26km de long et où apparaissent à l'extrémité d'une plate-forme
rectiligne des sortes de sphères de plus 4km de diamètre chacune, surmontées
d'une gigantesque flèche formant un angle droit parfait avec cette plateforme ont
étés observées. Cette "superstructure" est visible sur la face cachée
de la Lune sur une photographie de la NASA, prise par les astronautes d'Apollo
8, publiée pour la première fois et aussi l'unique fois en France par le
Paris-Match 1028 du 18 Janvier 1969 à la page 33.
Sur
les bords du cratère Vitello, l'on voit sans discussion possible des traces de
plus de 600 mètres de long, laissées par deux "véhicules" d'environ
5m et 25m de large pesant des centaines de tonnes et qui ont remonté les pentes
de deux petits cratères. Ces traces sont très nettement visibles sur la photo
n° 67-H-1135 de la NASA et que l'on peut voir dans les ouvrages : "Ils
n'étaient seuls sur la Lune " de G. Léonard (Belfond Mars 1978) et "
La Lune et ses défis à la science " de A. Nahon (Editions Mont-Blanc
1973). Il y a aussi des rayonnements très brillants qui s'échappent en étoile
de certains cratères comme Tycho, Copernic, kepler...
La
différence de densité moyenne 3,33g/cm3 pour la Lune et 5,5g/cm3 pour la Terre,
ainsi que la composition des roches lunaires, bien moins riches en métaux que
celles de notre bonne Terre, semblent éliminer l'hypothèse que la Lune ait été
à l'origine arrachée de la Terre. Cette hypothèse a pourtant, en ce moment, la
très grande faveur des scientifiques, qui pour cela font intervenir le choc de
la Terre avec une planète presque aussi grosse que Mars, choc qui
transformerait d'abord la Terre en une planète avec un anneau comme Saturne
puis dans le temps record incroyable d'une année l'anneau devrait réaliser son accrétion
pour former la Lune. 27 simulations numériques de différents centres de
recherches réalisés pour vérifier cette hypothèse ont abouti au même résultat.
(voir la revue Ciel et Espace n°333 de Février 1998).
Ce
qui est surprenant, c'est qu'une revue qui se veut sérieuse comme
Science&Vie dans son n° 1015 d'Avril 2002 dans un article intitulé
"Retour sur la Lune" en page 60, nous écrit les paragraphes suivants:
"
D'autres part, les scientifiques voudraient comprendre le rôle qu'a joué notre
satellite dans la stabilisation de la rotation de la Terre, un facteur
déterminant pour l'essor de la vie. Si l'on sait déjà qu'elle est née il y a environ
4,5 milliards d'années du choc d'un planétoïde qui a heurté la Terre et en a
arraché un morceau, on ignore si elle s'est détachée d'un seul coup ou si elle
s'est formée à partir d'une multitude de petits éclats de notre planète."
La
thèse de la Lune arrachée de la Terre ! Il est alors préférable pour l'instant
d'admettre que la Lune pourrait venir d'ailleurs. Mais comment a-t-elle pu être
capturée par la Terre pour se placer sur une orbite formant un cercle presque
parfait, nécessitant un freinage rigoureux lors de la satellisation, alors que
les satellites des autres planètes décrivent généralement des ellipses plus ou
moins étirées? La probabilité d'une telle capture est donc pratiquement nulle.
Mais
cet événement devient très surprenant, quand on sait que la Lune possède ce que
l'on appelle une rotation obligée, ce qui signifie qu'elle tourne sur elle-même
dans le même temps qui lui faut pour effectuer sa révolution autour de la
Terre, soit environ 27,3 jours (exactement 27 Jours, 7 heures 43 minutes et
11,5 secondes). La conséquence de cette rotation, dite aussi synchrone est que
la Lune nous présente toujours la même face. Si la Terre avait une rotation
obligée autour du soleil, elle présenterait toujours le même hémisphère grillé
face au soleil et l'autre resterait dans la nuit glacée perpétuelle.
Cette
situation, appelée par les spécialistes, "la résonance spin- orbite",
est-elle courante dans le système solaire ? Apparemment OUI car c'est le cas de
la plupart des satellites naturels des planètes du système solaire. Un peu plus
de 60 satellites naturels sont répertories actuellement dans le système solaire.
