Zimbabwe 16/09/1994

62 enfants d’une école de la banlieue d’Harare, au Zimbabwe, furent témoins de l’atterrissage d’une soucoupe volante et virent deux êtres en sortir. Ces témoignages ont été filmées et étudiés par le célèbre psychiatre John Mack, lequel a conclu que ce que les enfants avaient vu était bien réel et non le fruit de leur imagination.
C’est à Ruwa, Zimbabwe, que se trouve l’école de Arial, située à 20 kilomètres de la capitale Harare. Comme à l’ordinaire, ce 16 septembre 1994, les enfants jouent dans la cour d’école tandis que les professeurs profitent de la pause pour tenir un conseil dans la salle de réunion. Le jeu des enfants est interrompu quand une  » soucoupe volante  » se pose près de la zone de récréation pour y débarquer d’étranges humanoïdes. Des élèves se précipitent dans la salle de réunion pour avertir les adultes. Colin Mackie, le directeur de l’établissement, témoigne de l’absence d’intérêt du corps enseignant :
 " Nous étions en pleine réunion. Aucun enseignant n’aperçut quoi que soit. Quelques élèves prirent des collègues à parti pour leur signaler cette étrange présence. Mais nous n’y prêtions aucune attention. J’ai commencé à prendre l’affaire au sérieux quand des parents d’élèves vinrent me voir et inspecter les lieux de l’incident " .

Pas moins de 62 élèves âgés de 8 à 12 ans observent la  » soucoupe volante  » et les deux  » extraterrestres « , dont les descriptions se recoupent. Ce n’était pas un humain. Je ne sais pas ce que c’était, mais il avait une grosse tête et de gros yeux noirs et portait une combinaison noire «, se rappelle une élève.

Après enquête, John Mack, professeur de psychiatrie à Harvard, atteste de la sincérité des témoins. Les occupants de l’OVNI auraient adressé une communication télépathique aux enfants. Interrogée sur les raisons de cette visite  » extraterrestre «, une élève explique que les  » extraterrestres  »  » nous communiquèrent l’imminence de la fin du monde. Ils veulent nous faire prendre conscience que nous détruisons la planète. Ces idées me sont venues comme cela dans la tête. L’humanoïde ne parlait pas. Il s’exprimait avec ses yeux. Il avait l’air  » horrible « .

Effrayée, la fillette décrit sa vision d’horreur, communiquée par les  » êtres  » :
 » C’était comme si tous les arbres du monde agonisaient, qu’il n’y avait plus d’air respirable et que les gens allaient tous mourir « .

Plusieurs élèves furent interrogés par Cynthia Hind, ufologue africaine, en présence de Colin Mackie :

 » Je peux vous assurer que les élèves n’auraient jamais osé raconter des sottises en présence du directeur de l’école, qu’ils craignent par dessus tout « .


L’enquête de John Mack

Je me souviens encore de la façon dont une petite fille m’avait décrite la scène, rapporte Dominique, elle disait que c’était comme si les êtres sautillaient , en se dirigeant vers eux.
Je me souviens quand John leur a demandé :



- Comment appellerais-tu ces êtres que tu as vu ?
La petite fille a répondu :

– Je les appellerai  » ALIENS «, je les appellerai Extraterrestres.
En Septembre 1994, dans cette école d’Araré, au Zimbabwe, plusieurs enfants furent témoins de l’atterrissage de plusieurs objets, et virent deux êtres en sortir, Dominique et John les avaient rencontré, les enfants, leurs parents et les professeurs encore sous le choc.
John, justement spécialiste en psychiatrie infantile, avait longuement questionné les enfants.
- Quelque chose t’a fait peur c’est bien ça ! qu’est-ce qui t’a fait peur ?
- Oui le bruit qu’on a entendu dans l’air.
- Tu as entendu un bruit dans l’air, c’est bien ça ? Ca ressemblait à quoi ? Un rugissement, un bourdonnement, un ronflement, quel était ce genre de bruit ?
- C’est comme si quelque chose, jouait de la flûte.