Il y en a exactement cinquante qui ont la même synchronisation que la Lune,
c'est à dire qu'ils effectuent une rotation sur eux mêmes précisément dans le
même laps de temps où ils bouclent une révolution autour de leur planète
respective, ce qui a pour effet, lorsque leur excentricité orbitale est faible
(ce qui est généralement le cas), qu'ils montrent toujours la même face à la
planète."
Dans
un article d' Éric Bois de la revue "Pour la Science" , n°285 de
Juillet 2001, nous apprenons, que la Lune possédait un deuxième synchronisme:
En effet, d'une part son axe de rotation tourne (comme celui d'une toupie)
autour d'une position moyenne et décrit la surface un cône (appelé cône de
précession) en 18,6 ans, et d'autre part, la Lune voit de plus, l'axe perpendiculaire
à son plan orbital, décrire également un autre cône, en exactement aussi, 18,6
ans. Cette seconde précession a pour conséquence, le décalage des nœuds
ascendant et descendant, points d'intersection de l'orbite de la Lune et de
l'écliptique (plan de l'orbite moyenne de la Terre passant par le centre du
soleil). A chaque fois que la Lune croise le plan de
l'écliptique,
les nœuds se décalent légèrement pour ne retrouver leur position initiale qu'au
bout de 18,6 ans.
Ce
double synchronisme de la Lune, engendre deux fréquences supplémentaires dites
"fréquences de résonance" de 2,9 ans et de 80,1 ans, qui combinées
aux fréquences déjà citées de 27,3 jours et 18,6 ans, régissent donc toutes les
perturbations connues de la rotation de la Lune. Cela joint en plus, au fait
que son volume représente près de 2% de celui de la Terre et sa masse 1%,
pourcentages de loin supérieurs à tous ceux obtenus par toutes les autres
planètes et leurs satellites , va entraîner donc le fait que le "duo
Terre-Lune" se présente comme une "planète double", ce qui en
fait un couple presque unique en son genre dans le système solaire, (
Remarquons en passant aussi l'exception du couple Pluton-Charon, encore plus extraordinaire,
car le satellite Charon tourne autour de Pluton en 6,39 jours et la planète
Pluton tourne sur elle-même, chose bien bizarre, exactement en 6,39 jours
également, si bien que Pluton possède un hémisphère où Charon apparaît
totalement immobile dans le ciel comme le serait un satellite géostationnaire
pour la Terre).
DES ROCHES LUNAIRES
La
revue américaine, trimestrielle de Juin 1976 intitulée "UFO REPORT"
contenait un article de huit pages de Don Wilson tiré probablement de son livre
"Our mysterious space ship Moon" paru aux États-Unis en 1975 et
seulement en 1979 en France. Dans cet article :
...Mais
le premier spécimen de roche que l'astronaute Neil Armstrong ramassa dans la
Mer de la
Tranquillité
après son alunissage se révéla dater de plus de 3,6 milliards d'années. Mais ce
ne fut qu'un début dans l'histoire de ce mystère d'ancienneté. L'une des
pierres rapportées au cours de ce premier voyage, se révéla d'un âge
déconcertant de 4,3 milliards d'années. Une autre roche (la n°13) atteint la datation
encore plus exceptionnelle de 4,5 milliards d'années.. Et un échantillon de sol
rapporté par Apollo 11, se révéla vieux de 4,6 milliards d'années - l'âge même
que les scientifiques attribuent à la Terre et au système solaire. De même, les
sondes inoccupées soviétiques, décelèrent dans l'une des plus anciennes mers de
la Lune, la Mer de la Fertilité, des pierres âgées de 4,6 milliards d'années.
Cependant selon le périodique d'astronomie bien connu, "Sky and
Telescope", la Conférence sur la Lune de 1973, à laquelle participèrent la
plupart des spécialistes lunaires de la NASA, révéla que l'on avait découvert
une roche lunaire datant de 5,3 milliards d'années. Un autre rapport, fondé sur
la méthode potassium-argon qui est aujourd'hui, le système de datation, le plus
précis, établit que "certaines pierres" ont atteint l'âge incroyable de
7 milliards d'années.
Selon
un autre rapport "deux pierres rapportées par Apollo 12 ont été estimées
pour avoir l'âge de 20 milliards d'années, soit 4 fois l'âge de la terre et de
notre système solaire, la limite d'âge extrême qui ait jamais été attribuée à
une partie de l'Univers.