Une autre petite fille :



- J’ai été effrayée moi-même.
- Effrayée parce que tu as vu quelque chose toi-même !
- Oui, j’ai vu un petit objet survoler, il était assez grand en fait, et il y en avait des petits tout autour.


- On a vu quelque chose argenté, alors on a couru très vite jusqu’à la cabane, et on a vu un truc argenté et un homme debout à côté.                                                             
– Ca faisait quoi quand il te regardait ?    

   
                                                                          
– J’ai eu peur.                                                                                                                    
 – Ca faisait peur ? qu’est-ce qu’il y avait qui faisait peur ?  
   – J’ai eu peur parce que je n’ai jamais vu une personne comme ça avant.


– Tu as vu les yeux ?                                                                                                           – Ils étaient comme ça, (et la petite fille décrit des yeux en amandes allant sur les côtés du front).
– Ou était la partie pointue ?
Elle met le doigt sur le côté du front en disant, là-haut.
- Que ressentais-tu quand tu regardais ces yeux ?
– Ca faisait peur.
– Pourquoi ça faisait peur ?
– Les yeux étaient malfaisants.
– Pourquoi qu’est-ce qui était malfaisants en eux, dis ce que tu entends par malfaisants ?
– Ils étaient malfaisants parce qu’ils n’arrêtaient pas de me fixer.
– Te fixer, comme pour faire quoi ?
– Comme s’ils voulaient me venir me prendre.
– Comme s’ils voulaient venir te prendre c’est le sentiment que tu a eu ?
– Oui.
– Ils voulaient que vous alliez avec lui ? Tu avais le sentiment que tu voulais aller avec lui ?
– Non.
– Quelle a été ta réaction quand tu as senti qu’il voulait que tu ailles avec lui ?
– J’ai juste avancé et j’ai commencé à pleurer.
– Pourquoi penses-tu qu’ils veulent que nous soyons effrayés ?
– Parce qu’on ne fait pas attention à notre planète, à l’air.
– Est-ce une idée que tu avais déjà, que l’on ne fait pas attention à l’air et à la planète, ou cette idée t’es venue quand tu as eu cette expérience ?
– Quand j’ai eu cette expérience.
– Et comment cette idée t’es venue de cette expérience, quand tu as eu cette expérience ?
– J’ai eu ce sentiment horrible à l’intérieur.
– Parle moi de ce sentiment horrible.
– C’était comme si tous les arbres étaient abattus, qu’il n’y avait plus d’air et les gens mouraient.
– Tu avais ces pensées avant cette expérience ?
– Non.
– Comment ces pensées te sont venues, elles te sont venues depuis le vaisseau ou ?
– De l’homme.
– L’homme t’a dit ces choses, comment t’a t-il transmis ça ?
– Il n’a jamais rien dit c’est juste son visage, ses yeux.
– Quelle est la sensation que tu as eu de ses yeux ?
– Qu’il était intéressé.

Le professeur ensuite :

- Ils sont arrivés en courant, et tellement paniqués, même si on l’avait voulu, on n’aurait jamais réussi à les faire courir tous ensembles comme ça. On a essayé je ne sais combien de fois, ils ont jailli ici comme si ils avaient vu un serpent. On était en réunion de professeurs, on les a entendu hurler et ils étaient là. Les enfants ne peuvent pas inventer tout ça.

Autre professeur :

- J’ai compris qu’ils avaient vu quelque chose, mais je n’étais pas prête à accepter que ce soit quelque chose de surnaturel.

Des enfants dessinant ce qu’ils ont vu :



- Ils avaient des yeux noirs et des pupilles blanches.
- Il était à coté de l’objet argenté ?
– Non il était dessus.
– Il t’a regardé ?
– Oui il m’a foutu les jetons j’ai arrêté de le regarder.
– Il t’a foutu les jetons ?
– Là sur ton dessin on le voit debout.
– Oui je l’ai dessiné debout parce que je ne sais pas le dessiner assis (et l’enfant rigole).
Une enfant au tableau dessinant ce qu’elle a vu :



- Je pensais que c’était la fin du monde, peut-être qu’ils venaient nous dire que c’était la fin du monde.

Ils parlent de leurs expérience, de ces événements comme une personne parle de quelque chose qui lui est arrivée, lorsque vous parlez avec une personne psychotique, et qu’il vous raconte des choses, vous sentez que ces choses ne sont jamais arrivées.
Je sais que ce sont des choses que cette personne veut me faire croire, il ment et déforme la réalité, il n’y a rien de comparable ici, ce sont des personnes saines, qui me parlent, de quelque chose dont ils se rendent bien compte que ça parait faux et ils ont conscience de cela, et ils se posent plein de questions, ils décrivent quelque chose de réel et d’intense ; la qualité de la façon dont ils en parlent et celle d’une personne parlant d’une expérience qu’il lui est vraiment arrivée.

Voici d'autres desseins des enfants :






John a découvert que de l’Afrique au Brésil, de l’Australie à la Turquie, tous décrivent les mêmes êtres.



Suite de l’affaire


Le réalisateur américain de films Randall Nickerson est actuellement en visite au sud de l’Afrique pour faire un documentaire qui succède à l’incident qui est survenu à l’Ecole Ariel à Ruwa, au Zimbabwe, en 1994, lorsque 62 enfants âgés entre 8 et 12 ans ont rapporté avoir vu un OVNI et des « êtres étranges » durant leur pause du matin.



Ces enfants sont maintenant de jeunes adultes dispersés à travers le monde. Nickerson les recherche pour les interviewer sur leur expérience. “Leurs histoires n’ont pas du tout changé”, a-t-il dit. “Ce qui n’aurait pas été lé cas s’ils avaient tout inventé”.


Alors que s’est-il réellement passé ce jour de 1994 à l’école de Ruwa juste à l’Est d’Harare ? “C’était pendant la pause du matin et ils étaient dans la cour d’école en train de jouer”, a dit Nickerson. “Ils virent un vaisseau argenté principal et il y en avait quatre autres autour de lui”, a dit Nickerson. “Il est descendu sur une colline derrière la cour d’école qui était au-delà des limites. La limite était la bordure de la cour d’école, puis il y avait des broussailles jusqu’à la colline.

“Ils ont couru jusqu’à la bordure de la cour d’école pour voir ce qu’était cette chose. Ils ont vu cette petite créature marcher au-dessus du vaisseau tandis qu’une autre descendait voir les enfants. Elle était toute en noire, avec un costume très serré. Les enfants ont dit qu’il avait de gros yeux « comme des ballons de rugby ».

(Note : les yeux constituent la caractéristique principale des  » Gris « . En forme d’amande, ils occupent toute la largeur du faciès. Enormes, ils ne possèdent ni iris, ni pupille, ni cornée. Les yeux des aliens jouent un rôle important dans la transmission télépathique avec les abductés. Il permettent non seulement de lire les pensées des kidnappés mais aussi de transmettre des impressions, des suggestions ou des injonctions. En fixant des abductés, les  » Gris  » peuvent mettre à nu le passé, le présent et le futur du captif, tout en évoquant des émotions de grande intensité. C’est pourquoi les abductés essaient d’éviter le contact avec ces yeux, décrits comme une  » ouverture sur l’infini « . En fixant les kidnappés dans les yeux, les aliens communiquent sur la situation périlleuse de la Terre. Ainsi, selon Emma, une abductée :  » Alors que l’entité me fixait, ma  » conscience  » me suggéra que nous faisons du mal à la Terre « ).


Les enfants ont eu un contact visuel direct avec la créature. Il semble y avoir eu une sorte de communication avec les enfants sur l’état du monde, ce que nous faisons à la planète, la destruction que nous causons, bien que tous les enfants n’ont pas eu ce message. Certains enfants étaient traumatisés, d’autres excités. Les jeunes enfants qui étaient les plus traumatisés étaient au devant du groupe.