Dans
un article de "Chemistry" de Février 1974 , le Dr Urey avance que des
pierres lunaires ont révélé qu'elles contenaient des isotopes du Xenon
produites par la fission du plutonium 244 , qui n'existe pas sur la Terre, ce
qui indiquerait que la Lune est beaucoup plus ancienne.
Le
sol et les roches lunaires ont suscité tant de contradictions qu'une équipe de
savants de l'Institut
Technologique
de Californie (Caltech) a présenté un rapport intitulé "The Lunatic
Asylum".
DES
MASSES ENORMES
Quelle
est la nature de ces concentrations de masses énormes appelées pour cela
"mascons" et qui sont enfouis à différents endroits dans le sous-sol
lunaire? Ces mascons ont la particularité de perturber les trajectoires des
sondes en orbite autour de la Lune. Découverts vers 1970, ils se localisent
principalement sous les mers lunaires.
DES
ONDES DE SURFACE
Les
différents sismomètres déposés par les astronautes sur la Lune ont enregistré
des ondes de surface dont les vibrations ont été beaucoup plus longues que ce
que l'on avait prévu lors de l'impact de la partie supérieure du
"Lem", précipitée sur la Lune avant le retour sur Terre. L'expérience
a été réalisée plusieurs fois et la Lune a vibré parfois plus d'une heure, ce
qui a fait dire au géophysicien Maurice Ewing: "C'est comme si l'on avait
heurté une cloche". La lune serait-elle creuse?
DES
PHENOMENES LUMINEUX INSOLITES
La
Lune n'est pas morte comme on pourrait le croire. Des phénomènes lumineux
insolites ont été aperçus à sa surface depuis très longtemps. Au cours des
trois derniers siècles et en 1971, on notait près de 1500 cas de taches
lumineuses brillantes et de changements temporaires, nommés pudiquement
"phénomènes transitoires" par les spécialistes, (TLP:Transient lunar
phénoména) ont été notés sur la surface lunaire, dont plus de 200 concernant la
seule région du cirque d'Aristarque. L' Observatoire Lowel dans I'Arizona observa
une tache très brillante, de couleur rouge rubis en forme d'ovale très allongée
sur près de 22 km de long, découverte le 27 Novembre 1963. L'observation faite
sur l'arête du rempart du cratère d'Aristarque pourtant dans l'ombre à ce
moment là, dura 75 mn, des clichés en noir et blanc furent obtenus, et on peut
les voir à la page 65 de la revue Science et Vie n° 559 d'avril 1964.
BASES
HUMAINES SUR LA LUNE
Les révélations de
M. W. Cooper
Un
conflit américano-soviétique aurait eu lieu sur la lune causant la mort de 66
hommes. Rien n'est prouvé, mais il est certain qu'il y avait aussi un vaisseaux
soviétique au moment de l'alunissage de plusieurs missions de la NASA sur la
lune, notamment Apollo 11.
Dès
1968 le français Jean SENDY (dans son livre "La Lune clé de la
Bible", paru chez JULLIARD) évoque l'hypothèse de la base lunaire. Puis en
1971 deux savants soviétiques (Mikhail Vasin et Alexander Chtcherbakov) dans le
magazine Spoutnik déclarent que " La lune serait un satellite artificiel
de la Terre, mis sur orbite autour d'elle par des êtres intelligents qui nous
ont créé et qui nous surveillent . "
Selon
Milton William Cooper, le programme Apollo ne fut qu’un leurre, sans doute la
mise en scène la plus coûteuse de toute l’histoire de l’humanité. Les
astronautes ignoraient tout de ce montage, c’est pourquoi ils remplirent leur
rôle à la perfection, et la séquence du soi-disant premier pas de l’homme sur
la Lune fut un véritable triomphe médiatique.
Milton
William Cooper a été assassiné le 5 novembre 2001 à l’âge de 58 ans, dans des
circonstances particulièrement troubles, à Eagar en Arizona, où il vivait seul,
après avoir fait quitter les Etats-Unis à tous les membres de sa famille, car
des agents de la CIA l’avaient à différentes reprises menacé de s’en prendre à
eux s’il divulguait à la presse certaines informations. Il travaillait chez
lui, tout seul, à la rédaction de son prochain livre, quand il a été abattu par
les adjoints du shérif local, à la suite d’un prétendu refus d’obtempérer à un
ordre de perquisition dans sa maison.
Tout
comme son père, Cooper avait décidé, tout jeune, de s’engager dans l’armée.