                       UFO / OVNI - Zimbabwe - 1994






Source : http://www.echo-zen.com/zimbabwe-1994/



L’affaire de Rendlesham






Au cours des dernières décennies, certaines armées parmi les plus puissantes du Monde ont dû faire face à l’intrusion inopinée sur leur territoire d’engins volants non identifiés. Malgré l’hétérogénéité spatiale des manifestations liées au phénomène Ovni, bon nombre d’évènements se démarquent en survenant sur des sites stratégiques qui n’ont évidemment rien d’anodin, ni rien du hasard, surtout lorsqu’il s’agit de bases de stockage d’armes nucléaires tactiques.

L'un des cas les plus spectaculaires concerne les bases aériennes militaires anglo-américaines - RAF Bentwaters and RAF Woodbridge – à Suffolk en Angleterre, les deux bases étant séparées par la forêt de Rendlesham. Le témoignage provient directement de l’ancien responsable de la base de Bentwaters à l’époque des évènements, le Colonel Charles I. Halt, dont voici le résumé.
Le 26 décembre 1980, aux alentours de 3h du matin, des soldats en patrouille aperçurent des lumières inhabituelles dans les bois, et demandèrent à leur hiérarchie l’autorisation de se rendre sur place. Les militaires rapportèrent avoir observé dans une clairière un objet à l’aspect métallique, de forme triangulaire, d’une longueur horizontale approximative de deux à trois mètres, et d’une hauteur de deux mètres. L’objet illuminait entièrement la forêt d’une vive lumière blanche, et ils distinguèrent une lumière rouge clignotante à son sommet, ainsi qu’une nuée de lumières bleues au-dessous. Les militaires s'en approchèrent jusqu'à quelques mètres, l'inspectèrent sans trouver d'ouverture, et remarquèrent différents symboles apposés sur celui-ci. Puis l'engin s'éloigna vers les bois pour enfin disparaître dans le ciel à une vitesse vertigineuse.

Quelques heures plus tard furent découvertes sur les lieux trois dépressions, des empreintes de 4 cm de profondeur et 18 cm de diamètre, formant un ensemble triangulaire. Par la suite on détecta également des signatures de radiations type beta/gamma – de l’ordre de 0.1 milliroentgens - aux emplacements des dites dépressions, et une plus faible proportion sur les arbres alentours.




Mais l’affaire ne s’arrête pas là. Dans la nuit du 27-28 décembre, cette fois c’est une intense lumière rouge qui apparut dans les bois. Le chef de la police militaire de la base en informa le Colonel Halt, lequel décida de rejoindre la douzaine de militaires déjà postés en bordure de la forêt. Ils constatèrent que la source lumineuse provenait de la clairière où avait été observé le premier phénomène. Ils atteignirent l'endroit et virent un objet rougeoyant en forme d'ellipse flottant à environ quatre mètres au-dessus du sol, qui se dirigea lentement vers le champ du fermier voisin, au delà de la clôture de fils barbelés.


Les militaires n’eurent pas le temps de s'approcher davantage que l’objet lumineux pulsa, semblant éjecter une flopée de particules, et se sépara en cinq objets distincts qui s'envolèrent immédiatement.




Le point rouge au centre indique le champ du fermier, dans la forêt de Rendlesham près de Capel St. Andrew. Le phare d'Orford Ness est à droite de la carte. La base de la RAF à Bentwaters est indiquée par le point rouge en haut, à environ 10 kms au nord-est de la base RAF de Woodbridge, à gauche.

Aussitôt après trois objets lumineux furent détectés dans le ciel (confirmés ensuite par les radars de la base et de Londres), deux au Nord et un au Sud. Un quatrième engin lumineux apparut au Sud et se dirigea à très grande vitesse vers le groupe de militaires, se figeant à une trentaine de mètres d'eux. L'engin projeta une sorte de rayon-laser devant leurs pieds durant quelques instants, puis repartit dans les airs en disparaissant à nouveau. Les trois autres objets dans le ciel continuèrent à évoluer rapidement via des mouvements angulaires affinés, et firent jaillir des lumières rouges, vertes et bleues. Les deux objets au Nord restèrent visibles un peu plus d’une heure, celui au Sud entre deux et trois heures, ce dernier projetant de temps en temps des rayons de lumière vers le sol.