Après avoir débuté dans l’armée de l’air, il continua sa carrière dans la
marine. Il fut successivement officier à bord d’un sous marin, puis sur un
pétrolier, et ensuite au Vietnam pendant toute la durée de la guerre. Après
quoi, il fut affecté au QG du Commandeur en chef de la Flotte Pacifique.
Il
avait déjà eu accès à différents documents classifiés « secret défense » aussi
bien lorsqu’il était dans l’armée de l’air que dans la marine. Lorsqu’il
commença à travailler dans l’unité administrative de la Flotte Pacifique, il
obtint à nouveau l’autorisation d’accéder à différents documents top-secret,
baptisée autorisation Q, ce qui lui permettait notamment de consulter tous les
documents militaires relatifs à la sécurité nucléaire. Au cours de ses 18
années passées aux renseignements de la marine US, il eut progressivement
connaissance d’informations qui l’amenèrent à écrire un livre à présent
disponible en français. (Milton W. Cooper : le Gouvernement Secret - Éd. Louise
Courteau)
Cooper
raconte que, le jour où il acquit la certitude que le bureau des renseignements
de la Marine avait participé à l’assassinat de John F. Kennedy, il décida de
quitter l’armée définitivement. Il essaya alors par tous les moyens de révéler
au grand public les informations qu’il détenait, que ce soit à propos des OVNI,
de l’assassinat de Kennedy, du Gouvernement secret, ou des solutions 1,2, et 3
du Plan pour le Nouvel Ordre Mondial.
En
1972, après avoir convenu d’un rendez-vous avec un journaliste, il fut assailli
par deux hommes qui le poussèrent à l’intérieur de leur limousine et prirent la
direction des canyons. Ils stoppèrent au haut d’une falaise, le poussèrent dans
le vide et repartirent, croyant qu’il était mort. Mais il avait réussi à
s’agripper à des branchages en contrebas. Il s’y cramponna et fut secouru in
extremis grâce à l’arrivée inopinée de touristes venus prendre des photos.
Un
mois plus tard, il fut renversé en pleine ville par une autre voiture qui prit
la fuite, et au cours de cet accident, il perdit sa jambe gauche. Les occupants
de la voiture lui rendirent visite à l’hôpital et le menacèrent de s’en prendre
à sa famille. Il fit mine d’avoir compris, promit qu’il se tairait et attendit
16 années avant de se décider à rompre le silence.
Depuis
la parution de son livre, « Behold a pale Horse », il se sentait constamment
sous surveillance et il était fréquemment obligé de déménager et de changer
d’identité.
Mais
sa conscience l’a poussé à révéler ce dont il avait eu connaissance, afin que
l’humanité puisse être informée et en tirer les conséquences. La presse
américaine a tenté de légitimer son assassinat sous l’extravagant prétexte que
« ne payant plus ses impôts depuis 1992, il représentait une menace pour
l’ordre social ! »
LE TEMOIGNAGE DE M.
W. COOPER
«
Au début de l'ère spatiale et à l'époque des expéditions lunaires, les modules
habités envoyés vers la Lune étaient toujours escortés d'un astronef extranéen
(entendez : d’origine extraterrestre). Le 20 Novembre 1990, une chaîne de
télévision nationale a annoncé qu’un objet de forme ronde, de couleur rouge rayonnante
et séparé de la navette spatiale Atlantis accompagnait cette dernière le long
de sa dernière mission militaire. Ce fut la première et dernière reconnaissance
publique de la chose.
Les
cosmonautes de la mission Apollo ont vu et même filmé la base lunaire surnommée
LUNA. Les photographies officielles de la NASA révèlent des structures en forme
de dômes, de spirales, de larges structures circulaires qui ressemblent à des
silos, de même que d'immenses véhicules miniers en forme de T qui tracent sur
la surface de la Lune des marques semblables à des cicatrices laissées sur la
peau par des points de suture. On y voit aussi divers types d'astronefs, les
uns absolument gigantesques, d'autres beaucoup plus petits.
Il
s'agit d’une base américano-soviéto-aliénigène. Le prétendu programme spatial
de la NASA baptisé Apollo ne fut en réalité qu'un leurre excessivement coûteux,
destiné à détourner l’attention de l’humanité, et la solution 3 n'est pas de la
science-fiction.
(En
1957 se tint un symposium réunissant les plus grands esprits scientifiques du
moment. Ceux-ci arrivèrent à la conclusion qu‘entre l'an 2000 et 2020 , en
raison de l'accroissement de la population et à cause de l'exploitation de
l'environnement, notre planète ne pourrait éviter la destruction sans une intervention
divine ou extranéenne).
Le
président Eisenhower émit un décret-loi secret ordonnant à la Société Jason
d'étudier ce scénario et de lui soumettre ses recommandations. En guise de
recommandations, la Commission Jason présenta trois solutions alternatives
appelées « Solutions 1, 2, et 3. »
Solution
1: Percer la stratosphère en y pratiquant, au moyen d'explosions nucléaires,
d'immenses brèches à travers lesquelles la chaleur et la pollution pourraient
s'échapper dans l'espace. Il faudrait éduquer les mentalités à moins exploiter
l'environnement et à davantage le protéger. Des trois solutions, c'était la
moins susceptible de réussir, d'une part, en raison des tendances inhérentes de
la nature humaine et, d'autre part, à cause des dommages supplémentaires que
des explosions nucléaires ajouteraient à l'environnement. L’existence d’un trou
dans la couche d’ozone tendrait cependant à étayer l’hypothèse que la solution
1 pourrait avoir été essayée. Ceci n’est en tout cas qu’une conjecture.
Solution
2: Construire un vaste réseau souterrain de villes et de corridors dans lequel
une élite de toutes les cultures et de toutes les sphères d'activités serait
appelée à survivre pour perpétuer l'espèce humaine. Quant au reste de
l'humanité, elle serait laissée à elle-même à la surface du globe. Nous savons
que ces installations ont été construites et sont prêtes et en attente des
personnes à choisir.
Solution
3: Exploiter la technologie planétaire et extranéenne afin qu'un petit nombre
d'élus puissent quitter la Terre et aller fonder des colonies ailleurs dans le
cosmos.
(Note
de Milton W. Cooper à propos de la solution 3 extraite de son livre : Je
confirme que des contingents d'esclaves ont déjà été expédiés, dans le cadre de
ce projet, en qualité de main-d’œuvre. La destination première est la Lune - de
son nom de code Adam - et la seconde est Mars - de son nom de code Eve. J’ai en
ma possession des photographies officielles de la NASA de l’une des bases
lunaires. Je pense que la colonie sur Mars est déjà aussi une réalité.) .
Les
astronautes des missions Apollo ont appris tout cela à leur corps défendant. Le
choc qu'ils en ont éprouvé n'a pas été sans affecter leur vie, comme en
témoigne leur comportement par la suite. Ils ont de plus été contraints de se
soumettre à la dure réalité de la conspiration du silence : on leur a ordonné
de taire ce qu'ils avaient vu, et on les a avertis qu’en cas de non respect de
cet ordre, ils s'exposaient à la procédure dite «expéditive». L’un des
astronautes a tout de même osé collaborer avec des producteurs TV britanniques,
à l’occasion d’un documentaire diffusé dans le cadre d’un programme intitulé «
Rapports scientifiques », et admis que la Solution 3 était bien une réalité.
Les
quartiers généraux de la conspiration internationale qui vise à mettre en place
la Solution 3 sont à Genève, en Suisse. Le corps dirigeant est constitué de 3
comités constitués de 13 membres chacun ; ces 3 comités réunissent donc un
total de 39 membres qui constituent le comité exécutif du corps connu sous le nom
de groupe Bilderberg.
Depuis
que nous avons commencé à pactiser avec les aliénigènes, nous avons acquis une
technologie qui va bien au-delà de nos rêves les plus fous. Nous possédons et
faisons voler actuellement au Nevada des engins de type anti-gravitationnel
alimentés à l’énergie nucléaire. Nos pilotes ont déjà fait des voyages interplanétaires
dans ces engins et sont allés sur la Lune, Mars et d’autres planètes. On nous
ment au sujet de la vraie nature de la Lune, des planètes Mars et Vénus, et de
l’état réel de la technologie que nous possédons aujourd’hui, à ce moment même.
Il
existe des régions sur la Lune où se développe une vie végétale. Les plantes y
changent de couleurs avec les saisons, car il y a aussi des saisons sur la Lune
contrairement à ce que l’on pense généralement. Il y a même des lacs
artificiels ainsi que des étangs sur sa surface, et des nuages ont été observés
et filmés dans son atmosphère. La pression atmosphérique lunaire étant beaucoup
plus faible que sur la Terre, les cosmonautes doivent s'y adapter selon une
technique de dépressurisation analogue à celle des plongeurs en profondeur.