Tout ceci pourrait laisser entrevoir l’apparence d’un début de scénario pour un film de science-fiction, et pourtant ce rapport a été officiellement mis à disposition du grand public par l’armée britannique elle-même en 1983, grâce au ‘Freedom of Information Act’. La presse, les radios et les chaînes télévisées outre-manche en ont fait quelque temps leurs choux gras, obligeant les ‘debunkers’ (comme par exemple James McGaha à l’époque) à sortir de leur tanière et de conclure, et ça ne s’invente pas :

"Les lumières dans les bois ne sont que le résultat de l’éclairage périodique du phare d'Orford Ness à proximité". Et Charles I. Halt de rétorquer : "Le phare était dans notre champ de vision durant tout ce temps, mais il était à 35-45° de différence par rapport aux évènements en question".

Charles I. Halt déclara également que ces manifestations ont a priori un lien avec les stocks d’armements nucléaires présents dans les sous-sols de la partie américaine de la base. Il précisa que les Etats-Unis n’ont jamais officiellement avoué posséder de telles armes en territoire britannique, mais il apprit de source sûre par sa hiérarchie que c’était bien le cas (au sein de bunkers renforcés, extrêmement bien gardés, dans la section US). D’après lui les ‘objets’ lumineux s’intéressaient assidûment à tout ce qui touche à l’arsenal nucléaire.



A l’époque les troupes soviétiques basées en Europe de l’Est étaient en surnombre par rapport à l’ensemble des forces armées alliées stationnées sur le Continent. En cas d’invasion soviétique en Allemagne de l’Ouest, les plans US prévoyaient l’utilisation d’armes nucléaires tactiques pour repousser l’ennemi, les ADM étant chargées sur des avions bombardiers F-16 préparés à cet effet, et capables d’atteindre la zone en quelques dizaines de minutes.

Selon les témoignages du personnel de la base lors des manifestations survenues le 27-28 décembre, bon nombre évoquent le fait que l’un des Ovnis projetait une sorte de rayon-laser à l’endroit exact des bunkers contenant les têtes nucléaires. Les heures et les jours suivants, les bruits de couloir laissaient entendre que certains dispositifs électroniques relatifs aux armements nucléaires avaient été mis hors service durant un temps.
La rumeur n’était pas infondée car il s’est avéré que ‘quelque chose d’inhabituel’ s’était produit – selon les ‘briefings’ dans les sections – au cœur même du centre névralgique lié aux armes nucléaires.

Halt répondit ceci quant à la manifestation de ces engins : "Nous avons vu des objets qui étaient sous le contrôle d’une intelligence. […]



Symboles relevés par le sergent Jim Penniston sur l'engin. Il avait observé l'ovni de très près au sol, pendant une demi-heure, et l'avait même touché.

Ce devait être quelque chose au-delà [de la technologie humaine] à cause des vitesses et mouvements de ces engins, les angles accomplis, et tout ce qu’ils faisaient. Ces objets auraient-ils pu être contrôlés à distance ? Certainement. […] Je n’ai jamais vu de ‘petits hommes verts’, mais il est possible qu’il s’agisse d’une technologie extraterrestre. Bien sûr je souhaiterais obtenir des réponses, mais je pense que je ne les aurai jamais."


             Les Ovnis envahissent l'Europe 2 L'incident De Rendlesham




                    Invasion à Rendlesham (Doc OVNI)






Source : http://daath10.blogspot.fr/2014/03/laffaire-de-rendlesham.html

Entre archéologie et légendes


Roumanie : Mystérieuses églises rupestres et pyramides soulevées par des Géants...



Situé dans le village de Nucu, tout en haut des montagnes de Buzau, il y a plus de 15 sites de grottes qui s'étendent sur une surface de plus de 3 kilomètres carrés, ce qui a donné à cette région le surnom de "Athos" de la Roumanie. Certaines grottes sont très anciennes et formées géologiquement, d'autres sont sculptées ou gravées dans la pierre. Un Ermitage est situé à la frontière d'un canyon d'environ 10 mètres. Les signes de la première colonie de la zone datent de l'âge du fer et de l'âge du bronze.



En fait, comme on le sait, les âges du bronze et du fer sont assez élastiques suivant les régions du monde. En ce qui concerne le cuivre, on le date de 9.000 ans avant maintenant car c’est en Anatolie qu’il faut chercher les premiers objets en cuivre fondu au VIIe millénaire av. J.‑C.. Le plus ancien foyer métallurgique européen se trouve dans les Balkans vers 3500 av. J.-C. pour s’étendre à l’ensemble de la péninsule euro-asiatique vers 2000 av. J.-C. Pourtant, on sait qu'en Mésopotamie, le cuivre était déjà travaillé 11.000 ans avant maintenant  et l'or 7.000 ans avant maintenant. La découverte de l'homme du néolithique Otzi dans les Alpes et de sa hache en cuivre et de la forte présence d'arsenic nous l'a fait apparaître comme un chaudronnier (ou un Chaman vu ses tatouages et la présence de beaucoup d'herbes de soins) et semble démontrer que l'usage du cuivre était assez répandu déjà... il ne manquait donc que de fortes températures pour créer le bronze, un alliage du cuivre et de l'étain, tous deux donc déjà largement connus et utilisés séparément...



Probablement vers les années 300 de notre ère, les premiers missionnaires chrétiens sont arrivés sur le territoire roumain en provenance du Moyen-Orient pour vivre ici. Jusqu'au 19 e siècle, des ermites et des moines ont vécu dans ces grottes, comme des lieux de vie et pour prier, loin de la vie quotidienne. Il est dit que de célèbres seigneurs de guerre roumains ou des princesses sont venus ici pour se confesser et se laver de leurs péchés.



L'une des grottes appartenait au moine Dionisie, qui, selon la légende, a fait un chemin dans sa cellule aussi compliqué que possible, parce qu'il aimait être seul. Cet endroit ne ressemble à aucun autre destination touristique en Roumanie. Il n'est pas fait pour cent autobus, même les voitures tous-terrains ne peuvent accéder à certaines zones.


On dénombre une trentaine de cavités sur le col Crucea Spătarului que l'ont peut atteindre après 1 à 2 heures de marche. En partant de Alunis, prendre le chemin de droite avant l'église et après les potagers descendre dans un verger de pommiers. La pente est raide pour se diriger en direction de la falaise d'en face où se situe la première grotte. Les habitants de ce village sont appelés les "Mosnenii", les gardiens des "cachés". Ces colonnes colossales n'étaient accessibles que par les habitués de cette forêt voilée par les brouillards.

Tous ces sites sont à une altitude relativement élevée et il est probable qu'ils servaient de refuge ou de retraite lors des cérémonies. La majorité de ces sites sont orientés vers le soleil levant. Les peintures rouges que l'ont aperçoit dans certains lieux ont vraisemblablement été faites par des peuples de chasseurs-cueilleurs. L'endroit n'est pas bien signalé et il est préférable de se faire accompagner par un villageois. Car à part, celle dans le village d'Alunis qui est la plus accessible, les autres nécessitent de repérage. Alexander Odobescu est allé à leur rencontre en 1981.




L'ermitage (schitul) rupestre d'Alunis, mi-roche, mi-bois fut selon la légende sculpté par deux bergers "Vlad" et "Simon" qui faisait paître leur troupeau. Un des bergers pendant son sommeil entendit une voix qui lui demanda instamment de creuser dans la roche pour retrouver l'icône de la bienheureuse vierge Marie.

Il s'executa et la trouva en effet. A la suite de cela, il construisit avec l'aide des villageois une annexe en bois. Les noms des bergers sont annotés dans la pierre de l'autel, sur la gauche. Trois autres cellules furent creusées pour les moines.


Des inscriptions cyrilliques qui proviennent de ses origines (Constantin le Philosophe) en tant que temple ne sont pas encore déchiffrées.

Sur la colline, au dessus, se trouve Alunis Zboiu. Grande galerie creusée également dans la pierre avec un puits dont les autochtones se servent depuis les invasions barbares.