Cette pression est néanmoins suffisante pour qu'il ne leur soit pas nécessaire
de revêtir une combinaison spatiale. Ils peuvent se déplacer à sa surface et
marcher munis simplement d'une bouteille d'oxygène.
J'ai
en ma possession des photographies originales de la NASA à ce sujet. Quelques
unes ont été publiées dans le livre de Fred Steckling intitulé We discovered
Alien Bases on the Moon et dans Someone Else is on the Moon.
En
1969, une confrontation a opposé les Soviétiques et les Américains sur la base
lunaire. Les Soviétiques ont essayé de prendre le contrôle de la base et ont
pris les scientifiques américains et le personnel en otages. Nous avons réussi
a restaurer l’ordre, mais au prix de 66 morts ! À la suite de cet incident, les
Soviétiques ont suspendu leur participation au programme pendant une période de
2 ans. Il y a eu finalement réconciliation et nous avons recommencé à
travailler ensemble. »
Extrait
traduit de "Behold a pale horse", écrit en 1989-1990 par Milton
William Cooper et publié aux Editions Light Technology P.O. Box 1495, Sedona,
AZ 86336 U.S.A.
DES
EXTRA-TERRESTRES SUR LA LUNE ?
MISSION APOLLO 11
Selon
l'astronaute Neil Armstrong (Commandant d’Apollo 11 et premier homme à avoir
foulé le sol sélène, Neil Armstrong souligne l’importance des équipes au sol et
souhaite un nouvel élan de l’exploration spatiale) les étrangers ont une base
sur la lune et nous ont dit dans des termes pas très claires de ne pas rester
sur la lune et de partir .Selon des rapports jusqu'ici non confirmés, Neil
Armstrong et Edwin "Buzz"' Aldrin ont vu des ovni peu de temps après
cet atterrissage historique sur la lune dans Apollo 11,le 21 juillet 1969.
On
peut entendre un des astronautes se rapporter à une " lumière " dans
ou sur un cratère pendant la transmission de la télévision, suivi d'une demande
de commande de mission pour de plus amples informations. Rien de plus n'a été
entendu.
Selon
une ancienne reliure d'Otto des employés de la NASA, les "jambons"
avec leur propre récepteurs captèrent des conversations, ainsi que des radio
amateurs canadiens:
-
La NASA : Qu'y a-t-il? Commande de mission appelle Apollo 11...
-
Apollo11 : Ces " bébés " sont énormes, monsieur! Énorme! OH MON DIEU!
Vous ne le croiriez pas! Je vous dis qu'il y a l'autre vaisseau spatial dehors
là, Aligné du côté lointain du bord de cratère! Ils sont sur la lune nous
observant!
Plus
tard, un professeur (qui a souhaité rester anonyme), a été engagé dans une
discussion avec Neil Armstrong pendant un colloque de la NASA :
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Professeur : Que s'est il vraiment produit dehors avec Apollo 11?
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Armstrong : C'était incroyable, naturellement nous avions toujours su il y
avait une possibilité, le fait est, nous étions averti ( par les
extraterrestres ). Il n'y avait jamais eu de question alors d'une station
spatiale ou une ville de lune.
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Professeur : Que voulez vous dire par " avertir"?
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Armstrong : Je ne peux pas entrer dans des détails, excepté pour dire que leur
vaisseaux étaient de loin supérieurs au nôtre en taille et en technologie.
Selon
un Dr. Vladimir Azhazha:" Neil Armstrong a transmis par relais le message
à la commande de mission que deux grands, objets mystérieux les observaient
ayant ensuite débarqué près du module lunaire. Mais ce message n'a été jamais
entendu par le public -- parce que la NASA l'a censuré. " Selon le Dr. Aleksandr
Kasantsev, Aldrine a pris un film couleur de l'ovni de l'intérieur du module,
et le film a continué après que lui et Armstrong soient allés dehors. Armstrong
a confirmé que l'histoire était vraie mais refuse d'entrer dans d'avantage de
détail, au delà d'admettre que la C.I.A était derrière ça.
APOLLO
11 ET AUTRES MISSIONS LUNAIRES
Pourquoi la NASA
aurait-elle truqué un alunissage ?
Ce
qu’il c’est vraiment passé lors de l’alunissage était trop impressionnant pour
être montré au simple terriens .