Alunis veut dire noisette, en roumain. Tataricum signifie "Etablissement habité par des géants"


"Fundatura" (signifie "l'impasse") ou "Torcatorul", logeait un ermite, le vénérable père "Denys Torcatorul" qui filait de la laine pour payer ses minces besoins. Afin de s'abriter, il creusa une grotte dans la roche à 4 pieds au dessus du sol. Il en fit sa cellule où il y vécu 30 années de sa vie en dépassant les problèmes des humains, de la faim, du froid... Le jeûne l'amenait à méditer mais les gens des alentours lui demandèrent de dispenser une messe en l'église de Sihastria Fundatura. Puis, il s'isolait en retirant l'échelle de sa cellule.




Une légende dit qu'une jeune fille "Luana", devenue une divinité car elle vint du ciel dans un char de feu pour garder les portes de la ville. Cette ville était occupée par des soldats courageux, épuisés par les différents combats. Afin de les protéger, elle leur indiqua une source pour laver leurs plaies. Ils prirent abri dans les grottes pour se remettre des assauts. Cette défense naturelle était formidable pour se protéger des envahisseurs. Et depuis, les grottes de cette région sont le symbole de la protection.




Eglise St Joseph à Alunis, remarquez les énormes parois rocheuses, comme découpées et assemblées... on comprend la légende des géants.

Situées à Fagaras, Brasov, les pyramides de Sona sont en fait huit monticules de terre, de 30 mètres de hauteur, qui semblent venir de nulle part. Alors que les habitants sont convaincus qu'elles ont été érigées par des géants, les historiens pensent qu'il y a des tombes de barbares celtes, de Thraces en-dessous.

La légende dit qu'il y a beaucoup d'années, ce pays a été gouverné par une princesse appelée Sona. Un jour, son royaume a été attaqué par des géants qui sont venus par les montagnes de Fagaras. Les géants ont traversé l'eau de la rivière Olt, et quand ils sont arrivés dans cet endroit, ils ont secoué la boue de leurs pieds et créé ces monticules. Vous pouvez les trouver dans le village de Sona, comté de Brasov, à 250 km de Bucarest.

Les habitants les appellent des guruieti. Les touristes les ont nommées des pyramides. Les spécialistes hésitent à donner leur avis - si elles ont été faites par la main de l'homme ou par la nature, parce qu'ils ne les ont pas étudié auparavant. A 12 km de la ville de Fagaras, dans le village de Sona, vous pouvez voir une grande curiosité. Il y a sept monticules, certains près de 30 mètres de haut, disposés en deux rangées, par ordre de taille. Si il n'y a aucune certitude, alors il suffit de regarder la légende. Il est dit que les pyramides ont été construites par des Daces et que les boyaux en monticules pourraient cacher quelques trésors. Chaque année, à la Pentecôte, des villageois de Sona célèbrent un rituel unique en Roumanie.



Radu Stefanescu, Directeur du Musée d'Histoire de Brasov, a entendu les contes sur les Pyramides de Sona. Mais il a été dit aussi qu'il y avait eu dans la région des activités de prospections minières, comment savoir là où commence l'histoire et comment elle est réellement. " Il est possible de faire ces recherches lorsque nous aurons les moyens. Il est difficile de dire à ce stade si il y a ou pas des travaux de construction(à l'intérieur). Peut-être qu'ils préfèrent faire le lien avec certaines formes naturelles de reliefs ", a conclu l'expert.



" Il y a aussi des théories qui sont apparues au fil du temps, pour essayer de prouver que les pyramides n'étaient pas aléatoires à Sona. Il est possible pour eux qu'elles fassent partie des «triangles magiques" Daces restants, comme des sortes de lignes invisibles qui traversent les Carpates, entre les sanctuaires et les villages de nos ancêtres. Dans ces formes géométriques seraient incluent la capitale Dacia - Sarmisegetusa, la ville Piatra Rosie, le Sanctuaire Racos, le temple Sinca Veche, Omu et les pyramides de Sona. "



Source : http://m.sciences-fictions-histoires.com/blog/archeologie/roumanie-entre-archeologie-et-legendes.html?version=mobile