40
MILLIARDS DE DOLLARS POUR UNE SUPER PRODUCTION
Les
plans pour arrêter les missions lunaires étaient déjà établies au moment de
l'alunissage d'Apollo 11 en 1969 des années avant qu'une fin de la guerre soit
même envisageable. Le programme Apollo s'arrêta même plutôt brutalement et cela
fut planifié bien à l'avance. Il devait y avoir des missions jusqu'à Apollo 20,
mais Apollo 20 fut d'abord annulé, puis Apollo 18 et 19. Apollo 17 devenant la
dernière mission lunaire du 20ème siècle. De même, le programme Apollo fut
lancé avant que les USA soient impliqués à grande échelle au Vietnam, et plus
de 4 ans avant que cela soit considéré comme une guerre. Apollo s'est construit
dans un conflit de Guerre Froide ayant en jeu les esprits et l'opinion du monde
à propos de nos prouesses technologiques, et son succès final a été rendu
possible par le travail acharné et le sacrifice de centaines de milliers de
personnes qui ont construit la fusée Saturn V.
La
Nasa ne sait plus où sont les cassettes de la 1ère mission sur la Lune !!!
La
Nasa ne sait plus où sont les cassettes originales de la première mission sur
la Lune sur lesquelles on peut entendre la célèbre phrase de l'astronaute Neil
Armstrong: "C'est un petit pas pour l'homme, et un pas de géant pour
l'humanité", a-t-on appris mardi auprès de l'agence spatiale américaine.
"La Nasa cherche les cassettes originales de la marche dans l'espace de la
mission Apollo 11 le 21 juillet 1969", a indiqué Ed Campion, un
porte-parole du centre spatial Goddard de la Nasa, à Greenbelt (Maryland, est),
dans la banlieue de Washington. Les cassettes pourraient se trouver quelque
part à Goddard ou dans un autre site du système d'archives de la Nasa, a-t-il ajouté.
La Nasa est en quête de 10.000 et 13.000 cassettes contenues dans 2.600 boîtes
et concernant plusieurs missions spatiales, dont celle d'Apollo 11, a précisé
Richard Nafzger, ingénieur à Goddard, lors d'une conférence de presse
téléphonique. Ces cassettes contiennent des images vidéo mais aussi d'autres
données comme la voix des astronautes, leurs battements cardiaques et autres
données médicales, a ajouté M. Nafzger. La recherche des enregistrements a
commencé il y a environ un an et demi quand le centre spatial s'est aperçu
qu'il ne savait pas où ils se trouvaient, à la suite d'une demande de
consultation par des employés à la retraite.
Neil
Armstrong, le premier homme à avoir marché sur la Lune, avait été chargé de
commander la première mission lunaire américaine à bord de la capsule Apollo 11
avec les astronautes Buzz Aldrin et Michael Collins. Il s'était posé sur la
Lune à bord du module Eagle en juillet 1969, et avait assuré sa place dans l'Histoire
en déclarant, en foulant le sol lunaire: "C'est un petit pas pour
l'homme...". Les cassettes originales sur lesquelles se trouvent les
données de la mission Apollo 11 avaient été enregistrées depuis trois stations
sur Terre: Goldstone en Californie, Honeysuckle Creek et l'observatoire Parkes
en Australie.
Elles
avaient ensuite été envoyées au centre spatial Goddard qui les avaient
transférées aux Archives Nationales fin 1969. Plus tard, la Nasa a demandé à
récupérer ces cassettes et c'est là que leur trace s'est perdue ...
Photo NASA AS17 - 137 - 20910
Mission Apollo 17
Analyse
Critique
Vraiment
basse sur l'horizon et bien petite cette terre qui devrait faire 3.67 fois la
taille de la lune sur terre ! En incrustation sur le coté gauche , j'ai mis un
morceau d'image de la terre prise lors du survol de la lune par le module
Apollo 11. La photo réelle couvre une grande partie de la lune et la terre est
énorme par rapport à celle visible sur la photo prise du sol lunaire.
LA COMBINAISON
B
: Sur la Lune, les contrastes sont absolus : C'est le jour et la nuit entre les
ombres et ce qui est éclairé, le soleil étant à sa gauche , la partie de droite
de sa combinaison devrait être pratiquement invisible or nous voyons
parfaitement les plis de la combinaison de Buzz.
C
: Comme il n'y a pas d'oxygène sur la Lune, toutes les photographies devraient
être brillantes et nets, pourtant le paysage derrière Aldrin s'estompe peu à
peu. Preuve que ces photos ont été prise sur Terre.
D
: Dans sa visière, il y a un objet brillant. On pense que c'est soit un hélico
ou une structure de verre d'au moins 12 mètres de haut. MAIS EN AUCUN CAS CELA
PEUT ÊTRE UN DEBRIS DE L'ESPACE (les plus intelligents l'on tout de suite
compris !) car l'objet devrait alors faire des centaines de kilomètre vu sa taille
et l'éloignement qu'il aurait si s'en était un.
Sur
la Lune les astronautes avec leurs équipements ne pèsent qu'environ 30kg (6
fois moins que sur Terre), donc les muscles des astronautes peuvent supporter environ
100kg sans se fatiguer et devraient donc pouvoir supporter leur équipement.
Vous voyez ce que je veux dire ? Donc pourquoi a-t-il les genoux fléchis comme
s'ils portaient un lourd équipement ?Si on nous prend en photo, on va se tenir
droit alors qu'ici il est appuyé sur ses genoux, les jambes écartées pour mieux
répartir un poids, on peut voir aussi que sa jambe droite à glisser sous le
poids de son équipement alors qu'il ne devait peser qu'une dizaine de kilos!
Au
dessus à droite du casque, on aperçoit ce qui serait une étoile. Mais on ne
devrait pas les voir à cause du temps de pose car le temps que la lumière de
l'étoile s'imprime sur le film, l'objectif s'est déjà refermé. Certes, ce n'est
qu'un détail mais il peut être très significatif si on ne le prend pas à la
légère.
Des
croix sont sur toutes les photos, ces repères qui sont implantés sur le viseur
sont retrouvables dans nos appareils photos modernes mais sous une autre forme.
Mais elles ne s'impriment jamais sur le film puisque qu'elles sont sur le
viseur sauf ici. Quel est l'intérêt de les imprimer ? Regardez celle qui se
trouve sous son genoux droit, elle est beaucoup plus grande que les autres !
Vous verrez par la suite qu'il y a eu beaucoup de rajouts par ordinateur sur
d'autres photos, pourquoi ?
Sous
sa combinaison, il y a une pression d'1kg par cm2 et en dehors il n'y en a
aucune, il devrait ressembler à la mascotte de Michelin, alors que là sa
combinaison est froissé et pend par terre.
LE DRAPEAU
Le
drapeau est tenue par deux barres, une transversale et une autre verticale.
Donc il devrait être aussi raide qu'une feuille de carton. Pourtant il flotte
dans "l'air".
LES TRACES AU SOL
Invraisemblance
: 100% (ils ne se sont pas foulés!)
A
: Regardez ! Il y a des cailloux et des pierres partout sauf à partir de cette
ligne A ! Et quand on a qu'un seul véhicule, on ne s'amuse pas à passer sur des
pierres alors qu'ailleurs, il n'y en a pas ! Même en 4X4, on évite d'abîmer ses
pneus et son châssis en passant sur des rochers aussi gros.
B
: Le viseur en B passe derrière le rocher et repasse devant en le transperçant
!
C
: Il y a des marques sur le sol et le rocher, c'est ce qui permet aux
accessoiristes de savoir où ils doivent mettre quoi lors de la réalisation d'un
film.
Les
lignes rouges indiquent la direction des ombres, il y en a 3 en tout !!
Pourtant dehors, je ne vois qu'un seul soleil. Maintenant, si on regarde les
traces de pneus du véhicule lunaire on voit que les roues arrières passent exactement
par les traces des roues avants. Le seul moyen d'y parvenir est d'arrêter le
véhicule faire rouler les roues droites tout en bloquant les roues gauches.
Imaginez un astronaute faire toutes ses opérations pour prendre un simple
virage afin de s'arrêter 1 mètre après ! Sur les premières traces du véhicule,
on peut voir les rainures des pneus et à partir d'un rocher, on ne peut plus
les voir !
MONTAGES
STUDIO : UN MEME DECOR POUR
DIFFERENTES SCENES
Ce
sont deux photos assemblés en une prisent lors d'Apollo 15, le fond coïncide
parfaitement mais il y a deux LM
Deux
photos assemblées prisent lors d'Apollo 17, le fond coïncide, mais il y deux LM
!
Et pour finir , le clou du spectacle, une superposition de 3 missions différentes. Mêmes décors !
Source : http://secretebase.free.fr/planetes/lune/histoires/histoire.htm
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